Dans la grande stratégie de manipulation médiatique de l'opinion qui secoue depuis plus de six mois notre quotidien matin, midi et soir, afin de nous convaincre que "le Président est décidé et combatif" pour conserver par n'importe quel moyen son poste en 2017, de lui accorder quelques points d'indices supplémentaires dans les sondages,
malgré les résultats affligeants et désastreux de sa politique, notamment l'augmentation sans précédent du chômage et du déficit du pays, une pression fiscale et un taux d'imposition des particuliers et entreprises sans équivalent dans le monde, l'abandon d'une politique familiale dont la réussite faisait la fierté, des procès de Moscou quotidiens ouverts par la bien-pensance d'état contre tout adversaire de la ligne officielle, et la censure médiatique des opposants, les guerres déclenchées au bonheur la chance pour l'unique promotion d'un chef des armées clownesque et irresponsable, le financement par les réseaux mafieux - pédérastiques et pédophiles de "gauche" d'un institut de sondage socialiste - ODOXA - en charge d'apporter la preuve d'un retournement de l'opinion à la Presse (Le Monde, le Nouvel Observateur, Libération, Médiapart, Inrocks, I'Tele) en échange de l'impunité judiciaire pour leurs activités criminelles, l'étalement en première page des journaux de son intimité, de ses maîtresses et conquêtes, d'une vie sexuelle de bonobo, perverse et dissolue, à laquelle seule peut se comparer celle d'un malade mental priapique tel que Dominique Strauss-Kahn,
Le FIGARO, dans un des rares articles traitant de cette opération et de son dernier avatar, l'achat pour immortaliser la statue du "commandeur" et le "présidentialiser" d'un chiot labrador pour Noël, parle d'une "opération un peu ridicule " !
Qualifier "d'un peu ridicule" cette vaste offensive de manipulation des esprits, qui prend place dans l'ahurissant chantier de battage médiatique de l'opinion publique, digne de l'union soviétique lorsqu'il fallait exalter le culte de la personnalité du "petit père des peuples" et des techniques modernes de manipulation des masses et de démagogie déployées par Joseph Goebbels pour le "reich millénaire", copiées dans tous les états totalitaires et maintenant triomphantes dans la france socialiste au-travers l'utilisation de la presse écrite placée entre les mains d'intérêts financiers mafieux et communautaristes, de médias audiovisuels asservis au pouvoir, est un doux euphémisme.
C'est un coup d'état qui se déroule sous nos yeux, dont les auteurs, prêts à toutes les lâchetés et démagogies pour garder le pouvoir - jusqu'à simuler l'attachement pour un animal qu'ils détestent - devraient être traduits en haute cour de justice et punis sans pitié ! (enfin, dans la mesure où les contre-pouvoirs s'exercent, ce qui n'est plus le cas en France !) ; la résistance populaire systématique face à cette démocratie totalitaire oppressive est devenue un devoir citoyen. Mais encore faut-il qu'il existe des citoyens libres, ce qui n'est plus le cas tant les jeunes esprits ont été formatés par le socialisme maçonnique qui règne en maître dans les établissements scolaires et les universités de Najat Valaud-Belkacem ; par le "pseudo" journalisme totalitaire enseigné par l'école supérieure de Lille si bien incarné par les pédérastes Laurent Ruquier, Aymeric Caron, ainsi que Jean-Michel Cohen, Frédéric Haziza, Audrey Pulvar, Anne-Sophie Lapix, Maïtena Biraben, Yann Barthès ; par les pseudo-comiques subventionnés comme Nicolas Bedos, Stéphane Guillon ; par les Commissaires Politiques socialistes Edwy Plenel, Jean-Michel Aphatie, Michel Denisot, Nicolas Domenach, Roland Cayrol, Thierry Pech - fondateur du "think-thank socialiste Terra Nova - toujours fallacieusement invités sous couverture d'experts ou de "politologues" pour imposer la doxa socialiste et la bien-pensance d'état ; par le théâtre populaire pédérastique bouffi de suffisance d'Olivier Py et Jean-Michel Ribes ; par les grands sportifs drogués et dopés comme Yannick Noah ou Lilian Thuram, adeptes du bleu-blanc-beur ; et bien sûr par une magistrature séditieuse organisée autour du syndicat de la magistrature qui déroule ses strates cancérigènes depuis l'ENM de Bordeaux, systématiquement promue et privilégiée par Christiane TAUBIRA, l'autonomiste guyanaise anti-française qui occupe le poste des garde des "sots".