Nouveau psychodrame dans un verre d'eau en "tafiolie" socialo-bobo-gay, nouvelle crise de nerf hystérique sur les réseaux sociaux : le présentateur depuis 30 ans du "Journal de 13 heures" de TF1, le plus suivi d'Europe, le seul à ne pas venir mendier au guichet des subventions publiques, le seul également à ne pas se faire l'apologiste quotidien des grandeurs de la gauche morale et le censeur impitoyable de tous ses opposants.
C'est une singularité choquante dans le monde médiatique subventionné que de se limiter à fournir une information objective, sans vouloir imposer aux téléspectateurs l'interprétation officielle qu'il doit en faire pour appartenir au "camp du bien" ; et pour les journalistes-activistes tenant d'une information subjective et pré-digérée soumise à leur idéologie politique, PERNAUT vient de commettre un terrible et accablant dérapage :
- en annonçant la condamnation à quatre mois d'emprisonnement dont deux ferme d'un jeune homme de 23 ans qui avait commis le crime horrible et impardonnable de manifester contre "le mariage pour tous", sans rien casser, mais en n'acceptant pas les mesures discriminatoires et les humiliations qui lui étaient infligées après son interpellation, puis l'expulsion de "Frigide BARDOT", l'une des leaders du mouvement contestataire, de l'appartement loué aux HLM de PARIS (donc à Mr Bertrand DELANOE, Maire Gay de PARIS et défenseur du mariage pour tous), il avait manqué à tous ses devoirs déontologiques.
Son rôle, comme dans les médias officiels chinois, russes, coréens du nord, cubains, etc ..., est celui d'activiste de la cause officielle et non pas de journaliste indépendant et objectif. Ce n'est pas pour cela que le Gouvernement finance, par l'intermédiaire des subventions à la Presse (au nom de la "pluralité de la presse" et hors "Valeurs Actuelles" exclu du dispositif) et de la taxe audiovisuelle les médias audiovisuels de service public. Entretenir autant de milliers de journalistes a un coût pour le Trésor Public ; il appartient donc à cette caste privilégiée de renvoyer l'ascenseur à son bienfaiteur, comme le fait si bien un Edwin (Hervé pour l'état-civil officiel) PLENEL, activiste trotkiste agent de l'Algérie, et son MEDIAPART par exemple.
En ne justifiant pas ces mesures répressives du point de vue socialiste, comme le font si bien les journalistes serviles du service public -au premier rang desquels l'ineffable Patrick COHEN-, ou bien les servants de la presse assujettie à la finance de gauche : Bruce TOUSSAINT, Marc Olivier FOGIEL, Nicolas DEMORAND, le comique-troupier gay Laurent RUQUIER ou Stéphane GUILLON, leurs égéries de CANAL + que sont Maïténa BIRABEN ou Sophie LAPIX tentant de se rapprocher de l'étoile absolue, l'emblématique - détestable et détestée - Audrey PULVARD ..., il manque à ses devoir déontologiques !
Cette tempête dans un verre d'eau n'est qu'une nouvelle démonstration des incohérences de notre démocratie : tous les pouvoirs - "exécutif" - "législatif" - "judiciaire" et la "presse" aux mains d'une seule côterie sectaire, maçonne ultra-laïque et homophile, une presse déficitaire asservie par la finance de gauche qui ne la soutient qu'à la condition de la transformer en propagandiste de son idéologie, une magistrature noyautée et dirigée par un "pseudo" syndicat trotskyste, un ministère de l'Intérieur où les postes de responsabilité s'échangent depuis longtemps entre franc-maçons, et voila le résultat !
Derrière les beaux discours et les généreuses déclarations d'intention, la liberté d'expression de-facto muselée, toute opinion divergente indirectement opprimée et censurée (ce n'est pas moi, c'est l'autre ! Il faut respecter le suffrage universel, la loi et les décisions de justice !), l'opinion grossièrement manipulée en vertu des principes définis par le grand penseur socialo-corrrézien Henri Queille, maître du socialo-réalisme : « La politique n'est pas l'art de résoudre les problèmes, mais de faire taire ceux qui les posent. ».
Dans cette "démocratie" socialiste dominée par ce penseur et obnubilée par le réalisme machiavélique de Mazarin (au point que le plus prestigieux d'entre les socialistes appela réverentiellement sa fille "Mazarine"), la séparation des pouvoirs définie par Montesquieu et socle de toutes les démocraties occidentales, serait plus que jamais nécessaire puisque les pouvoirs doivent être partagés pour s'équilibrer et se contrôler : en France, plus rien de tel, puisque tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains d'une même côterie mesquine et vengeresse, que toute idée divergente est combattue non seulement politiquement, mais blâmée, déformée, trahie et tournée en dérision par de violentes campagnes de presse, puis si besoin condamnée pénalement et embastillée via ses meneurs par le syndicat de la magistrature !
Que reste-il alors pour s'exprimer, sinon la rue et la violence ? On appelle cela une démocratie totalitaire !