L'addiction aux selfies

obama selfie 128Barak OBAMA s'était illustré le 10 décembre 2013 au FNB Stadium à JOHANNESBOURG, lors des obsèques de Nelson MANDELA,  en prenant un "selfie" de la première ministre danoise Helle THORNING SCHMID, du premier ministre anglais, David CAMERON 

et de lui-même plaisantant comme des collégiens dissipés pour passer le temps ; ces jours derniers, la média sphère socialo-bobo s'émerveillait et se réjouissait du génie de sa candidate préférée, Hillary CLINTON, dont les derniers arguments de campagne tournaient autour d'une photographie, abondamment reproduite et diffusée : on y voit la candidate saluant une foule qui lui tourne le dos pour se prendre en photo avec elle après un meeting électoral, le 21 septembre 2016 à ORLANDO. Personne ne regarde la candidate autrement qu'à travers l'écran de son smartphone.
Cette photographie a été prise par la photographe officielle de la candidate, Barbara Kinney, et elle est utilisée comme argument de campagne tant elle est symptomatique de la génération "selfies", qui préfère tourner le dos à la candidate pour se prendre en photo en faisant une grimace plutôt que de la regarder et écouter ses propositions ! 

 

Hillary

 

Cette utilisation intéressée du "selfie" a provoqué une crise diplomatique entre la FRANCE et les ETATS-UNIS, le Président français estimant avoir la primauté dans l’utilisation de cette révolution technologique politique, et étant lui-aussi en campagne électorale ! Le service de communication et de manipulation mentale de l'Elysée, avec l'aval et le soutien du "Cabinet Noir anti-Sarkozy", a publié un communiqué extrêmement sévère pour la candidate américaine, précisant que lui-même utilisait cet argument électoral depuis son élection, le 6 mai 2012, alors qu'il était encore un "homme normal", voyageant en TGV en 1ère classe ; comme lors ce voyage de reconquête de l'opinion publique le 11 mars 2013  à DIJON (depuis les déplacements de reconquête ne se comptent plus !), où il s'était trouvé confronté à l'hostilité et la colère de ses électeurs cocufiés.
A cette occasion, il avait même reçu un formidable "râteau" d'une ménagère de plus de 50 ans effectuant ses courses dans le centre-ville à laquelle il avait offert, grâce divine,  un "selfie" avec lui. Le refus de cette brave femme avait été remarquable et marque à jamais l'histoire du "selfie".
Et même si les supporters d'Hillary lui tournent le dos pour la prendre en photo, il ne faudra jamais oublier que pour le mépris absolu manifesté par ses électeurs floués, BOZZO-le-CLOWN est un pionnier, inégalé et inégalable. Et même si désormais, il ne se déplace (avec son coiffeur-teinturier, sa maquilleuse et son cire-pompes tous payés par le contribuable français 10.000 € par mois) qu'en AIRBUS présidentiel, et si l'assistance autorisée à l'approcher, dans des secteurs clos de barrièrage, filtrés et protégés par d'importantes forces de police, est constituée des seuls cadres et militants du Parti Socialiste,  strictement choisis et sélectionnés, il n'a jamais cessé de céder à son addiction pour les "selfies", censés représenter une marque d'affection du grand démagogue pour ses électeurs.

Un article en date du 14 janvier 2015 publié dans la chronique technologique du LAB d'EUROPE  rendait compte d'une étude disponible en anglais, menée par une équipe de l'université de l'OHIO dirigée par le Professeur Jesse FOX, qui démontrait que l'addiction aux "selfies" découlait non seulement d'un effroyable narcissisme, comme chez BOZZO-le-CLOWN, mais poussant plus loin son analyse, établissait scientifiquement que "les utilisateurs sont aussi plus sujets à cette autre personnalité anti-sociale, la psychopathie ; ils seraient également plus enclins à l'auto-objectivation, qui consiste à rendre concret quelque chose d'abstrait "
Cette étude est disponible ici.


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