Bilan des élections départementales

macronEmmanuel MACRON, jeune énarque prodige de la finance internationale pour la Banque Rotshild, est sans aucun doute au sein du gouvernement l'incarnation la plus abouti de la prophétie du candidat HOLLANDE lorsqu'il interprétait au Bourget devant 25.000 personnes un texte rédigé par Aquilino MORELLE, (dont la petite histoire a déjà retenu la perfection du "glaçage" de ses chaussures de luxe) :

"Mon véritable adversaire, il n'a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera jamais élu et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c'est le monde de la finance"

Paroles d'une étonnante modernité au vu de la situation de notre pays, puisque le Président de la République lui-même a nommé au Ministère de l'Economie ce représentant de la haute-finance internationale afin de mener une politique libérale !

La banque Rotshild a du savoir-vivre et sait gratifier ses meilleurs serviteurs : ainsi, en sus des "stocks-options" qui ont bâti sa fortune, Emmanuel Macron, issu des cadres les plus prometteurs du prestigieux établissement, a reçu un cadeau très original et plein de délicatesse,  avec cette paire de lunettes connectées ATOL, dont les spots publicitaires étaient jusqu'à présent assurés par le chanteur-navigateur antédiluvien Antoine ; devant ses collègues banquiers, il a ainsi commenté les résultats des élections départementales, pourtant nationalisées par le Matador d'Opérette qui siège à Matignon et avait tenu des propos de Cassandre quant aux résultats à venir, pour mieux conquérir le coeur des militants de gauche, lui qui est dénoncé comme politicien de droite par ces ouailles difficiles :

macron lunettes light

 

"Le vote départemental, je m'en contrefous et comme le Président de la République l'a annoncé préventivement, nous n'en tiendrons aucun compte ; le suffrage universel, je le méprise et je n'ai pour ma part jamais été candidat à quoi que ce soit. Moi, je défends les intérêts du libéralisme et de la Banque Rotshild, puisque je suis son représentant au gouvernement. Circulez, il n'y a rien à voir !"

Et la réunion se termina par un agréable raout auquel étaient conviés, outre Pierre Bergé (LGBT) et la communauté LGBT - Matthieu Pigasse (Banque Lazard) et Xavier Niel (Proxénétisme mondain), toute la force vive de la bien-pensance d'état autour de ses intermittents pique-assiettes du spectacle et de la clientèle habituelle des pseudos-journalistes accourus à la soupe par l'odeur alléchés.

Son mentor en politique, Matador d'opérette autoritariste assumé, reçut en signe de reconnaissance de sa plus farouche adversaire, qu'il n'avait cessé d'agresser et de combattre par les moyens les plus dégradants toute la campagne, ce jugement définitif qui devrait assurer définitivement sa popularité au sein du peuple de gauche trahi :

"Je ne demande pas à Manuel Valls de démissionner car si l'on peut attendre des hommes d'État de partir avec honneur, les petits politiciens médiocres, eux, s'accrochent généralement malgré la sanction des urnes, incapables qu'ils sont de se mettre au niveau du peuple et de le respecter."