Depuis que "l'esprit saint du 11 janvier" l'a illuminé, il ne doute plus de sa grandeur ni de son destin de sauveur de l'inhumanité "bobo-lgbt".
A l'occasion de l'anniversaire des 50 ans de l'ONF, il a demandé à son service de communication de reproduire devant un parterre d'imbéciles "sans dents" qui voyagent en transports en commun (sic Macron), le miracle de sa naissance divine :

Moment d'intense émotion que de voir un pays béni par le  "Saint Esprit du 11 janvier", uni dans un même élan de générosité et une ambition commune de vivre et se rassembler autour de son Chef charismatique, GLAND 1er, pour célébrer devant le monde entier sa séduction et sa puissance priapique, tout en affrontant courageusement les vents contraires de l'histoire.

Devant la foule habituelle militante et captivée des journalistes courtisans, clientèle captive indéfectiblement liée à sa cause et à leurs intérêts financiers bien sentis (antifascistes, antiracistes, zadistes, pro-sionistes, homophiles et pédophiles !)  convoqués pour cette grande occasion, BOZZO le CLOWN TEINTURE NOIR DE JAIS a achevé la plantation d'un soi-disant chêne (à forte tendance bouleau)

L'offensive de "reconquête" menée depuis le mois de juin 2014 par le nouveau service de communication de FLANBY fut potentialisée à l'excès par l'émotion des français, adroitement manipulée,  comme d'habitude par les médias du régime ; d'autant que la communication officielle de l'Elysée parvint avec l'appui des médias subventionnés à user et abuser avec indécence de cette catastrophe,

Louis-Philippe, "roi des français",  qui se voulait simple et modeste, républicain en sus qui se proposait d'apaiser le pays en mettant un terme aux terribles convulsions qui le saignaient depuis sa naissance en 1773 ! ; dont le père dépravé, Philippe d'Orléans (Philippe Egalité) avait voté le mort de Louis XVI, transformé son "Palais Royal" en lupanar, et soutenu les partis les plus extrêmistes de la révolution française avant d'être lui-même décapité en 1793.

Aujourd'hui, 208e anniversaire de la boucherie d'Eylau, lorsque la Grande Armée perdit en une journée 10.000 hommes sur le champ de bataille par un froid glacial, et ne dut sa victoire sur l'armée impériale russe qu'à la plus grande charge de cavalerie de l'histoire, lorsque les 12.000 cavaliers de  Murat enfoncèrent les lignes russes qui combattaient pourtant avec un avantage numérique d'un contre deux !!!