"Affronter", avec prudence !

hugo

Reconnu et apprécié pour son sens de la synthèse et sa flottabilité inter courants du Parti Socialiste, son habileté à gérer les duels d'ego entre "éléphants" aux ambitions concurrentes, le Premier Secrétaire que ses pairs surnommaient "Flanby" (en référence à la mollesse de la crème !), "Gauche molle", "l'Edredon", "Guimauve le Conquérant", "Fraise flagada", "Mollandouille" était un dirigeant sans autorité ni conviction qui resta longtemps à la tête du parti parce que  réputé  pusillanime, atone et sans saveur,  et que sa médiocrité était la meilleure garantie qu'il ne ferait pas d'ombre aux ambitieux. 

Suite à la désertion de Jean-Luc MELENCHON sur son aile gauche, parti tenter l'aventure islamo-gauchiste, et l'élimination du grand favori Dominique STRAUSS-KAHN, pour prédations sexuelles criminelles réitérées, le voici miraculeusement propulsé fin 2011 candidat officiel du PS à la présidentielle !.

coq
Qui aurait pu un seul instant imaginer que ce sont ses deux grands rivaux générationnels qui, après avoir sombré à une pulsion suicidaire, lui ouvriraient en grand les grilles du Palais de l'Elysée. Il est pourtant plus islamo-gauchiste et extrêmiste que MELENCHON, et le prédateur sexuel en lui est un fauve du même acabit que STRAUSS-KAHN ! Donc, la synthèse, toujours la synthèse : au risque de s'en mordre les doigts ?

Avec l'aide de la Providence qui sourit aux innocents, il réussit, par le "tsunami" des promesses démagogiques déversées tout au long d'une campagne indigne, malpropre et déshonorante - avec le concours massif et l'aide déterminante de la presse et des médias audiovisuels  - , à accéder démocratiquement à la plus haute fonction de l'Etat.
N'oublions pas que son parti contrôlait tous les rouages de direction du pays (pouvoir législatif, avec l'Assemblée Nationale et le Sénat ; juridictions supérieures avec le Conseil Constitutionnel, la Cour de Cassation, les plus hautes juridictions civiles et pénales du pays sous mainmise du puissant Syndicat de la Magistrature, les juridictions administratives avec le "Conseil Tata" au lobby LGBT extrêmement puissant ; mais aussi les Presses Nationales et régionales, propriétés du trio BERGE-NIEL-PIGASSE ; l'audiovisuel public totalement gangrené par les militants progressistes infiltrés par l'appareil du parti ; mais aussi privé avec la soumission imposée des Groupes BOUYGUES (chaînes du groupe TF1, dont LCI) et ALTICE (SFR) au Gouvernement pour obtenir l'exploitation des bandes de fréquence indispensables à la poursuite de leurs activités si juteuses dans la téléphonie mobile ).

Jamais, en République, une seule coterie - soutenue par une minorité sexuelle agissante - n'avait exercé un tel pouvoir absolu sur un pays dont elle contrôlait sans contrepartie ni contrôle tous les rouages du pouvoir !

L'uniforme socialiste est de mise pour justifier de la rigueur doctrinale de sa foi, surtout lorsqu'elle est chancelante !

 

BOZO aux affaires n'avait aucun programme et ne fit donc rien, sinon le contraire des promesses démagogiques  qu'il avait distribuées sans compter durant sa campagne. Mis à part le lobby LGBT qui trouva en lui le plus fidèle des alliés et obtint le MARIAGE POUR TOUS en cadeau d'adieu à Pierre BERGE, aucune réalisation, aucun projet pour l'avenir du pays ; au contraire, il dressa les français les uns contre les autres, utilisant et abusant à l'envie des violences physiques (même contre d'innocents enfants lors des manifestations contre le mariage pour tous) et du harcèlement moral contre tous opposants tancés et ridiculisés par les chroniqueurs officiels, commissaires gouvernementaux en mission. Il activa et utilisa des mouvements séditieux hors contrôle prêchant la violence révolutionnaire, tels les ZADISTES tout puissants qui ridiculisèrent l'autorité de l'Etat à Notre-Dame-des-Landes et sur la métropole nantaise ; les "black blocks" chargés d'infiltrer, perturber toutes les manifestations et qui en retour obtinrent l'impunité pour briser, brûler, piller les biens publics urbains  et privés, agresser et violenter les forces de l'ordre ; les FEMENS, manifestantes à seins nus, exfiltrées d'UKRAINE où leur leader était poursuivie pour des délits pénaux, soutenues matériellement par la Mairie de PARIS, et systématiquement utilisées pour venir perturber toutes les manifestations contre le MARIAGE POUR TOUS et la religion catholique (au point d'aller arracher la tête du Christ nouveau-né dans la crèche du Vatican !) ; et comment ne pas évoquer l'instrumentalisation par le pouvoir socialiste des associations LGBTQI+, financées par Pierre BERGE, aux côtés des associations islamo-gauchistes subventionnées elles aussi pour participer à la création de zones de non France sous foi et loi islamique dans les périphéries de nos grandes villes, sous couvert de lutte contre la racisme et l'homophobie !
Après l'admirable slogan du discours de janvier 2012 du Bourget où il déclama avec emphase la phrase minutieusement ciselée par son conseiller, le Dr Aquilino MORELLE, alors mari de la journaliste Elisabeth MARTICHOU : « Mon véritable adversaire, il n'a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera jamais élu et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c'est le monde de la finance », qui réduira au silence par sa puissance d'évocation une aussi grande gueule que Jean-Luc MELENCHON et signa une fois pour toutes son appartenance supposée à la mouvance révolutionnaire ; après les affaires mondaines de la trahison de la mère de ses quatre enfants en 2007 pour saboter sa campagne présidentielle ; l'affaire Valérie TRIERWEILLER, digne d'un théâtre boulevardier, humiliée aux yeux du monde entier par un ridicule tweet de rupture ; l'affaire de la rue du Cirque avec Julie GAYET - représentante du lobby des intermittents du spectacle - dont il satisfera tous les caprices catégoriels pour la séduire aux frais du contribuable ;  son "admiration" pour la "wokiste" Camélia JORDANA (co-animatrice, avec Yannick NOAH, de la soirée triomphale de son élection présidentielle,  Place de la Bastille), tête d'affiche du mouvement ACAB anti-police et principale soutien d'Assa TRAORE et du mouvement décolonial, racialiste, indigéniste, le propulsent à hauteur d'un Dominique STRAUSS-KAHN dans la prédation sexuelle, que lui restait il à prouver ?

Les trois belles compagnes qui ont accompagné sa vie et énormément apporté à sa carrière politique ; deux ont été licenciées comme des malpropres et humiliées aux yeux du monde

 

Il réussit dans ces conditions un quinquennat de la honte et de l'abaissement, qui acta l'effondrement du pays, mais aussi la déconsidération de l'homme politique  et l'effacement de son parti, si puissant lorsqu'il était arrivé au pouvoir. Le jugement des français, dégoûtés et humiliés par ses mensonges incessants, son incapacité et sa totale impuissance à prendre la moindre décision ou  faire voter les lois présentées par son gouvernement par des députés élus sous sa bannière mais hostiles à son autorité, fut sans appel et firent de lui le Président de la République le plus haï et le plus massivement rejeté de la Vème République.

Car HOLLANDE ne fait pas peur, il fait rire !

C'est avant tout un commentateur, un éditorialiste. En écrivant dans son journal : "C’est un homme qui est double : il se regarde sans cesse faire. Et qu’est-ce qu’il fait ? Pas grand-chose. Il passe son temps à commenter ce qu’il a fait ou ce qu’il n’a pas fait.", le grand écrivain Jean d'ORMESSON a parfaitement défini le personnage.

Mais ne doutant de rien, et surtout pas d'une chance qui ne l'a jamais abandonné, le voici lancé dès le mois de juin 2017 dans une opération quasiment militaire de reconquête du pouvoir. Elle s'articule autour de stratégies simples, mais éprouvées,  qui doivent le replacer sur son piédestal.

Le socle fondamental est constitué par la publication de livres de mémoire, dont les lecteurs sont toujours très friands comme l'avait démontré les succès de son adversaire de 2012, Nicolas Sarkozy ; ces ouvrages, de rédaction tierce, permettent de multiplier les déplacements sur tout le territoire national afin d'exhiber sa personne dans des séances de dédicace toujours très courues par les intoxiqués de selfies, mais également de paraître sur les grands médias nationaux pour faire la promotion de sa personne, ainsi que dans la presse et les médias régionaux.

Ouvrages de circonstance, rédigés par des "nègres" commmniquants appointés, à seule fin de propagande électorale et justification de sa politique calamiteuse

 

Mais l'ambition est plus vaste, puisqu'elle prévoit également la conquête de la jeunesse ; pour ce faire, deux livres illustrés d'instruction civique sont édités. Ils n'ont strictement aucun intérêt, et n'apportent rien aux cours classiques dispensés par les Professeurs qualifiés en la matière ; mais au mépris des règles de laïcité et de neutralité de l'école publique  c'est un moyen, en utilisant les réseaux francs-maçons de l'éducation nationale, de s'incruster indument dans les écoles, les collèges, les lycées, voire les facultés (si elle ne le rejettent pas avec trop de violence), pour y tenir de grandes réunions électorales. A l'insu des parents, les élèves se verront imposer de suivre les conférences et autres causeries tenues par le grand homme, où il pourra leur parler de lui, de son admirable quinquennat et du soutien que doit lui apporter la jeunesse pour sa réélection en 2022.

Avec "LECON DE POUVOIR", publié en avril 2018 par les Editions STOCK, et écrit par son ami d'enfance Laurent JOFFRIN, il atteint tous ses objectifs et au-delà : il occupe les médias, et peut faire sans compter le bilan d'un quinquennat qu'il réécrit totalement et tourne à son avantage. Il se déplace sur tout le territoire et multiplie selfies et dédicaces auprès de lecteurs qui n'ouvriront certainement jamais l'ouvrage, qui se limite pour l'auteur, puisque personne ne veut le faire, à s'autocongratuler , tout en clouant au pilori de l'histoire son successeur, l'Imposteur, qu'il définit - en bon social-démocrate - de "Président des très riches" !
En tout cas, le cœur de cible est atteint : 118.000 exemplaires grand format vendus, 31.000 en format poche : des files d'attente devant les épiceries pour les dédicaces ; et évidemment, l'indispensable, avec les "selfies" qui lui sont si chers. Julie GAYET et leur chien Labrador "PHILAE" l'accompagnent partout ; Julie est conquise : depuis la BRUELMANIA, et le "Boulangisme", on n'avait pas connu pareil déferlement d'enthousiasme populaire !. Même le "Tour de France" ne provoque pas autant d'attroupements que les déplacements du CLOWN BOZO !.

Mais voila venir le temps de l'épidémie de COVID, le confinement qui le foudroie en plein vol, et la fermeture des écoles qui met fin à l'indignité de l'éducation nationale ; alors, pour occuper le temps, il y a bien la presse "people" pour entretenir les foules de l'excellence de la crème au chocolat autrefois conçue à son intention par le Chef de l'Elysée, et désormais cuisinée avec amour par Julie ; ses prédations sexuelles dans le corps de ballet de l'Opéra de Paris ; ou bien, d'importants investissements immobiliers dans les Alpes-Maritimes, la Corrèze, ou encore dans le XIVe arrondissement de Paris, dont Edwin PLENEL, son obligé - son complice, et MEDIAPART n'ont pas le temps, trop pris par leurs croisades incessantes contre la droite, de passer à la loupe l'origine des financements.

statueSans oublier, bien entendu, la statue géante en bouts de ferraille de récupération élevée à sa gloireplug éternelle par la communauté LGBTQI+ en bordure de la Donzère en son fief corrézien, qui ne fascina guère l'opinion !. Mais ce n'est pas la mission première de l'art nouveau qui existe plutôt par la provocation, comme l'avait démontré l'érection d'un plug anal géant de couleur verte de 24 mètres de hauteur place Vendôme pour bien marquer la domination de la communauté "gay" sur la Mairie de Paris ?

Alors, pour l'après COVID et la campagne présidentielle, un nouvel ouvrage fera l'affaire ; toujours publié chez STOCK, il paraît le 20 octobre 2021 et sera la matrice de son programme présidentiel. Son titre, "AFFRONTER", est bien entendu un clin d'œil, une de ces "blagounettes" dont il a le secret,  pour un être fat et veule dont l'indécision est la norme, que ses compagnons excédés désignent sous le terme de "synthèse molle" ; celui qui, en toute innocence, a confié combien le président russe POUTINE le faisait trembler !
D'après la critique éditoriale, ce livre est écrit "par un éditorialiste, pour les éditorialistes !" ; il se veut à la fois constat de l'état politique du pays dans une première partie, et force de proposition pour la seconde. Avouons que le rapport est totalement déséquilibré au profit de la première, qui est une longue litanie des célèbres "punchlines" hollandaises pour démolir tous ses adversaires à la prochaine élection présidentielle :

  • Des candidats de gauche, comparés à des Lilliputiens : Arnaud MONTEBOURG, son ancien ministre : "le Zorro de la Politique" ; son programme : "pas sérieux", "s'abstenir" !
  • De Xavier BERTRAND, il écrit : "Il se réclame de la droite sociale, ce qu'il n'a pas toujours démontré comme ministre. Mais il en a fait son mantra, au risque de tomber dans la facilité souverainiste".
  • De l'Imposteur : "Je ne prétends pas que le président Macron ait dévié de son projet initial, ou qu'il ait abandonné en chemin une part de ses engagements. Il ne s'est jamais prétendu social-démocrate. Il m'est apparu, en tout cas, que le dialogue social ne figurait pas ni dans ses priorités, ni dans ses méthodes de réforme". Il relève avec complaisance le manque de clarté, les positions mouvantes et l'absence de doctrine de son héritier ; mais justement, n'est-il pas son fils putatif reproduisant les mêmes errements qu'il lui avait reprochés pour l'abattre ?
    Et d'ajouter : "un homme sans conviction, errant comme un voyageur, sans boussole, sans cap. Il s'est accaparé tous les pouvoirs, négligeant ainsi les parlementaires pour rendre les riches plus riches".
  • De Valérie PECRESSE : "Elle est la digne héritière de Jacques CHIRAC ; elle en reprend les méthodes éprouvées ; les mots lui viennent plus facilement que les actes …"
  • D'Eric ZEMMOUR : "le voilà, lui, l'histrion, attiré par l'hubris de la résidentielle, confondant téléspectateurs et électeurs, Audimat et élection." "Un polémiste attisé par la haine, souhaitant réveiller les pulsions malsaines de l'occupation ; c'est simple, il est inoffensif et n'a aucune chance de gagner. Mais ses idées, elles, l'emportent ".

Commenter à l'infini, commenter sans trêve ni repos, pour mieux critiquer et abattre l'opposant, c'est en cela qu'excelle le "Professeur Punchline "!. Regrettons en ce sens qu'il ait limité son propos aux candidats déclarés lors de la rédaction ; il nous manque donc son appréciation, certainement fort passionnante, sur son ancienne Ministre de la Justice !
Par contre, pour sa seconde partie, les plus bienveillants de ses partisans parlent "d'esprit de confusion" pour la définir ; quant à son projet, constatons qu'il n'a pas encore eu le temps d'y réfléchir et d'en bâtir un : trop de temps passé et de permanente compromission avec ses amis journalistes assurément. Il pourra y réfléchir dès son retour au pouvoir, promis !
Et parce qu'il n'a ni programme ni projet, il n'encourt pas le risque de se tromper !. Mais sera-ce suffisant pour emporter l'adhésion des électeurs ?

Ses attaques ont le don de faire réagir le Gouvernement ; parce qu'il dénonce l'Imposteur qui "a déchiré les français, et fait preuve d'insensibilité devant certaines détresses", la Ministre de la Fonction Publique, Amélie de Montchalin, le recadre le 23 octobre dans "LE PARISIEN" :

"Si quelqu'un incarne la technocratie et l'immobilisme, c'est bien lui ; mais François Hollande est vraiment le Technocrate par excellence ! Il a profité du système des grands corps pour mener une carrière politique. Il n'a pas démissionné de la haute fonction publique. Il a même continué à accumuler des droits à la retraite pour un poste qu'il n'a occupé que quelques années dans les années 1990".

Donneur de leçon dans l'âme, le comportement de BOZO-le-CLOWN pour cumuler les points retraites a été dénoncé à maintes reprises, d'autant plus qu'il ne s'applique pas les règles auxquelles il exigeait que ses ministres se plient. 
Le montant des revenus qu'il peut cumuler depuis son départ se montent à une pension mensuelle supérieure à 36.000 €, sans parler évidemment de tous les avantages matériels liés à son ancien statut présidentiel (vastes bureaux dans le centre de Paris, Secrétariat, véhicule de fonction avec chauffeurs, service de sécurité rapproché).
Elles consistent en : 

  • 6000 € pour sa retraite de Président ;
  • 6000 € pour ses retraites d'élu local de la Corrèze : Maire de Tulle, Conseiller Général, Président du Conseil Général de Corrèze ;
  • 6800 € pour ses retraites d'élu national : député Assemblée Nationale, Euro Député Parlement Européen ;
  • 12.000 € au titre de membre permanent à vie du Conseil Constitutionnel (il a affirmé qu'il ne siègerait pas, mais peut toujours arrondir ses fins de mois en cas de besoin ; il n'a pas encore le pouvoir personnel d'amendement de la constitution)
  • 300 € de pension pour les cours dispensés à Sciences-Po ;
  • 5000 € pour sa retraite de Haut Fonctionnaire à la Cour des Comptes ;

C'est sur ce dernier point que son intégrité est mise en cause sur le plan moral, puisqu'elle est légalement licite.
BOZO avait opté pour la "Cour des Comptes" lors sa sortie de l'ENA ;  mais il n'y a effectivement travaillé que trois ans, au début des années 1980. Pour embrasser une carrière politique, il n'a pas demandé à être placé en position "de disponibilité", qui aurait interrompu ses cotisations de retraite, mais "en détachement" qui lui permettait de cotiser et de prétendre à sa retraite pleine lors de sa cessation de fonction.
Lors de toute sa carrière politique, tant élu local, élu national, premier secrétaire du parti socialiste ou président de la République, il était donc Haut Fonctionnaire de la Cour des Comptes, détaché à la présidence de la République par exemple entre 2012 et 2017.
A l'âge légal, il a donc pris sa retraite et bénéficie d'une pension à taux plein.
Où l'affaire est savoureuse et dit tout du personnage, c'est que le Président BOZO a fait voter une "loi sur la transparence de la vie politique", dite loi organique du 11 octobre 2013, qui exigeait que "les fonctionnaires et membres du gouvernement doivent se mettre non pas en détachement mais en disponibilité de leurs précédentes fonctions pour exercer des responsabilités gouvernementales".
Fleur PELLERIN, Ministre de la Culture, et Emmanuel MACRON, Ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, se conformeront à cette règle ; le seul qui ne la respectera pas, c'est François HOLLANDE : en Juin 2013, le Ministre des Relations avec le Parlement, Alain VIDALIES, avait pourtant promis que le Président réparerait cette erreur ! 
Promesse, promesse, il était toujours en position de détachement lorsqu'il a atteint l'âge de la retraite ; mais vu le montant cumulé de ses pensions, il ne gère pas ces problèmes secondaires d'intendance et continuera à donner des leçons aux agriculteurs retraités et autres exclus, vivant de revenus injustes et indignes au regard de leur vie professionnelle.
Ce n'est pas son problème ! Mais certain ne l'ont visiblement pas oublié.