Des milliers d'heures accumulées et revendiquées de concubinage notoire et intime avec des journalistes de la presse subventionnée de gauche (celle de droite étant exclue du crime d'entrave à la pensée unique, seule habilitée à s'exprimer en socialie !!!), une campagne de presse colossale menée par le "Bureau de communication et de manipulation mentale"
de Gaspard Gantzer avec l'appui de la communauté LGBT (de RUQUIER à BARTHES en passant par FOGIEL, DELORMEAU, MORANDINI), une avalanche historique de six ouvrages pour vanter les avantages du produit et la grandeur du CLOWN édités en deux mois !
Et tout ça, pour en arriver là !
Et dire que Najat BELKACEM, égérie médiatique des dentifrices COLGATE, a proposé sans rire de les faire distribuer gratuitement et aux frais du contribuable, dans les classes de tous les établissements scolaires du pays !
Ils se justifient par la psychose de BOZZO-le-CLOWN, entretenue depuis le 6 mai 2012, de sombrer dans les poubelles de l'histoire, au même titre que son prédécesseur, Félix FAURE, dont il avait conscience qu'il partageaient une personnalité très proche : Félix FAURE, ancien modeste tanneur devenu par erreur Président de la République, était comme lui un homme de "gauche" converti au "bling-bling" fastueux des arrivistes ; un radical-socialiste franc-maçon qui soutint toujours une politique d'extrême-droite (antidreyfusard, c'est à lui que le rouquin ZOLA adressa son célèbre "J'ACCUSE") ; un belliciste forcené décervelé prêt à toutes les aventures désespérées, et surtout OBSEDE SEXUEL MALADIF qui devait prendre des doses massives de cantharide pour honorer ses favorites appointées, fondant sa politique sur les inaugurations massives "de chrysanthèmes", une présence compassionnelle et lacrymale incessante à toutes cérémonies mémorielles imposées pour tout et n'importe quoi, et l'habituel arrosage financier d'un électorat de prédilection avec décorations de la légion d'honneur pour tous les bandits, voleurs et tous les mafieux et rastignac détournant l'argent de la République !
Donc FLANBY, sachant que la Constitution de la Ve République lui offrait beaucoup plus de pouvoirs que n'aurait pu en rêver Félix FAURE, et que ce n'est pas le CONSEIL CONSTITUTIONNEL présidé par le traître chiraquien Jean-Louis DEBRE, le Conseil d'Etat présidé en sa section du contentieux par le judéo-maçon Bernard STIRN, et moins encore la Cour de Cassation, placée par l'implacable indépendantiste guyanaise Christiane TAUBIRA entre les mains serviles de membres du SYNDICAT de la MAGISTRATURE, qui viendraient en limiter l'étendue et les excès.
Si Félix FAURE, fut impitoyablement jugé par les historiens, BOZZO-le-CLOWN décida dés le départ, pour contourner l'écueil et s'auto-glorifier, de faire graver dans le bronze l'histoire définitive de son règne désastreux et maudit, par des "journalistes" appartenant aux groupes de presse BERGE-NIEL-PIGASSE subventionnés par l'Etat français, comme LE MONDE et l'OBSERVATEUR, ou DRAHI, comme LIBERATION et l'EXPRESS ; ces journalistes obtinrent un accès libre et total auprès du PRESIDENT (ils possédaient leurs bureaux directement dans le bâtiment du "Service de Communication et de Manipulation mentale" de l'ELYSEE), à côté du "Cabinet noir" antisarkozy, et bien plus que les Ministres, avaient porte en permanence ouverte au bureau présidentiel et accès à son intimité la plus secrète.
Quatre ouvrages sont donc cet automne édités afin d'imposer la candidature de BOZZO à sa réélection ; mais les premières réactions laissent apparaître que tout ne se passera pas comme prévu dans le brillant plan de bataille élaboré par Gaspard GANTZER pour le Président des dégénérés, la seule communauté de "sans dents" qui ont sa sympathie.
Car les historiens reprendront le pas sur les journalistes adeptes de la pensée unique et du hollandisme totalitaire ; gageons qu'ils garderont pour nos descendants l'histoire d'un quinquennat maudit dont le résumé sera pire que celui de la fin de Félix FAURE, telle que relatée par WIKIPEDIA :
Les circonstances croustillantes du décès prirent rapidement le pas sur la tragédie d'une mort subite (ou d'un simple arrêt cardiaque). La légende rapporta que l'abbé Herzog, curé de la Madeleine, fut mandé par Mme Félix Faure pour lui administrer les derniers sacrements. Mais, sans attendre son arrivée, il fut remplacé par un prêtre de passage devant l'Élysée qui, en demandant à son arrivée : « Le président a-t-il toujours sa connaissance ? » se serait entendu répondre : « Non, elle est sortie par l'escalier de service ! ». Mme Félix Faure habitant l'Élysée et pour éviter le scandale, la maîtresse dut en effet s'éclipser tellement vite qu'elle en oublia son corset - que le chef de cabinet Le Gall gardera en souvenir. La rumeur populaire colporta que c'était une fellation prodiguée par sa maîtresse qui avait provoqué un orgasme fatal, ce qui valut à Marguerite Steinheil le surnom de « la pompe funèbre ». Les chansonniers de l'époque affirmèrent : « Il voulait être César, il ne fut que Pompée »*, ce qui est autant une allusion au goût du président pour le faste qu'à la cause prétendue de sa mort. Cette phrase a été attribuée également à Georges Clemenceau, qui ne l'aimait guère. Ce dernier aurait également déclaré à cette occasion : « En entrant dans le néant, il a dû se sentir chez lui. » et "Ça ne fait pas un Français en moins, mais une place à prendre."
Souhaitons autant de réussite pour le règne de BOZZO dans les poubelles de notre histoire (c'est vrai que l'enseignement de cette matière a disparu de nos établissements scolaires par la grâce de Najat Belkacem !) ; mais avec un homme d'un tel orgueil, d'un tel mépris pour autrui, d'une telle suffisance, imbu de sa personne jusqu'à la boursouflure, comment peut-on imaginer - si tant est qu'il s'identifie jusqu'à la fin avec Félix Faure - qu'il ne s'inflige à lui-même la gâterie le conduisant à l'épectase finale ?