Dans un effort ultime et désespéré pour conserver un mince espoir en une prochaine réélection, BOZZO a tout lâché pour satisfaire "sans dents" et autres "chiens galeux" qui forment avec les "bobos gays" la base de son électorat. La rigueur budgétaire est évidemment passée en pertes et profits, comme les engagements internationaux du pays :
les augmentations électoralistes démagogiques et clientélistes arrosent toutes les couches sociales d'un électorat classique présumé "de gauche" (ce qui constitue une nouvelle preuve de la haute estime pour elles de "l'ennemi de la finance" !)
Peu importe, un seul but, quel qu'en soit le coût et les moyens utilisés : assurer sa réélection !
Dans sa stratégie de communication mise au point par Gaspard GANTZER, lors de ses incessantes interventions télévisées, de ses interviews radiodiffusées et à longueur d'articles de presse quotidiens dans la presse BERGER-NIEL-PIGASSE et DRAHI, BOZZO nous récite son nouveau "mantra", une antienne présumée le relancer dans la course aux présidentielles 2017 : "Ca va mieux !".
Et à CHARTRES, ce 16 avril 2016, il est encore allé plus loin puisque cette autosuggestion est même censée vaincre ce qui restera le signe indien indélébile et marquant de son règne maudit, LA PLUIE.
" Ca va mieux, même la météo va mieux !"