"En même temps", drag-queen soumise et bourreau de la liberté d'expression !

maître et giton
Moments de détente entre amis

tebbouneBien sûr, cela fait des années que les partis de droite, d'extrême droite (mais ils sont exclus de "l'arc républicain" par les bien-pensants progressistes !) l'ont inscrit à leur programme de gouvernement ; désormais, même ses alliés les plus proches, ses soutiens les plus fervents depuis ses débuts en politique,

ceux qui sont sacrifiés comme fusibles dans les moments les plus délicats, partagent la même analyse de la situation : Edouard PHILIPPE, Gabriel ATTAL, François BAYROU, tous hardis navigateurs dans les troubles marais centristes de sable mouvant de l'entre-deux et du "en même temps",  connus pour leur extrême modération, et leur mollesse paralysante, l'affirment : 
La dictature FLN algérienne, pourrie jusqu'à la moëlle, qui pille l'Algérie de ses ressources naturelles pour enrichir une "nomenkatura" communiste régnante depuis 1962, aux dépens d'une population misérable et surexploitée, réduite à s'exiler pour trouver un peu de liberté, de travail et de mieux vivre sous d'autres latitudes, exploite - à son seul profit matériel - le filon inépuisable de la dette mémorielle que doit payer l'ancien colonisateur pour expier d'avoir construit de ses mains et à la sueur du front de ses colons, ce pays qui n'existait pas avant eux ; de lui avoir fourni, au prix de grands efforts d'investissements,  les infrastructures et le maillage matériel avec construction des routes - lignes de chemins de fer et aéroports, industriel, économique et de santé d'un état moderne, qui, par ses richesses naturelles, devrait être le plus riche d'Afrique s'il n'avait été spolié par ses dirigeants corrompus.
Sous l'emprise de son conseiller diplomatique trotkiste, Benjamin STORA, haut commissaire politique de la secte lambertiste, avec l'appui jamais démenti de son complice Jean-Luc MELENCHON et de son parti LA FRANCE INSOUMISE, le "petit Mozart" de la finance, Brutus o'MICRON, qui a ruiné son pays, en bon masochiste, s'est totalement soumis à son "Maître", le dictateur Abdelmadjib TEBBOUNE : afin de complaire à son "dominateur", il s'est humilié jusqu'à déclarer solennellement dès 2017 à la télévision algérienne :  

La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie. Et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face, en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes. »

 

L'invraisemblable ignominie et traitrise d'un Chef d'Etat qui, manipulé par d'obscurs et inavouables chantages utilisés par un pays hostile et ennemi, trahit la Nation qui l'a élu, instrumentalise et manipule l'histoire jusqu'à dénoncer - en se faisant porte-parole de la propagande ennemie - l'action civilisatrice menée deux siècles auparavant par nos ancêtres comme un crime contre l'humanité, qui donne tous les droits aux ressortissants de ce pays sur le sol français !

 

Pour les algériens, la FRANCE est donc la vache à lait qui nourrit et finance à fonds perdus ses élites, qui sert de déversoir à sa démographie incontrôlée, qui paie tribut des retraites de ses aînés (même décédés !), qui accueille et soigne gratuitement ses malades les plus graves pris en charge par la CPAM ; c'est l'égout dans lequel elle déverse la lie que génère une société malade de ses dirigeants corrompus, qui reçoit ses inadaptés sociaux, vide ses asiles psychiatriques pris en charge gratuitement par l'ancien colonisateur, le pays où ses dirigeants viennent investir les milliards d'aide publique qu'ils détournent ; accueillis, logés, instruits, soignés et bénéficiant d'abondantes subventions, ces "hôtes honorables" bien qu'indésirables, peuvent tout oser et se permettre : ils imposent leur religion, leurs croyances, leurs moeurs et leur mode de vie au nom de la liberté, mais réfutent celle des populations autochtones auxquelles on leur a appris qu'ils étaient supérieurs ; ils alimentent et contrôlent le trafic de stupéfiants et commettent des crimes atroces à l'arme de guerre pour conquérir des points de vente ; ils enlèvent, égorgent, assassinent et découpent les corps d'enfants innocents pour un rien, un regard, pour avoir refusé de leur donner une cigarette ou leur smartphone. Occupants et maîtres d'un pays étranger qu'ils ont conquis, comme l'avait prévu le Président BOUMEDIENNE, avec le ventre de leurs femmes, une partie d'entre eux se comporte comme des prédateurs, des sangsues, des parasites qui vivent aux dépens du corps social qu'ils ont infesté et où ils se multiplient après s'y être introduits.
Et lorsque, à la fin du fin, certains sont interpellés, condamnés et doivent quitter le territoire national, les dirigeants algériens refusent qu'ils réintègrent leur pays, crachent sur les dirigeants et le peuple français qui doivent encore et toujours s'excuser pour la colonisation menée il y a deux siècles tout en prenant en otage et en embastillant sans la moindre justification un éminent écrivain franco-algérien, âgé et atteint d'un cancer, qui avait le courage de dénoncer les corruptions et prévarications des dirigeants d'un état dictatorial qui ruinent et détournent à leur profit toutes les ressources du pays !
Pour eux, le président français est la serpillière sur laquelle ils s'essuient les pieds, l'urinoir sur lequel ils peuvent se soulager, assurés qu'ils recevront pour toute sanction d'abondantes subventions et les excuses toujours renouvelées de leur "soumis", celui qui vient sans sourciller célébrer la mémoire des assassins qui ont égorgé et assassiné des milliers de femmes et d'enfants français innocents et dépose des gerbes sur le "Monument des Martyrs", érigé à leur gloire, Place de la Libération à Alger. 
Leurs discours seront relayés dans la presse et dans les médias audiovisuels par leurs agents activistes formés dans leur pays, tels que des Edwin PLENEL et Benjamin STORA ; des relais stipendiés, comme des Jean-Michel APHATIE ou Patrick COHEN, sur les médias audiovisuels (notamment de service public), célèbreront leur propagande totalitaire, répétant comme des perroquets que les français sont la quintessence d'une extrême-droite raciste "nazie", alors que le comportement de cette frange délinquante de maghrébins est exemplaire !  

Ange protecteur du privilège maghrébin, et bourreau exterminateur de la liberté d'expression, Brutus o'Micron symbolise le chemin de croix d'une Nation sacrifiée sur l'autel de la lâcheté et du mensonge - [by Georges Brassens, album "Les mauvaises fréquentations" 1952, "Le Gorille"]

Donc, face aux prétentions agitées par le Premier Ministre français en "Conférence de Presse", après un nouveau meurtre commis par un algérien multirécidiviste sous "Ordre de Quitter le Territoire National", dont le retour avait été refusé à quatorze reprises par les autorités algériennes, Zorro o'Micron, selon son habitude, est intervenu en-cours de déplacement officiel à l'étranger, depuis Porto, pour jouer au Président tout puissant, et désavouer son Gouvernement qui s'était permis de froisser son "dominateur" algérien : 

« On ne va pas dénoncer de manière unilatérale les accords de 1968. Cela n’a aucun sens. Pour ce qui est des accords de 1968, nous avions, avec le président Tebboune, nous-mêmes envisagé, a l’été 2022, de les rouvrir pour les moderniser. Parce qu’il y a beaucoup de choses qui doivent être faites de part et d’autre sur ces accords, sur lesquels il y a beaucoup de commentaires, parfois d’ailleurs factuellement faux ».
"Mémorial des terroristes assassins de milliers de français !"
Parfaitement raccord avec les thèses pro-palestiniennes de son éternel complice Jean-Luc MELENCHON, il a refusé de participer à la "marche pour la République et contre l'antisémitisme" du 12 novembre 2023, en dépit de la présence de tous ses anciens premiers ministres, et deux Présidents de la Répblique encore en vie, Nicolas SARKOZY et BOZO-le-CLOWN ! Toujours aussi courageux et fier de ne jamais assumer aucune de ses décisions, son service de communication fera fuiter l'information selon laquelle il avait pris conseil auprès de "l'humoriste" islamiste Yassine Belattar, un de ses "gitons", qui lui avait conseillé de ne pas s'y rendre pour ne pas froisser la "clientèle" maghrébine dont il est si friand ! Même MELENCHON, qui, comme lui, ne peut vivre au milieu d'hommes blonds aux yeux bleus leur préférant maghrébins et africains aux cheveux crépus au sein d'une nation créolisée, avait tenu à le féliciter publiquement pour cette décision courageuse, ce geste estimable de soutien aux terroristes du "Hamas", aux crimes d'assassinats et de viols atroces contre la communauté israelienne, notamment les femmes et les enfants et les prises d'otages ! A rapprocher évidemment de ses dépôts de gerbes lors de ses déplacements à Alger, Place de la Libération, au "Monument des Martyrs" qui commémore la mémoire des terroristes assassins de milliers de français ! Mais c'est vrai qu'il ne se considère pas comme français ...

Donc, il est en opposition frontale avec le gouvernement qu'il a nommé ; en opposition aux 85% de français qui, par sondage, pébliscitent la "dénonciation" de cet accord conclu il y a 67 ans, dans des conditions totalement différentes. En démocratie, il serait logique de poser la question au peuple souverain, quitte à mettre dans la balance sa démission si la réponse n'est pas favorable à la position pro-Hamas dont il est le défenseur ! Mais n'oublions pas que ce pays n'est plus une démocratie, et que l'élite "énarcho-trotkiste sexuellement orientée" qui le dirige est bien trop intelligente pour qu'une médiocre populace de "sans dents", nourrie par les informations d'une chaîne d'information d'extrême-droite, puisse les suivre sur les cimes d'une pensée orientée par Yassine Belatar, Jean-Luc Melenchon et Rimah Hassan !
Donc, on ne fera rien comme d'habitude ; et le Président pourra prétendre que l'on a mal compris les méandres d'une pensée tellement sinueuse et controversée qu'il en perd lui même régulièrement le fil ! Demeure le mystère que devront éclaircir les historiens des temps futurs qui étudieront la disparition d'une grande nation sous les assauts de trois quinquennats progressistes, entre 2012 et 2027 :

- quels indicibles et inavouables secrets, quels affreux chantages induits par une jeunesse trouble et opaque perticulièrement singulière ont pu conduire un président français à privilégier, contre toute raison et contre le peuple et la classe politique unis, les intérêts de l'Algérie, nation hostile et ouvertement ennemie, jusqu'à leur sacrifier ceux de la France et des français ?


Le Premier Ministre, son Ministre de l'Intérieur Bruno RETAILLEAU, son gouvernement peuvent-ils continuer à assumer leurs responsabilités dans ces conditions ? La réponse républicaine serait une démission immédiate pour placer le Président de la République face à ses responsabilités : il n'aurait alors d'autre solution que de nommer son grand ami et complice Jean-Luc MELENCHON et sa bande de LFI aux affaires, puisqu'ils partagent la même finalité : détruire le pays et toutes ses valeurs pour reconstruire sur ses cendres une nouvelle société (même si à partir de l'anéantissement, leurs buts diffèrent !). Mais MELENCHON a promis de détruire pierre à pierre tout le programme économique qu'o'Micron a mis en oeuvre depuis bientôt huit ans de gouvernement ininterrompu !
Ou, plus démocratiquement, démissionner pour demander au peuple de trancher, comme le voulait la règle démocratique voulue par la Vème République ; mais il n'est pas gaulliste, pas démocrate : comme son maître Bozo-le-Clown, ses valeurs reposent sur la communication à outrance pour imposer dans les esprits sa propagandes, ses fausses promesses, et la manipulation des esprits qu'il maîtrise à merveille ... !. Il est bien le fils de Guy MOLLET et de BOZO-le-CLOWN, pas de MENDES FRANCE ni de MITTERRAND qui,  progressistes et socialistes, avaient encore du respect pour leur pays et en défendaient les valeurs !

 

Alors, en attendant, il "communique" pour conserver, avec sa "mafia", le pouvoir et surtout il trafique, comme son  ! Et d'abord, la liberté de la presse !

Les Accusateurs publics près le Tribunal de la Sainte Inquisition éradicatrice progressiste, pourvoyeurs de la guillotine médiatique

 

LES BOURREAUX AUX MAINS SALES

L'atteinte directe à la liberté d'expression que constitue l'élimination par l'ARCOM (parc de stabulation alimentaire de neuf ans de tranquillité tous frais largement payés pour "petits hommes gris" progressiste en transhumance saisonnière), comité théodule sous tutelle présidentielle dit "indépendant",  servant de peloton d'exécution  des chaînes C8 et NRJ12 de la TNT, sanctionnées pour avoir ouvert leur micro à des opinions non conformes à la vérité officielle diffusée par le pouvoir progressiste, est caricatural du fonctionnement du pouvoir depuis 2012.
La décision prise est un caprice personnel du Chef de l'Etat, monarque jupitérien désavoué par les "faquins" et les "sans dents",  qui ordonne (tout en le niant évidemment !) à ses subordonnées de la mettre en oeuvre, sans avoir reçu le moindre mandat démocratique pour cela, et placer 600 professionnels de l'audiovisuel au chômage, tout en privant de leurs émissions favorites les millions de mauvais électeurs qui les suivaient quotidiennement. La mise en oeuvre de la décision, son exécution, puis les juges d'appel saisis pour en vérifier le bien fondé sont tous issus de même sérail énarchique proche du chef de l'état, ces "petits hommes gris" militants progressistes socialistes, qui après l'ENA n'ont connu d'autre expérience que des emplois dans les cabinets ministériels socialistes feutrés, alternant avec des passages dans les grands corps de l'état, en tant que juges administratifs au sein de la cour des comptes ou bien du conseil d'état, cénacles feutrés où le port des chaussures glacées est le signe distinctif d'appartenance à l'élite technocatrique ("ces parisiens, avec leurs escarpins vernis", comme les qualifiait Georges Frèche !)
Dans cette république "des copains et des coquins", toutes les décisions sont dictées par le pouvoir dominant et les grands principes juridictionnels dégagés sous la IIIème République, qui constituaient l'honneur de la justice administrative, sont désormais caducs et doivent s'adapter aux intérêts politiques progressistes.

 

LES DECIDEURS

 

 

Brutus o'Micron Minus, Imperator_Romanorum_Occidentalium
ENA, Promotion Senghor 2002-2004, (avec Amélie Oudea-Castera, Gaspard GANTZER, Mathias VICHERAT, Boris VALLAUD).
Après l'assassinat programmé d'un père spirituel, président clown dont le quinquennat avait mis en place le cadre institutionnel : structures politiques, juridiques, administratives et médiatiques pour confisquer la démocratie à la souveraineté populaire et mettre en place la société distopique orwellienne pour en conserver éternellement le contrôle,  Emmanuel, dit "Brutus o'Micron", hérita de ce cadeau et mit en oeuvre la verticalité d'un pouvoir Jupitérien - fondé sur la communication à outrance, la séduction et le charme personnel - qui lui avaient permis de tout réussir dans sa vie et dont la finalité avouée était de fondre la France dans un ensemble européen, dont, devant l'histoire, il serait le premier dirigeant ! Mais à coup d'indécisions permanentes, d' "en même temps", de ridicules coups de menton autoritaires pour masquer la dérive wokiste de son régime qui avantageait déraisonnablement - puisqu'il a le sentiment d'en constituer un maillon fort - une minorité orientée sexuellement dans toutes ses dérives les plus amorales, son incontestable proximité avec la pensée melenchonienne dans son goût pour une nouvelle société créolisée où il illustre  son célèbre aphorisme : "Je ne puis vivre au milieu d'hommes aux yeux bleus !" pour s'entourer d'une cour de conseillers "gitons" aux cheveux crépus et à la peau bronzée, tels Benjamin STORA ou Yassine BELATTAR !

"Mais trop tirer rompt la corde" : avec son invraisemblable arrogance, il rompit par une suicidaire dissolution le fragile équilibre qui lui permettait d'encore gouverner à l'été 2024, et se retrouva dans la périlleuse position formulée par le Gal de Gaulle sous l'expression : "inaugurer les chrysnthèmes !". Faute de gouverner, il pouvait encore nuire ! Et il le prouve en s'attaquant à la liberté d'expression des médias du groupe BOLLORE (CANAL +, C8, CNews, JDD, PARIS MATCH, etc ...), accusés de tous ses maux, qu'il s'était promis d'éliminer avant le terme de son second mandat : décision prise, son directeur de cabinet et sa ministre de la culture avaient en charge de mener l'assaut, dont son obligé, le Directeur de l'ARCOM, revêtu des oripeaux du bourreau, devait assurer l'exécution. Le vice-président du Conseil d'Etat, et celui de la section de contentieux qu'il avait lui-même choisis, et côtoyés au sein des gouvernements depuis 2012 où ils avaient à plusieurs reprises assuré des fonctions de direction du cabinet de ministres socialistes, ne pourraient que le suivre et valider sa condamnation.

 

ENA, promotion Averroès 1998-2000, (comme Fleur Pellerin, Audrey Azoulay, Julien Bargeton ou Nicolas Kazadi).
[source Wikipedia] À la sortie de l'ENA, il intègre le corps des administrateurs civils pour occuper un poste à la direction générale du Trésor du ministère des Finances, « ce qui le classe, dans la hiérarchie, juste après les grands corps ». À Sciences Po, il milite au club Opinions, de tendance rocardienne, où il côtoie Édouard Philippe Directeur de cabinet de Pierre Moscovici puis d'Emmanuel Macron au ministère de l'Économie et des Finances sous la présidence de François Hollande, il est secrétaire général de l'Élysée depuis mai 2017 sous la présidence d'Emmanuel Macron. 

 


[source Wikipedia] Femme politique franco-libanaise : après avoir été directrice des programmes de Clowns Sans Frontières puis responsable du pôle musiques à Culturesfrance (devenu l'Institut français), elle rejoint le cabinet de Christophe Girard, adjoint à la Culture à la mairie de Paris (proche collaborateur de Bergé chez YSL, il en devient rapidement le rival pour diriger la mouvance homosexuelle, puis l'ennemi irréconciliable. Pédéraste avéré, il abandonne femme et enfants pour se marier avec un homme. Les élus écologistes de la Mairie de Paris le dénonceront publiquement pour son soutien aux pédophiles les plus détestables de la "Cage aux Poules" parisienne], puis devient conseillère Culture du maire de Paris, Bertrand Delanoë, entre 2012 et 2014.
Elle est ensuite nommée attachée culturelle à New York.
En novembre 2019, elle devient conseillère culture et communication du président Emmanuel Macron. Nommée le 20 mai 2022, elle est ministre de la Culture dans le gouvernement Élisabeth Borne3 et quitte ses fonctions le 11 janvier 2024. 

C'est elle qui dès février 2023, telle MURAT à la tête de la cavalerie napoléonienne à Eylau, lancera dans les médias l'assaut contre le groupe BOLLORE et dictera aux progressistes la multiplication des signalements à l'ARCOM pour nuire à ce groupe audiovisuel et alimenter le dossier de sa condamnation à mort programmée

Et pour illustrer l'indicible valeur guerrière des courageux gitons macroniens, ce sont deux pures ressortissantes de la meilleure société libanaise qui doivent monter au créneau : la très wokiste et progressiste Alah SALAME, fille du ministre libanais de la culture et icône du service public, interroge sa compatriote Rimah ABDUL-MALAK, Ministre de la culture française, sur l'exécution programmée des chaînes du groupe "BOLLORE". Le cadre "contractuel" qu'elle rappelle ne s'applique évidemment qu'aux chaînes du groupe Bolloré, les autres chaînes TNT favorables au pouvoir en place, et notamment les chaînes de service public ou BFM TV qui les violent à longueur d'émission en faveur de l'idéologie progressiste et woke, en étant par nature dispensées ! [in "Grand entretien" de France-Inter, 10 février 2023 - pour faire la propagande électorale du pouvoir en place, avec des journalistes militants de la gauche woke-progressiste, l'audiovisuel public est financé à hauteur de : 4.3 milliards d'€ d'argent public]

 

L'EXECUTEUR

 

ENA promotion Henri-François d'Aguesseau 1980-1982
[source Wikipedia]
Le collège de l'ARCOM
Après sa sortie de l'ENA en 1982, il est administrateur de la Ville de Paris de 1982 à 1986.
De 1986 à 1988, il est conseiller technique au cabinet du ministre de la Culture, François Léotard ; il participe alors à l'élaboration de la loi relative à la liberté de communication2, qui régit le CSA. Entre 1988 et 1991, il est sous-directeur des affaires économiques à la direction des finances et des affaires économiques de la Ville de Paris, puis directeur du cabinet du secrétaire général.
De 1993 à 1995, il est directeur général de la Comédie-Française, avant de devenir secrétaire général du Conseil de Paris (1995-2000).
Entre 2000 et 2005, il est conseiller pour l’éducation, la culture et la communication à la présidence de la République.
En 2005, il intègre la Cour des comptes et occupe successivement les postes de conseiller maître à la 4e chambre, responsable du secteur Affaires étrangères, premier avocat général au parquet général, président de chambre et rapporteur général.
De 2010 à 2011, il pilote le dossier de la distribution de la presse (Presstalis) et celui de la réforme des aides à la presse.
En 2017, il remet à Françoise Nyssen, ministre de la Culture, un rapport sur le Centre national de la musique.
En mai 2018, il est nommé président de chambre à la Cour des comptes et rapporteur général. Il dirige ainsi le service du rapport public et des programmes (SRPP) jusqu'en janvier 2019.
En janvier 2019, il est proposé à la présidence du CSA par le président de la République, Emmanuel Macron, pour succéder à Olivier Schrameck.
Après son audition par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale et son équivalent au Sénat, il est nommé, par décret du 2 février 2019, et prend ses fonctions le 4 février. Dans un entretien au journal le monde, il commence son mandat « dans une situation concurrentielle gravement déstabilisée », liée, en partie, à l'émergence des plates-formes comme Netflix, Facebook ou YouTube.
Le 1er janvier 2022, il devient président du collège de l'Arcom, dans la continuité de son ancien mandat au CSA, qui courait jusqu'en 2025. À la suite de la nomination de Martin Ajdari à la fonction de président de l'Arcom, il quittera ses fonctions le 2 février 2025.

 

LES VOIES DE RECOURS

 

ENA  Promotion Louise Michel » 1984
[source Wikipedia] 
Petits hommes gris du Conseil d'Etat
Il dirige le cabinet de Bernard Kouchner au ministère de la Santé de 1992 à 1993 et de 2001 à 2002 et à ce titre est décrit comme un « Kouchner boy ».
Il est également directeur adjoint du cabinet du ministre des Affaires sociales, Claude Évin de 1988 à 1991 et Martine Aubry de 1997 à 2001. Il est chargé en 2000, comme conseiller du cabinet de Martine Aubry, de rédiger le projet de loi sur le droit des malades, qui sera porté par le deuxième cabinet Kouchner qu'il dirigera. Ce projet deviendra la loi relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé du 4 mars 2002.
Didier Tabuteau est directeur général de l'Agence du médicament (actuelle Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) de sa création en 1993 jusqu'en 1997, soit durant la période où se produisent les faits aboutissant à l'affaire du Mediator.
Il témoigne donc en 2019 au procès correspondant sans être inquiété par les enquêteurs.
Le rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) ne souligne que la dissimulation par le laboratoire Servier de la nature amphétaminique du Mediator, les autorités sanitaires n’étant, selon lui, que les victimes de l’industriel ; Le Dr Aquilino Morelle, époux d'une journaliste influente sur RTL, (il sera le conseiller à la communication et la "plume" de BOZO-le-CLOWN, directement impliqué dans l'affaire du "cireur de pompes", où il avait fait privatiser un salon de l'Hôtel de Marigny pour le mettre à disposition d'un cireur professionnel en charge du cirage et du glaçage des chaussures de luxe des petits "marquis" socialistes de la République, sur le compte des contribuables) est l'inspecteur IGAS choisi par le ministre de la Santé Xavier Bertrand pour cette mission. C'est un « vieil ami de Didier Tabuteau », avec qui il  écrit un ouvrage intitulé La Santé publique (2010), et tous les deux enseignent à Sciences Po au sein de la chaire santé, dirigée par Didier Tabuteau. Le rapport de l'IGAS, rendu public le 15 janvier 2011, sert de canevas à l’information judiciaire. Selon Le Figaro, il fait l’impasse sur la période Tabuteau à l’Agence.
Alors qu'il n'était pas candidat à la succession de Bruno Lasserre, il est nommé vice-président du Conseil d'État le 5 janvier 2022 par décret du président de la République Emmanuel Macron

 

 ENA promotion Diderot 84-86
[source Wikipedia] 
Le Conseil d'Etat, monstre juridique
Il entre au Conseil d'État en 1993. C'est alors un ami proche de Richard Descoings (illustre Directeur de l'Institut d'Etude Politique de Paris, qui révolutionna l'institution, - qui ne s'en est jamais relevée -, par une politique progressiste ultra-wokiste, qui mit au rebut jusqu'aux principex d'égalité républicaine devant le concours d'entrée et de méritocratie, en initiant une troisième voie d'accès de sélection positive, sans le moindre concours d'entrée, réservée aux postulants issus des quartiers difficiles. Par ailleurs, "grande folle" et animateur sous stéroïdes des nuits "gays" parisiennes, il s'illustra par ses excès et décéda prématurément lors d'une party gay sado-masochiste dans la chambre d'un hôtel new-yorkais).
Après avoir été conseiller technique de Michel Charasse au ministère du budget, puis d'Édith Cresson et Pierre Bérégovoy à Matignon durant le second septennat de François Mitterrand, il revient dans les cabinets ministériels sous le gouvernement Jospin, dirigeant d'abord le cabinet de Ségolène Royal à l'enseignement scolaire (1997-2000) puis celui de Michel Sapin à la fonction publique (2000-2002).
Il est promu conseiller d'État le 31 juillet 2017, corps qu'il retrouve en mai 2002 après la réélection de Jacques Chirac. Placé en "position de disponibilité pour convenances personnelles" par décret du président de la République le 11 janvier 2007, afin de devenir l'un des principaux animateurs de la campagne présidentielle de Ségolène Royal, il réintègre le Conseil dès le lendemain de la défaite socialiste. Il est nommé président de la 1re sous-section de la section du contentieux du Conseil d'État le 1er janvier 2010. Il a par ailleurs été président de section à la Cour nationale du droit d'asile et membre titulaire de la Cour supérieure d'arbitrage. n 2011, lors de la primaire socialiste, il rejoint la campagne de François Hollande.
Le 15 mai 2012, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault lui confie la direction de son cabinet, poste qu'il occupe jusqu'en 2014.
De 2015 à 2019, il est ambassadeur de France en Grèce.
Il apparait en 2019 au côté de son mari dans le film de Denis Dercourt, L'Enseignante.
En 2019, il est réintégré au Conseil d’État. Par arrêté du 25 octobre 2019, il est nommé président de la 3ème chambre de la section du contentieux du Conseil d’État. Il est nommé président de la section du contentieux du Conseil d’État à compter du 27 janvier 2021.
Militant LGBT socialiste, ce germanopratin, qui ne fait pas mystère de son homosexualité, est entré au Parti socialiste (PS) en 1980 et fut un fidèle de Laurent Fabius jusqu'à son passage au ministère de l'Économie de 2000 à 2002, où il entre en désaccord avec sa politique.
Il se rapproche alors du Premier secrétaire Bozo-le-Clown.
Sur la proposition de Ségolène Royal, il devient en 2005 président de l'association Désirs d'avenir (et du site Web associé), tremplin de la candidate à la candidature. Après l'investiture de Ségolène Royal par le PS, il est nommé directeur de cabinet de son comité de campagne.