Cambadelis plastronne à Poitiers

cambadelisCAMBADELIS plastronne, le "parrain" est fier : il angélise sur les quais de la gare de Poitiers ! Il ne lui manque que l'auréole de sainteté, mais pour un trotskiste lambertiste, cela ferait tâche !
L'allusion très fine aux 3200 € vise bien entendu SARKOZY pour un voyage pris en charge par les Republicains pour un meeting politique au HAVRE ;

le lendemain, VALLS détournait 24.000 € du budget de l'Etat pour une sortie familiale avec ses enfants afin de se rendre en Allemagne pour un match de football opposant une équipe espagnole à une équipe italienne. Mais il ne récolta que des félicitations morales de "Camba" d'être un aussi bon Père !!!
Qui est Jean-Christophe CAMBADELIS,  le "parrain" adoubé des socialistes (sources Wikipedia), issu du courant trotkyste, sous-courant "lambertiste" comme beaucoup de dirigeants socialistes actuels, que l'on voit s'exhiber sur les quais de la Gare, entre deux TGV qui lui rendent les honneurs ?

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Affaire Agos Poursuivi pour recel d'abus de biens sociaux dans l'affaire Agos – (Agos est une société gestionnaire de foyers de travailleurs immigrés) – car il a bénéficié d'un emploi fictif entre 1993 et septembre 1995 lui ayant rapporté plus de 442 000 francs (environ 67 382 euros), Jean-Christophe Cambadélis est mis en examen en novembre 1996. Il est condamné en janvier 2000 à cinq mois de prison avec sursis et 100 000 francs (environ 15 244 euros) d'amende par le tribunal correctionnel de Paris.

Affaire de la MNEF Quand éclate l'affaire de la MNEF, les médias pointent du doigt les liens connus entre l'imprimerie Efic et le député socialiste. Les enquêtes concluront, en effet, sur un système de fausses factures mis en place notamment par l'intermédiaire de cette imprimerie. Jean-Christophe Cambadélis sera condamné dans le cadre d'un autre volet de ce scandale. Jean-Christophe Cambadélis est mis en examen le 7 juin 2000 pour abus de confiance dans l'affaire de la MNEF. Il est soupçonné d'avoir bénéficié d'un emploi fictif au sein de la mutuelle étudiante MNEF entre 1991 et 1995, pour lequel il aurait touché 620 500 francs (94 580 euros) d'une filiale de la MNEF, au titre d'une activité permanente de conseil, comme l'explique Libération : « De 1991 à 1993, c'est en qualité de « sociologue » que Jean-Christophe Cambadelis a été rétribué à hauteur de 420 499 francs par la Mutuelle interprofessionnelle de France (MIF), une filiale de la Mnef. Cambadelis était alors député, avec revenus afférents. Non réélu en 1993, il reçoit jusqu'en 1995 quelque 200 000 francs supplémentaires de la MIF, en tant qu'administrateur « chargé des contacts auprès des ambassades ou des universités ». Seuls « trois documents manuscrits » auraient attesté du « travail » du député. Le 2 juin 2006, reconnu « coupable de recel d'abus de confiance », il est condamné à six mois de prison avec sursis et 20 000 euros d'amende par la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Cette peine n'est pas assortie de période d'inégibilité.

Affaire du doctorat Le journaliste Laurent Mauduit accuse Jean-Christophe Cambadélis d'avoir obtenu de manière frauduleuse un doctorat de troisième cycle, soutenu en 1985 à l'université Paris VII, sous la direction du professeur Pierre Fougeyrollas. L'usurpation résiderait dans le fait qu'il ne disposerait d'aucun des diplômes lui permettant de s'inscrire en doctorat, n'étant titulaire ni d'une licence, ni d'une maîtrise ou d'un DEA. Jean-Christophe Cambadélis dément, évoquant une dérogation de l'université Paris-VII !.

Un "apparatchik", un vrai, un pur, un honnête révolutionnaire issu de la nomenklatura bien-pensante, donc, tout à fait digne de diriger le parti de la morale laïque et de donner des leçons à ses compatriotes !