L'archétype absolu et caricatural des thuriféraires de la Présidence du Clown BOZO, prêt à toutes les bassesses et ignominies pour obtenir un poste au sein du Gouvernement et ainsi profiter de l'argent public à des fins festives et personnelles ; sénateur EELV, dès le lendemeain du résultat des élections présidentielles de mai 2012, il tenait conférence de presse avec ses complices DUFLOT et JOLY pour informer le Chef de l'Etat de sa totale disponibilité pour entrer au Gouvernement.
Après n'avoir cessé de cracher son venin au visage du Clown durant la campagne, brusque revirement et le voici lancé dans la dithyrambe ampoulée et rampant tel un mollusque pour onvaincre les socialistes de sa fidélité et de son désintéressement.
Mais la bave qu'il secrète pour parvenir à son rêve est tellement poisseuse, dérangeante et ridicule qu'il ne sera pas choisi malgré ses efforts, alors que DUFLOT rentre au Gouvernement.
Ce n'est qu'en toute fin de quinquennat, quelques affaires de détournement de l'argent public et d'ivresse publique plus tard, alors que tous les rats ont fui le navire qui coule à pic, qu'il obtient un tabouret de "secrétaire d'état" dont lui-même ne connaît pas la nature, lui ouvrant surtout accès aux avantages matériels et financiers attachés à la fonction ; lui n'en demande pas plus : parmi tant d'exploits, la manière dont il se fait ridiculiser par un joueur de tennis pour avoir perturbé une partie où il représente le gouvernement, et l'agression sexuelle d'une militaire de la Gendarmerie attachée à sa sécurité.
Du grand n'importe quoi pour le plus grand arriviste du quinquennat, qui poussera l'ignominie jusqu'à évoquer le "racisme" systémique en raison de ses ascendances coréennes pour culpabiliser et désarmer les procureurs de sa conduite inadmissible et intolérable ; comme d'autres membres de sa secte EELV, il aurait quitté le monde politique aujourd'hui ! Mais jusqu'à quand ? Ses errements multiples sont d'ailleurs évoqués dans un film qui avait créé quelques sensations lors de sa diffusion :