Dans le cadre de l'une des ces campagnes de communication risibles digne du "dîner des cons chez l'habitant" qui avait tant ridiculisé le marquis-démagogue Giscard d'Estaing, étalon du Massif Central et accordéoniste virtuose, le Premier Ministre Manuel Valls, petit "Caudillo d'Evry" et le Ministre de l'Agriculture Stéphane LeFoll, ont mis en scène leur réception dans un refuge savoyard par dix agriculteurs de montagne, braves gens figurant au rang des "sans dents", des "illettrés" et des "pauvres",
tellement éloignés des "tapettes bobos gays-friendly" qui font la gloire de la Mairie de Paris et la promotion des godes anals de la prestigieuse collection Pierre Bergé sur la Place Vendôme.
Pour notre part, nous garderons de ce déplacement l'impérissable souvenir des deux ministres ridicules, subjugués dès potron-minet par le réveil de la basse-cour et le chant du coq qu'ils découvraient pour la première fois de leur vie. Le Président de la République en personne avait fait le déplacement dans la nuit pour les soutenir dans cette épreuve angoissante et avait revêtu son costume de coq pour chanter comme le gallinacé : "moi je, j'ai décidé, j'ordonne !"
Puis, après cette descente en enfer dans le cercle des "pecnos", tout ce monde put retourner dans son paradis gay-friendly parisien ratifier l'anéantissement de 80 ans de politique familiale, ressusciter les départements condamnés à mort par le "Caudilleto" il y a six mois, et autoriser l'euthanasie pour raisons de confort familial des personnes âgées, comme l'exigeaient le groupuscule des radicaux de la gauche cassoulet, ces francs-maçons dévoyés indispensables à la fiction d'une majorité de gauche multipartite.
Mais de retour dans la ville « gay-friendly », au milieu des siens, le petit Caudillo retrouva vitalité, joie, bonne humeur et allégresse : d’abord en recevant de FLANBY le Bienheureux la Croix de l’Ordre National du Mérite pour honorer ses six mois d'exercice à la tête de deux gouvernements successifs, puis en se rendant à la FIAC où des artistes avaient déployé des banderoles « PAUL MC CARTHY, Santo Subito » exigeant la béatification immédiate du martyr de l’art moderne sacrifié par les forces obscurantistes ; promettant de leur venir en aide, le Premier Ministre, frissonnant d’aise et de bien-être, put alors prendre la pose auprès de l’escort-girl de l’équipe de France de football, Zahia, qui lui fit totalement oublier son séjour chez les « sans dents » adeptes des transports en autocars.