Voila, c'est fait !

bozo clownComme toujours, pour les grandes occasions, BOZO a fait le déplacement de TOULOUSE pour donner une information essentielle à l'avenir du pays, celle que les français attendaient depuis le mois de mai 2017 afin de désespérer définitivement des temps à venir, ne plus envisager la moindre réaction des forces vives du pays, être assuré que la chute dans l'abîme, le délitement et la désagrégation de la nation ne cesseront plus : oui, il sera candidat en 2022 !


Pourtant, la gauche ne manque pas de candidats et tous les jours s'en déclarent de nouveaux : pour EELV, nous avons Sandrine ROUSSEAU, Eric PIOLLE (maire de Grenoble) et Yannick JADOT ; et ce n'est pas fini !
Pour LFI, il n'y a pas débat, tous au "garde-à-vous : la scène est occupée par MELENCHON ; le Secrétaire Général du Parti Communiste, Fabien ROUSSEL est partant lui aussi ; et au Parti Socialiste, personne ne se dégage du lot de la médiocrité : François HOLLANDE n'a cessé de lancer de grandes offensives par l'intermédiaire de ses soutiens inconditionnels Patrick KANNER, Laurent JOFFRIN - le châtelain milliardaire qui dirigeait le quotidien LIBERATION -, et bien sûr Bernard CAZENEUVE. Aucun écho à ces manoeuvres, si ce n'est la totale indifférence de l'opinion publique et l'agacement manifesté par la direction du Parti Socialiste !.
Mais cela commence à s'agiter sérieusement dans le marigot avec les candidatures presque déclarées des éternelles "passionnarias !" des icônes du progressisme représentatif de toutes les minorités sexuelles et anti-Fance, telles le Maire de Paris Anne HIDALGO avec son activisme LGBT qui a fait de PARIS la ville la plus "gay-friendly" de la planète, mais la plus sale aussi et la capitale où règnent en maîtres les "rats" ; et bien sûr l'icone des racialistes - décolonialistes - islamo-gauchistes -, Christiane TAUBIRA. Sans évoquer le cas de Najat VALLAUD-BELKACEM (avec son militantisme pour la théorie des genres, le port du voile à l'école, l'enseignement obligatoire de l'arabe à égalité avec l'anglais, et la suppression de l'enseignement de l'histoire à l'école), empêtrée dans sa candidature mal partie pour les régionales en AUVERGNE-RHONES-ALPES, qui ne peut se déclarer tant son son échec prévisible sera humiliant.

Maudites Icônes progressistes franc-maçonnes, incarnations "bobos" militantes des thèses racialistes, indigénistes, décoloniales, LGBTQ+ oeuvrant pour la destruction du pays et sa disparition de la carte des nations et son remplacement par une Nation "bleu, blanc, beur" aux origines raciales et religions diversifiées, conformes à leur histoire personnelle
Anne Hidalgo, Najat Vallaud-Belkacem, Christian Taubira

Il était donc indispensable pour BOZO de ne pas laisser planer le moindre doute (mais qui pouvait en douter ?) : oui, il sera candidat en 2022 !

C'est donc à l'occasion de l'un de ses déplacements dans le cadre de sa campagne de propagande orchestrée dans les établissements scolaires laïques qu'il a "offert" l'annonce de sa candidature au quotidien très fidèle, franc-maçon et progressiste de son ancien ministre Jean-François BAYLET (empêtré, après ses déconvenues dans le détournement d'argent public, dans des affaires de viols et harcèlements sexuels !) ; en voici le contenu intégral !

Présidentielle 2022 : François Hollande ne dit pas "non" à une candidature, mais que c'est "prématuré"


À l'occasion de sa venue à Toulouse ce jeudi 6 mai, où il a rencontré des collégiens et des lycéens, l'ancien Président de la République, François Hollande, s'est exprimé sur l'état de la gauche et son éventuel rôle, à l'approche de la présidentielle 2022.
François Hollande jouera-t-il un rôle dans l'union de la gauche en vue de la course à la présidentielle en 2022 ? Il n'y a pas tout à fait renoncé, visiblement. L'ancien Président de la République était en déplacement à Toulouse ce jeudi 6 mai. Une journée bien remplie, qui a commencé par des échanges avec des élèves sur le thème de la République, au lycée Berthelot et au collège Bellevue. Auteur d'un livre, Leur Etat expliqué aux jeunes et aux moins jeunes, sorti en octobre dernier, il a répondu aux questions des jeunes sur une dizaine de thématiques, des attentats à la laïcité, en passant par sa propre vocation politique. Lorsqu'un collégien lui a demandé s'il était "toujours de gauche", François Hollande a répondu par l'affirmative, sans hésiter.
Questionné par un autre sur les raisons pour lesquelles il n'avait pas été candidat à sa réélection, en 2017, il a fait part de ses "regrets" d'avoir renoncé trop tôt, en décembre 2016, alors qu'Emmanuel Macron était déjà lancé dans la course à l'Elysée. "Mais il ne faut pas avoir des regrets, ce qui est fait est fait. Et ce qui compte désormais, c'est 2022", a-t-il ajouté.
Alors que la gauche peine aujourd'hui à trouver une tête de proue pour se lancer dans la course à la présidentielle, la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo a affirmé vouloir "prendre son temps" quant à une éventuelle candidature, tout en ne se disant pas favorable au principe de la primaire pour désigner un candidat à gauche. Interrogé par La Dépêche du Midi à la sortie du collège Bellevue, François Hollande n'a, lui non plus, pas exclu la possibilité d'une candidature, même s'il considère qu'elle serait "trop prématurée" à l'heure actuelle.
Selon lui, l'union à gauche est "presque secondaire". "Il faut d'abord une force qui porte l'idée d'un changement possible et crédible, a-t-il déclaré. C'est ce que François Mitterrand a fait, ce que j'ai fait aussi quand j'ai été élu. Si on n'est que dans les combinaisons, les affaires d'appareils, les recherches de candidatures, les primaires, on ne s'adresse pas aux Français."
"Il faut une identité, une incarnation"
"Il faut leur présenter ce que la gauche ferait aujourd'hui. Elle ferait mieux certainement que ce qui se passe en ce moment", a-t-il poursuivi, taclant au passage son successeur à la tête de l'Etat, Emmanuel Macron. À l'approche du 40e anniversaire de l'élection de François Mitterrand comme Président de la République en 1981, François Hollande a fait plusieurs références à celui qui reste un modèle pour les socialistes. "La leçon de Mitterrand, c'est que pour avoir été élu, il lui a fallu un grand parti, un projet et être crédible, a-t-il poursuivi. Il est nécessaire d'avoir une vision, une identité, une incarnation, quelqu'un qui porte le projet."
Face aux nouveaux défis à relever, dans une France traumatisée par la crise sanitaire, comment compte-t-il se positionner durant les prochains mois ? "Pour l'instant, je transmets à la gauche ces leçons-là. Il y a encore du temps, on n'est pas à la veille de l'élection. Le premier devoir, c'est de faire des propositions. C'est à partir de là qu'il y aura une relation avec les Français qui s’établira. Ce n'est pas simplement en affichant une candidature qui est, de toute façon aujourd'hui, prématurée."

Rédactrice : Manon Haussy, "La Dépêche du Midi", 7 Mai 2021

 

Les Etoiles ne renoncent jamais !

Le soir même, pour fêter cette merveilleuse nouvelle, il rejoignait la Place de la Bastille où, en souvenir de sa victoire électorale du 6 mai 2012 au terme de laquelle il avait terrassé le tyran SARKOZY, ses amis metteurs-en-scène Jean-Michel Ribes et Olivier Pic, avaient organisé une grande soirée festive dans la tradition de celles organisées par l'ineffable Jack Lang. Anne Hidalgo avait consenti à ce que la "Colonne de Juillet" retrouve pour l'occasion son décor de Noêl, et des drapeaux des pays musulmans du Maghreb et de l'Afrique sub-saharienne étaient à nouveau déployés en signe d'allégresse sur les marches du Monument.

bastille2012Comme le 6 mai 2012, la fête était animée par deux artistes majeurs, présents en 2012, où ils avaient enflammé la foule nombreuse venue célébrer son héros : bien sûr, la très célèbre Camélia Jordana Riad-Aliouane, attachée de presse d'Assa Traoré et accusatrice des violences systémiques et des contrôles au faciès pratiqués par la Police Nationale ; et l'ancien chanteur, tennisman et coach sportif sans emploi, Yannick Noah, activiste depuis New-York où il vit des thèses du racisme systémique dans la Police et défenseur engagé des valeurs décoloniales et racialistes, qui étaient bien présents. Omar SY, en tournage pour Netflix, et le prestigieux philosophe Lilian Thuram - champion du monde 1998 de football - n'avaient pu faire le déplacement mais avaient enregistré un message lu à la foule des très rares immigrés "sans papiers" et demandeurs d'asile, rassemblés sur la Place à l'initiative de Patrick Kanner et Bernard Cazeneuve,  contre paiement. On nous a assuré que ce procédé où les hommes politiques paient des spectateurs pour remplir les salles où il se produisent, est pratique courante.

Le grand moment de la soirée, dont nul ne gardera le moindre souvenir, fut bien sûr la production sur la scène de l'ex-président candidat, qui, pour rendre hommage à son électorat musulman, le seul qu'il est persuadé pouvoir duper avec ses promesses, et se convaincre lui-même qu'il avait quelque chance de l'emporter en 2022, interpréta longuement sur scène la très hypnotique danse "soufi" des "derviches tourneurs" ! Gloire à lui et bonne chance, même si aucun élu de la Mairie de Paris et aucun membre du Bureau National du Parti Socialiste n'avait jugé bon de répondre présent aux invitations lancées.

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