"C'est un malheur du temps que les fous guident les aveugles"
William Shakespeare - "le Roi Lear"
" Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. "
Cicatrice purulente et nauséabonde devant l'Histoire
Faible avec les forts, fort avec les faibles !"
Cinquième colonne
Prophéties
Il y a des gens qui mentent simplement pour mentir.
On peut mentir une fois à tout le monde, tout le temps à une personne mais pas tout le temps à tout le monde
François Hollande 🤡 ment le matin, le midi et même le soir ; il abaisse la République et la démocratie
« Hollande 🤡 ment tout le temps. C'est pour ça qu'il est à 20% dans les sondages. Il ment. Il ment tout le temps depuis le début
C'est moins grave de mentir pendant quinze secondes devant 577 députés que de mentir depuis un an sur l'état de la France, comme le fait François Hollande 🤡 …!
Quand les journalistes m’emmerdent je prends une participation dans leur canard et après ils me foutent la paix
Hollande 🤡 a jonglé entre opposants et partisans, fait plaisir à la droite et au FN. Il s'est pris pour Mitterrand, mais il lui manque un étage
Le malheur des gens qui ont beaucoup menti est que personne les croit lorsqu'ils disent la vérité
Les socialistes ont une si haute idée de leur propre moralité qu'on croirait presque, à les entendre, qu'ils rendent la corruption honnête en s'y livrant
J’avais raison, Hollande 🤡 est un incapable. Il a tout raté : le chômage, il n’a pas réussi à le faire baisser, et la croissance n’est pas au rendez-vous. Tout va de travers.
L'une des caractéristiques de François Hollande 🤡, c'est de considérer que le mensonge est une pratique normale en politique
Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues
Le fascisme peut revenir sur la scène ; il se nommera "antifascisme".
Pier Paolo PASOLINI 1922-1975 Lettres Luthériennes
Les gens de gauche ont rarement de grand projet, ils font de la démagogie. Et se servent des mouvements d’opinion. La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme ça que l’on a fini dans l’abîme en 1940….. Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux… Ils gaspillent toujours la plus grande partie des crédits. On ne les a jamais vu dépenser efficacement les crédits… Je n’aime pas les socialistes, car ils ne sont pas socialistes…. Parce qu’ils sont incapables, Ils sont dangereux.
Charles de Gaulle 1890-1970
"Nous savons qu'ils mentent. Ils savent qu'ils mentent. Ils savent que nous savons qu'ils mentent. Nous savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent. Et, pourtant, ils persistent à mentir."
"Il y a des gens qui se croient le talent de gouverner par la seule raison qu'ils gouvernent"
Napoléon Bonaparte, Empereur des Français
Bien sûr, Jules CESAR n'eut besoin de personne, si ce n'est d'un scribe, pour scénariser sa glorieuse "Guerre des Gaules", ouvrage tout entier conçu comme arme de conquête, d'abord pour égaler la gloire militaire de son rival POMPEE le GRAND, puis écarter ce gêneur de sa route, et surtout lui permettre d'assassiner la glorieuse REPUBLIQUE, désormais vassalisée et soumise à la volonté d'un CESAR. Le chapitre final et la postface, rédigés par son fils adoptif Brutus et le parti des sénateurs républicains mirent un point final à cette belle aventure personnelle ; mais l'ère d'anarchie et de déshérence qu'elle avait initié signent, après des siècles de sursauts, de réactions glorieuses, de pourrissements et de rechutes dramatiques, la fin de l'Empire Romain d'Occident que les historiens datent de 476.
La sainteté du capétien Louis IX, dit Saint Louis, repose en partie sur le récit hagiographique qu'en fit son compagnon de croisade, Jean-de-Joinville, devant le Tribunal ecclésiastique instruisant son dossier en sainteté, dont il tira ensuite un ouvrage connu sous le titre de "VIE DE SAINT LOUIS". Philippe de Commynes, bien que très engagé aux côtés de Louis XI dont il sera le conseiller et obtiendra maints privilèges, et opposé à son successeur Charles VIII, contre lequel il ne cessa d'ourdir des complots, laissa dans ses "Mémoires" un récit objectif du règne des deux rois.
En ce XVIIIe siècle, dit "des Lumières", où la splendeur rayonnante d'un Roi Soleil n'a d'égale que le génie des grands artistes, qui fonderont à tout jamais le prestige du "classicisme" français, il ne fallait rien de moins qu'un philosophe de la trempe de Voltaire pour restituer l'épopée du "SIECLE DE LOUIS XIV" ; avec cette fois l'éminent projet "de ne pas s'attarder au détail des événements, mais de dégager des traits permanents, de donner à comprendre l'esprit de la nation, de définir des lois générales et finalement d'offrir une réflexion sur l'homme." C'est volontairement que j'omets les "Mémoires du Duc de Saint-Simon" tant les célèbres textes qu'il rédigea sur son Monarque et la vie de la Cour au Château de Versailles furent empreints de subjectivité jalouse et malsaine liée à ses ambitions de courtisan déçues.
Par le "Mémorial de Sainte Hélène" d'Emmanuel de Las Cases, témoignage issu de ses entretiens quasi-quotidiens avec l'Empereur en exil entre 1815 et 1816, nous avons la chance de connaître les réflexions de Napoléon, sur sa jeunesse, ses campagnes militaires et les vicissitudes de sa captivité à Sainte-Hélène ; et plus fondamentalement sa conception politique du bonapartisme, conçu comme continuateur de la partie positive de la Révolution française, protecteur des libertés et de la souveraineté populaire, garantie de la prééminence de l'exécutif et du principe des nationalités.
Aujourd'hui encore, sous la Ve République, alors que les récits historiques et mémoires de personnages qui ont connu, servi ou affronté les Présidents dans leur intimité foisonnent, certains de leurs proches collaborateurs ont transcrit fidèlement au quotidien leurs gestes et paroles prononcées lors de réunions de travail ou d'entretiens particuliers, donnant ainsi un aperçu fidèle de leurs réactions dans les différentes tourmentes de l'histoire qu'ils durent affronter en-cours de mandat. Pour le Général de Gaulle, Alain Peyrefitte, l'homme aux grandes oreilles, qui fut son ministre de l'Information, de la Recherche puis de l'Education Nationale lors des évènements de 1968, s'attela à cette tâche et en publia peu avant sa mort la transcription dans un ouvrage en plusieurs tomes intitulé : "C'était De Gaulle". Dans un genre moins académique ni respectueux, il dut affronter les admirables chroniques hebdomadaires de Roger FRESSOZ, rédigées dans le style des mémorialistes du Grand Siècle, que publiait le journal satirique LE CANARD ENCHAINE sous le titre "LA COUR".
Jacques ATTALI fut, pour mon modèle, mon maître, François Mitterrand, son Conseiller tout puissant de l'ombre, son "sherpa" des sommets européens, sa boîte à idées, son petit "Génie", celui qui nous recruta, Ségolène et moi, après notre sortie de l'ENA et nous mit le pied à l'étrier, qui tint le journal quotidien et rigoureux des actes et pensées du monarque républicain, publiées sous le titre de : "VERBATIM" (il fut mis en cause pour plagiat par Elie WIESEL lui-même pour ce livre, et par d'autres professionnels en d'autres oeuvres littéraires).
Alors moi, digne héritier du prophète socialiste et vivante incarnation de son "verbe" : " Je n'aurai réellement réussi en politique que lorsqu'un autre socialiste occupera le poste de Président de la République !", avait-il prophétisé lors de son "Sermon sur la Roche de Solutré", j'aurai aussi mon Jean-de-Joinville et mon VERBATIM !
Je postule que les historiens des temps futurs pourront écrire, décrivant mon règne, parodiant en toute modestie Beaudelaire et son "Invitation au voyage" :
Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté.
L'accomplissement
Comme il faut bien commencer modestement pour rejoindre le Panthéon des plus grandes gloires nationales et figures historiques que j'ambitionne modestement de surpasser, commençons par ce petit site médiocre, dont l'auteur encore plus médiocre et mesquin, s'efforcera de tenir à jour l'héroïque saga de mon addiction au "paraître", aux apparences factices et autres "faux semblants", aux paillettes, au superficiel et à tout ce qui brille et scintille, mon aversion pour l'action, mes atermoiements compulsifs et indécisions pathologiques, mon apathie rédhibitoire, mes "blagounettes" salaces, mes raids de prédation sexuelle dans les milieux subventionnés du journalisme, du cinéma et de la danse, mes mensonges obsessionnels et irrépressibles, ma suffisance et mon mépris des gens simples, durant la durée du mandat miraculeux et inespéré que m'ont confié les électeurs : "que la farce commence ! "
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Charles Baudelaire "Les fleurs du mal" - 1857
"La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain"
Bozo le Clown 🤡"Un Président ne devrait pas dire ça", de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Stock Edition 2016
Sagesse des peuples
"Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n'est pas victime : il est complice !"
Georges Orwell 1903-1950 Ecrits politiques
"La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'escalavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude"