Militant et éminent responsable révolutionnaire trotkiste-lambertiste des années 1970, converti au parti socialiste sous MITTERRAND dans le cadre d'un vaste plan d'entrisme et noyautage de la social-démocratie, utilisée comme cheval de Troie pour s'emparer et exercer le pouvoir sous couverture.
Favorisé par la protection présidentielle mitterrandienne, qui pensait manipuler ces jeunes activistes pour affaiblir ses adversaires aux Présidentielles de 1988, il règne désormais sur la diplomatie, drapé dans la dignité de sa toge universitaire, paré par les médias progressistes admiratifs du titre de "meilleur historien de la colonisation française en Algérie".
Il est le conseiller diplomatique de l'ombre pour les relations avec les états maghrébins, tout puissant depuis l'accès au pouvoir de présidents socialistes - HOLLANDE et MACRON - qui n'ont jamais participé ni connu ce conflit, et leur dicte la politique à suivre lors de ses visites régulières à l'Elysée où il a refusé d'occuper un bureau.
Adoubé à la fois par les Présidents français et ses frères politiques du FLN algérien, médiatiquement incontournable, il est omniprésent sur le sujet où ses avis ont valeur de paroles évangéliques ! Pas question d'évoquer les relations franco-algériennes sans qu'il ne soit présent sur les plateaux de télévision, ne donne des "interviews", n'écrive des articles de presse ou des ouvrages historiques, ne soit doctement consulté par les Présidents de la République qui réclament son expertise et ses avis : c'est "le Guide", "le Sage", "l'Expert", arguant fièrement des qualités "d'historien engagé" et "d'universitaire", sans que jamais ne soient évoqués ses activités révolutionnaires ni son constant engagement politique progressiste au fil des décennies. Il intervient donc pour indiquer un cap, avec le prestige du sage apolitique, homme de culture et de raison dépouillé des passions humaines conflictuelles, connaissant mieux que quiconque l'histoire, à même de fournir une analyse dépassionnée et une vision prospective sur un sujet aussi explosif !
Quelles que soient les qualités de l'homme, par la magie de la presse et des médias audiovisuels français, l'activisme politique et révolutionnaire du militant de ces cinquante dernières années est gommé pour laisser place à la diaphane Pythonisse divinatoire en charge d'éclairer les Présidents français en matière diplomatique avec les pays maghrébins !
Et pourtant, la colonisation et les actions terroristes menées par les mouvements de libération autochtones, il les a directement vécus et en a subi toutes les conséquences. Né à CONSTANTINE (département français de l'Algérie) en 1950, dans une famille juive pratiquante, il sera formé à l'école publique laïque de la République, tout en suivant les cours de l'école hébraïque. C'est en 1954 que sont déclenchées les hostilités ; voisin de l'Hôpital militaire, il voit les convois qui ramènent les victimes des combats, est témoin des explosions la nuit et devra rester cloîtré chez lui durant les deux années précédant l'indépendance, en 1961 et 1962.
Son père qui a longtemps hésité à quitter l'Algérie comprend que l'Islam est le moteur de la révolution et que le nouvel état deviendra à terme une théocratie. C'est donc vingt jours avant la déclaration d'indépendance que la famille quitte, dans la précipitation et sans bagages, par avion militaire l'Algérie pour s'installer en FRANCE.
L'installation dans les grands ensembles à SARTROUVILLE, est un traumatisme : sentiment d'être rejeté par les français, faisant suite à deux "trahisons" qui avaient marqué la communauté juive algérienne : l'abrogation, en juin 1940, par Vichy du décret Crémieux qui retirait aux juifs leurs droits de citoyens français, aggravé en 1942 par la dépossession de leurs biens ; puis celle de DE GAULLE qui leur avait promis que l'Algérie resterait française et s'était dédit !
Au Lycée Jeanson-de-Sailly où il est scolarisé, l'adolescent dit souffrir de moqueries et d'antisémitisme auxquelles il échappe en dissimulant ses origines orientales et juives. Partagé entre deux mondes dont il se sent rejeté, il se considère dès lors comme un "apatride".
Et cette révolte va marquer son engagement politique, puisqu'il a 18 ans en mai 1968
Tant de colère accumulées contre les trahisons des gouvernements français envers la communauté juive et les colons français, tant de ressentiment nourri contre le mauvais accueil voire le rejet réservé par les métropolitains lors de l'arrivée sur le sol national des français d'Algérie expulsés de leur ancien département et spoliés de tous leurs biens, tant de révolte ressentie face au mépris de ses camarades de lycée parisiens pour la singularité que représentait leur jeune compagnon juif oriental s'exprimant parfaitement en langue arabe, le conduisent - par esprit de revanche et de vengeance - à adhérer dès 1969 à l'OCI (Organisation Communiste Internationaliste), Parti révolutionnaire radical trotkiste, membre de la 4ème Internationale. Dans cette secte d'extrême-gauche révolutionnaire, en proie à d'incessants conflits, ostracisations et recompositions suite à des guerres picrocholines opposant ses membres sur des interprétations doctrinales de la pensée trotkiste ou des dissensions sur la tactique à suivre, c'est au sein du groupe "lambertiste" qu'il avoue retrouver "la chaleur et la fraternité communautaire" dont il a été sevré et qui lui ont tant manqué.
Le trotskisme est défini par la IVe Internationale de 1938 qui est une scission de la IIIe Internationale communiste. Prenant le contre-pied de Staline et de Boukharine qui sont partisans d'instaurer le "socialisme dans un seul pays", le courant de Trotski, considéré comme l'aile gauche du parti communiste, prône la "révolution permanente et mondiale". Le trotskisme critique la bureaucratisation du parti communiste soviétique et la dérive totalitaire du stalinisme et défend une certaine démocratie au sein du parti.
Sur le plan politique, le trotskisme se réclame du communisme révolutionnaire et veut mettre un terme au capitalisme. Il prône une lutte des classes incessante jusqu'à la mise en place du socialisme. La paix ne pourra venir que d'une révolution socialiste mondiale conduite par les populations laborieuses afin d'utiliser les moyens de production pour satisfaire les besoins de l'humanité et non pour le profit d'une minorité.
Pendant 15 ans, il en sera l'un des membres permanents les plus importants et influents, d'où son surnom flatteur de "commissaire politique" et le "visseur de boulons" en raison de son intransigeance dogmatique.
Cette organisation se caractérise par un fonctionnement secret et centralisé, soucieuse d’étendre son influence plutôt que de se faire connaître dans les médias ; son hermétisme, ses méthodes très autoritaires pratiquées dans le cadre du « centralisme démocratique » imposé à ses membres, ses groupes d'études à pensée unique (les GER, groupes d'études révolutionnaires), le temps d'investissement important demandé à ses militants et l'obligation à chacun de rendre compte de son activité politique.
Astreints à la clandestinité et l'anonymat, ses membres utilisent des "pseudos" : STORA est "TRUFFAUT" ; durant les quinze années où il a été la tête pensante de l'OCI, son alter-ego en charge du noyautage des mouvements lycéens et universitaires est Jean-Christophe CAMBADELIS (qui deviendra Premier Secrétaire du PS et que STRAUSS-KAHN aurait nommé Premier Ministre s'il avait été élu Président), sous le nom de "KOSTAS" ! D'autres membres éminents sont très connus et ont fait une belle carrière : au premier rang, Lionel JOSPIN, alias "Michel" (il a nié les faits alors qu'il était Premier Ministre, affirmant que "Michel" était son frère ; avant de se rétracter et d'admettre qu'il était membre des trotkistes-lambertistes) ; les frères David et Daniel Assouline, et, cerise sur le gâteau, le plus révolutionnaire et intransigeant des trotkistes-lambertistes liberticides et franc-maçons, mué islamo-gauchiste par sa liaison avec une membre de cette communauté : l'ineffable Jean-Luc MELENCHON, alias "Santerre".
Ce micro-parti (Pierre BOUSSEL, alias "Michel LAMBERT", son créateur et théoricien, s'est présenté aux présidentielles de 1988 où il a fait le score impressionnant de 0, 37% !), avec l'alliance de l'autre chapelle trotkiste, la "Ligue Communiste Révolutionnaire" plus spécifiquement axée sur la représentation élective et le noyautage des syndicats ouvriers, qui compte au nombre de ses membres éminents Julien DRAY et Harlem DESIR, co-fondateurs de SOS RACISME et bien sûr l'ineffable et incontournable Edwin PLENEL (alias Joseph KRASNY), trotkiste impitoyable, sans morale ni principes, engagé dans un combat sans merci contre la nation française, soutien du terrorisme et de l'intégrisme islamique. Poussés par MITTERRAND, confronté à la cohabitation avec un gouvernement de droite dirigé par CHIRAC dont il veut "pourrir" l'action, ils vont réaliser cet "entrisme" que refusait LAMBERT lorsqu'il fut exclu, en 1953, du Parti Communiste Internationaliste, car il s'opposait au noyautage des tout puissants partis staliniens, et surtout du PCF !
Es qualité de cadre dirigeant des "trotkistes lambertistes" et d'historien universitaire, STORA a rédigé sa thèse consacrée à Messali Hadj, premier leader indépendantiste à prôner, dès 1927 l'indépendance de l'Algérie. Fondateur du MNA, le premier mouvement indépendantiste, le plus important et le plus influent, contre lequel entra en conflit violent le FLN, crée bien plus tardivement, minoritaire mais qui s'imposa en assassinant les cadres du parti de MESSALI, en les emprisonnant après l'indépendance et la conquête du pouvoir, en les terrorisant, ne leur laissant d'autre choix que l'exil en terre ennemie, la France miséricordieuse. D'ailleurs, MESSALI s'y réfugia (bien que l'ayant combattue), et y finit ses jours en 1974. Sa fille avait offert à STORA l'intégralité des documents manuscrits qu'il avait rédigés lors de son activité politique (6000 fiches de sa main), ce qui lui fut évidemment d'une aide préciseuse pour la rédaction de sa thèse.
Lors de sa rédaction, STORA se lia d'une amitié profonde avec Mohamed HARBI, membre influent du FLN, qui avait participé pour ce parti à la négociation des Accords d'Evian, tendance BEN BELLA, historien lui aussi qui avait rédigé une biographie de MESSALI ; lorsque BEN BELLA fut renversé par BOUMEDIENNE, HARBI fut emprisonné plusieurs années par ses "chers" camarades, avant de s'enfuir et trouver refuge en France bien entendu, où il fit carrière d'enseignant universitaire et d'écrivain.
De ses écrits, je ne retiendrai qu'une chose, au sujet des assassins du FLN qu'il dirigeait pourtant : « Nos idéaux étaient en contradiction avec les moyens qu’imposaient nos dirigeants pour les faire triompher. Libertaire de conviction, […] je me retrouvais dans une organisation où l’autoritarisme plébéien inculquait à chacun que le mal se convertit en bien sitôt qu’il se fait au nom de la révolution. Je souffrais du recours à des pratiques telles que l’égorgement, les mutilations (nez ou oreilles coupées) et du discrédit que les tueries faisaient peser sur nous…».
A partir de cette époque, STORA, bien que juif et ancien colon français, fut reconnu et admis comme interlocuteur par les autorités algériennes dont il fut l'ambassadeur de l'ombre auprès du gouvernement français ; lui, qui avait déclaré lors d'une interview, se considérer comme "apatride" partagea sa vie entre l'Algérie, (ayant retrouvé à CONSTANTINE les traces de son enfance), et la France, où s'épanouissait son militantisme révolutionnaire trotkiste, ses activités d'historien et d'enseignant.
En devenant Premier Secrétaire du PS après l'élection présidentielle de MITTERRAND en 1981, Lionel JOSPIN avait ouvert à ses camarades "lambertistes" les portes du PARTI SOCIALISTE au pouvoir ; ils se précipitèrent bien entendu, pour le noyauter et en prendre le total contrôle. STORA et CAMBADELIS intégrèrent le PS avec 400 lambertistes dans la besace, l'UNEF (syndicat étudiant) et la MNEF (mutuelle étudiante et pompe à finance) sous contrôle total. STORA siègea désormais dans un groupe d'experts du PS.
Mais, au début des années 1990, une série de drames personnels vint interrompre sa brillante trajectoire ; la perte d'un enfant d'abord, qui l'anéantit. Ses amis disent qu'il ne sera plus jamais le même. Puis, des problèmes de santé, qui nécessitent une délicate intervention cardiaque. Et, pour couronner le tout, sa proximité de compagnon de route du FLN, qui lors de la guerre civile débutée en 1991, la "décennie noire", va opposer le GROUPE ISLAMISTE ARME, émanation du FRONT ISLAMIQUE du SALUT (parti politique islamiste qui a remporté de manière écrasante les premières élections démocratiques libres en Algérie au premier tour des élections législatives le 26.12.1991), processus démocratique interrompu par un coup d'état de la "junte militaro-politique" FLN au pouvoir, qui rejette la démocratie et impose au pays sa domination sans partage par la terreur. Les dirigeants corrompus du FLN mettent en coupe-réglée le pays depuis son indépendance en 1962, et ne cessent de l'appauvrir et le ruiner par leur corruption et leurs détournements, réduisant une bonne partie de la population misérable à l'exil chez l'ennemi historique, la FRANCE, opportunément rendue responsable de tous les maux, malheurs et difficultés de la Nation.
STORA, du fait de sa proximité trotkiste avec les "putschistes" reçoit des menaces de mort très précises ; mais le gouvernement français veille sans compter sur lui : d'abord, au moyen d'une forte protection policière ; puis, lui fournit ainsi qu'à sa famille, des passeports diplomatiques et il s'exile au VIETNAM, où il travaille à l'Ecole Française d'Asie et d'Extrême-Orient ; pendant sept ans, le temps nécessaire pour que le FLN élimine les membres du GIA en Algérie, il vivra donc en toute sécurité à l'étranger et pourra apronfondir son oeuvre d'historien : après HANOI, ce seront NEW-YORK et RABAT.
A son retour, son statut est transcendé ; le militant trotkiste-lambertiste est toujours "l'historien engagé", mais il devient "l'incontournable Monsieur Algerie", conseiller diplomatique de tous les Présidents de la République progressistes qui souhaitent apaiser les relations avec ce pays, en dépit de l'évident refus des dirigeants du FLN : le sentiment anti-français et la haine de l'ancien colonisateur sont enseignés dès l'école primaire, sans cesse attisés et alimentés par les autorités, puisqu'il constitue le seul facteur d'unité de cette nation.
Dès son retour en France, ses relations sont excellentes avec Jacques CHIRAC ; le Président est attentif à ses conseils : démagogue au possible, contrairement à tous ses prédécesseurs, il admet la responsabilité de l'Etat Français dans la rafle contre les juifs du 16 juillet 1942 (dite du Vel d'Hiv) ; sur les instances de l'indépendantiste guyanaise Christine TAUBIRA, et bien que ses ouvrages sur l'esclavage aient volontairement tu la réalité historique en passant sous silence la part énorme de responsabilité des arabes, pour n'en faire porter la seule faute sur les nations européennes, il crée une journée de la commémoration de l'esclavage célébrée tous les 10 mai !!!
Et enfin, sur les instances de son "Monsieur ALGERIE", il institue l'année 2003 comme celle de l'Algérie, et lors d'un voyage officiel la même année, considéré comme un ami des Arabes et un soutien de la cause palestinienne, il fait devant le Parlement algérien un discours qualifié par certains thuriféraires d'historique : "certains souvenirs sont comme des amis communs, ils savent faire des réconciliations ..."
Mais le "traité de réconciliation" qu'il négocie se heurte, comme prévu, à un refus algérien au motif d'une loi adoptée par le Parlement français qui mentionne dans l'un de ses articles "le rôle positif de la colonisation qu'on enseignera à l'école", qui soulève immédiatement l'indignation des intellectuels de gauche pro-FLN, STORA en tête, qui exigent par pétition son abrogation ; dans ses mémoires CHIRAC indique que lors des négociations d'un futur traité, l'ALGERIE exigeait que la FRANCE inscrive dans le Préambule "ses regrets pour les torts causés à l'Algérie durant la période coloniale", autrement dit la reconnaissance d'une culpabilité que CHIRAC, malgré l'immense souplesse de son échine, n'acceptera pas. Il avait participé, au grade de sous-lieutenant, aux évènements à partir de 1956 et vu les crimes inhumains perpétrés par les assassins du FLN.
Avec SARKOZY, qui connaît le personnage, les relations se tendent : STORA perd son émission sur le Maghreb sur FRANCE CULTURE, ainsi que son poste d'enseignant à SCIENCES-PO.
Pendant la campagne pour les présidentielles 2012, il a fait venir le candidat HOLLANDE au Pont-de-Clichy, d'où il avait lancé une rose en souvenir des algériens, soi-disant jetés dans la SEINE par la Police, le 17 octobre 1961. Aussitôt élu, il fait reconnaître officiellement cette date.
Mais STORA est surtout l'inspirateur et le rédacteur du fameux discours du 20 décembre 2012 que HOLLANDE, en visite officielle en ALGERIE, prononce devant les Parlementaires algériens. Lancé par STORA dans une course folle à la repentance, il dénonce "le système profondément injuste et brutal de la colonisation", avant d'aller se recueillir devant le "Mémorial des Martyrs" à ALGER et honorer la mémoire des assassins des 27800 militaires français tués, des 1000 disparus, des 2788 civils assassinés et des 875 disparus ; de ces milliers de français innocents, hommes - femmes - femmes enceintes et leur fœtus - égorgés, éviscérés, castrés, mutilés par les terroristes.
En 2014, en gage de remerciement, STORA est nommé à la Présidence du "Musée de l'Immigration" ; chez les révolutionnaires mondialistes, on apprécie beaucoup les honneurs, les médailles et les récompenses !.
Seule ombre dans ce tableau idyllique, à la suite des attentats de Novembre 2015, lorsque HOLLANDE, acculé par les dramatiques effets de son incompétence, propose que puissent être déchus de la nationalité française les binationaux impliqués dans ces affaires : inacceptable pour STORA et les intellectuels de gauche évidemment ; et une pétition, une pétition de plus ...
Dès février 2017, il s'est rendu à ALGER en tant que candidat à la présidence de la République française et a tenu, lors d'une interview télévisée, des propos sirupeux au goût d'orgeat et d'hypocras pour tout dirigeant du FLN, dignes d'un candidat à la Présidence de la République algérienne (si tant est que la démocratie eut jamais existé dans ce pays totalitaire) : il qualifie "la colonisation" de "crime contre l'humanité que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses !"
Et de courir au "Mémorial des Martyrs" pour cracher sur la mémoire de toutes les victimes civiles et militaires françaises et célébrer leurs assassins et bourreaux.
Si ces propos résument parfaitement la pensée et l'activisme pro-FLN de Benjamin STORA, il n'en soutient pas la rude expression : "Je n'aurais pas dit cela comme cela !" concède-t-il devant la Presse quelques jours plus tard. Mais rien de nature à altérer ses relations avec le jeune Président qui persiste dans cette relation :
Les bulletins d'information nous avisent qu'Emmanuel Macron a reçu, le vendredi 24 juillet 2020, l’historien Benjamin Stora et lui a confié une mission sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », en vue de favoriser « la réconciliation entre les peuples français et algérien », a annoncé l’Elysée.
Remis au Président le 20 janvier 2021, ce rapport n'apporte rien de révolutionnaire, sinon qu'il conseille de renforcer auprès des élèves français l'éducation sur l'horreur que fut la colonisation, se repentir, s'excuser, s'aplatir devant un régime totalitaire et anti-démocratique, céder à tous ses caprices, accueillir sans compter les millions d'habitants auxquels il est incapable d'offrir des conditions de vie décentes, un travail, une éducation et des soins. Et surtout, ne jamais évoquer les dizaines de milliers de morts français et les tortures indignes infligées à des innocents égorgés dont les corps ont été ignoblement suppliciés. Car le parti indépendantiste ne saurait être que victime, les atrocités commises étant justifiées par son juste combat révolutionnaire !.
Un nouveau rapport était-il nécessaire dans ces conditions ? Pour parvenir à ce résultat, était il besoin de sortir une artillerie aussi lourde et onéreuse pour le budget public : reconnaissons qu'en matière de soumission, de repentance et d'humiliation, le Président MACRON est un surdoué et n'avait nul besoin - avant même le début de toute négociation - d'un rapport trotkiste de plus pour se coucher, céder sur tous les points d'achoppement avec la partie adverse, humilier son pays pour mieux l'anéantir et le dissoudre dans une autre entité.
De son paradis trotkiste, "Pierre LAMBERT" peut être fier de son meilleur disciple ; l'entrisme a réussi au-delà de toutes les espérances, le PS est détruit, mais les "trotkistes lambertistes", qui l'ont si habilement utilisé comme "cheval de Troie", dirigent en sous-main l'appareil d'Etat, sa diplomatie, la Presse, la Justice et, au nom de la révolution permanente internationaliste, dissolvent totalement l’État français.
Parodiant Alphonse Allais, on ne peut que constater le bien fondé de sa remarque : "Une fois qu'on a franchi les bornes, il n'y a plus de limites". Car l'insoutenable est désormais atteint et dépassé en matière d'humiliation et de dégoût contre la France et ses citoyens ; après les pays du Maghreb, ce sont désormais les pays sub-sahariens qui crachent sur notre nation, malgré les milliards de fonds publics investis sans compter pour les aider à survivre, les vies de nos 52 soldats sacrifiés, à leur demande, pour qu'ils ne tombent pas sous le joug et la domination de la loi islamique. Désormais, au rythme trimestriel des coups d'état de militaires d'opérette, n'importe quel caporal auto-investi des pouvoirs impériaux, exige le départ immédiat et la retraite de notre drapeau et de nos armées auxquels ils doivent pourtant tout ! Ils savent bien entendu que le pouvoir exécutif en France est d'une telle faiblesse, d'une telle veulerie, d'une telle lâcheté, que malgré les insultes, les provocations à notre encontre qu'ils profèrent devant l'assemblée générale de l'ONU, malgré les crachats, la fange et les abjections déversés sur le mémoire de nos soldats morts au combat pour les protéger, nos dirigeants progressistes persisteront à déverser sur eux les milliards d'euros qui nous manquent tant dans notre vie quotidienne, continueront à accueillir à bras ouverts avec générosité les millions d'émigrés dont ils se débarrassent tous les ans, qui seront logés, nourris, en bénéficiant d'aides sociales démesurées, de l'enseignement scolaire et de soins gratuits pour eux-mêmes et leurs enfants, tout en faisant vivre des villages entiers en envoyant une partie de ces aides à leurs familles. En rétribution, nous aurons le plaisir de nourrir et assister la famille multidélinquante des TRAORE au rang de nos pires contempteurs et organisateurs de désordres permanents ; d'avoir notre hymne national et nos couleurs sifflées, huées, bafouées lors de toute rencontre sportive contre une équipe nationale maghrébine en France ; d'assister aux défilés dans nos rues des supporters hystérisés des équipes maghrébines à l'occasion de la plus quelconque des victoires, prêts à brûler notre drapeau arraché du fronton des mairies, piller les boutiques et incendier les biens publics, briser et dégrader les statues de nos héros nationaux, et même provoquer la mort d'innocents soit en les tabassant sous l'effet de l'alcool, soit par une conduite inconsciente et dangereuse au volant de leurs véhicules. Et tout citoyen qui osera dénoncer ces forfaits sera immédiatement qualifié de fasciste, raciste, homophobe, etc ... par nos médias asservis et complices, ostracisé et interdit de toute intervention médiatique les moindres de ses propos ou interventions étant systématiquement travestis, déformés, tournés en ridicule sans qu'il puisse s'en défendre, mis au ban de la société bien-pensante, voué aux gémonies et au silence !.
Même à placer notre diplomatie au fond d'une fosse septique, recouverte du drapeau national et de l'honneur des jeunes soldats qui ont donné leur vie pour le défendre, puis inviter les putshistes révolutionnaires des pays maghrébins et les ubus-rois d'opérette des pays sub-sahariens à venir se soulager dessus et se torcher le derrière avec le morceau de tissu tricolore, nos dirigeants déjà aplatis au sol et rampant, ne parviendront pas à abaisser plus encore le pays.
Car tout le monde a bien compris que dans leur esprit munichois et collaborationniste, la NATION doit disparaître, dissoute dans cet ordre révolutionnaire mondial voulu par Léon TROTSKI ; sa fière devise sera désormais : REPENTANCE, SOUMISSION, LACHETE, HUMILIATION !