Au terme du discours du clôture du Congrès du Parti Socialiste prononcé par le Premier Ministre, Manuel Valls, nul ne pourra plus prétendre que ces grandes manifestations ne constituent qu'un "raout" mondain, une occasion d'amener sa jeune maîtresse en agréable week-end ; par son engagement, Manuel a prouvé que l'on pouvait y suer beaucoup aussi !
Afin de rendre hommage à cette génération exceptionnelle de politicards corrompus, démagogues, amoraux, cyniques et arrivistes qui ont permis au Parti Socialiste de revenir au pouvoir en 2012 par le mensonge et la manipulation mentale des masses au-travers une presse asservie économiquement et soumise idéologiquement,
- d'abandonner et jeter dans les poubelles de l'histoire les principes fondateurs et l'héritage d'hommes généreux et respectables qui avaient construit l'histoire de ce Parti et en constituent l'honneur,
- de ridiculiser et humilier le principe démocratique dans un état de droit,
- d'abaisser et discréditer le pays par un total manque de vision politique - économique - stratégique au point d'en faire le simple supplétif d'une nation amie dont la gouvernance sereine s'impose à lui parce qu'il n'est que vide et néant,
- d'éradiquer la morale publique sur laquelle la vieille Nation s'était bâtie depuis deux millénaires
- d'anéantir l'enseignement des sciences sociales et de l'histoire qui avaient pour mission de former des citoyens libres et responsables capables de réfléchir par eux-mêmes,
- de bannir ce pays du rang des nations qui comptent,
- de le réduire au rôle de guignol grotesque risée du monde entier, de nation de pleutres - lâches - hypocrites et fainéants gouvernée par des "libertins obsédés sexuels" , des "pédales" et de "lraîtres" (cf "French bashing"),
- enfin d'avoir su distinguer dans ses rangs des personnages aussi ignominieux et provocateurs que Christiane Taubira, Najat Belkacem ou Anne Hidalgo, ces monstres froids d'orgueil et d'ambition personnelle, pour les élever aux rangs les plus élevés de la République,
Le Congrès de Poitiers a décidé de faire évoluer le Parti "ringard" de CAMBADELIS vers plus de modernité en lui donnant une devise puisée dans l'oeuvre du grand cinéaste Claude CHABROL :
La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence, infiniment plus profonde. L'intelligence a des limites, la bêtise n'en a pas.
Et pour illustrer cette nouvelle formule, Christiane Taubira, jamais en manque de coups tordus et de malhonnêtetés intellectuelles, a décidé de s'attaquer personnellement à l'augmentation consternante des délits routiers depuis l'arrivée des socialistes au pouvoir et à son dramatique corollaire, l'augmentation du nombre de tués sur les routes, après dix années de baisse continue. Comme elle l'avait déjà fait pour vider les prisons et faire exploser la délinquance en minorant les peines attachées aux délits et crimes pénaux tout en augmentant le quantum des peines nécessaires pour entrer en voie de condamnation à une peine d'emprisonnement, elle a présenté devant le conseil des ministres un projet de loi visant à contraventionnaliser des délits routiers, aussi graves que la conduite sans permis ou le défaut d'assurance, qui relèveront désormais d'une amende forfaitaire. Dans ces conditions, ces délits devenus contraventions disparaîtront des statistiques officielles et apporteront la preuve de l'efficacité gouvernementale en la matière ! Ces procédés déjà utilisés pour le calcul des déficits budgétaires et de comptabilisation des statistiques du chômage sont désormais parfaitement rodés et efficaces. Pour dorer la pilule, l'amazonienne fera quelques allusions grivoises ponctuées de citations de Léon-Gontran Damas, et le tour sera joué ! Quand aux êtres humains perdant leur vie sur les routes du fait de son irresponsabilité, c'est bien le dernier de ses soucis ! Elle pourra toujours "tweeter" et poétiser sur le malheur des "migrants" et la cruauté des esclavagistes européens, tous ces racistes, fascistes, islamophobes, antisémites, homophobes, pétainistes, bergephobes, ces "beaufs" avinés, nationalistes étroits qui chantent l'hymne national, ces rugbyphiles sots, grossiers et étroits qui haïssent les valeurs qu'elle incarne, elle l'icône amazonienne des "bobos" parisiens.