Si "ketamine" et "cocaïne" figurent aujourd'hui sur la liste des produits les plus courants dans le monde politique, leur effet est très sensible chez certains responsables puisque vecteur d'une épidémie mondiale de danse de "saint guy", notamment en France !. Cette agitation permanente et désordonnée sur la scène internationale permet au jeune "Mozart de la finance" qui devait assainir les finances de l'Etat, de se donner à lui-même l'illusion qu'il existe encore, alors qu'il se ridiculise par les contradictions du "en même temps" en affirmant tout et son contraire, et humilie le pays qui l'a élu par la vacuité de ses discours grotesques et l'impuissance pitoyable de ses actions ; comédie navrante et déchirante dont plus aucun spectateur n'est dupe afin de donner l'illusion que le héros triomphant de 2017 achève ses quinquennats sous les oripeaux d'un pathétique «syndic de faillite», pantin désarticulé qui tente de recouvrir du manteau d'invisibilité l'insondable désastre de ses deux quinquennats dont l'histoire ne manquera pas de lui présenter la facture, puisqu'à vouloir nier - à l'instar de ses alliés et complices trotskistes du LFI de MELENCHON, STORA et BOUCHERON - l'existence la culture et la civilisation d'une nation qui l'avait pourtant élu, il l'a entraînée dans le gouffre du néant en apportant la preuve, selon la formule de VALERY : «Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.»!. Avec o'Micron et les gitons wokes et disruptifs de sa cour, pas besoin de guerre mondiale pour parvenir à un tel résultat : ils le réalisent parfaitement seuls, même en temps de paix.

Si les positions du pays se sont effondrées dans le monde, notamment en Afrique dont il a été ignominieusement expulsé après avoir sacrifié la vie de 52 de ses jeunes soldats pour sauver les états sub-sahariens d'afrique de l'ouest d'une invasion islamiste, la communauté LGBTQIA+ est toujours fidèle : menée par les "drag-queens" triomphantes, transgenres et pédophiles privilégiés par le pouvoir, elle propose d'élever, avec l'argent public - une statue à son bienfaiteur pour tous les privilèges, honneurs et subventions publiques octroyés à leur cause commune.
Et voici que de guerre lasse apparaît un courant de pensée pour s'élever contre cette gabegie !
Un mouvement libertarien venu du réseau social X a créé le phénomène "Nicolas qui paie". Une allégorie du français lambda qui travaille, paie ses impôts, et voit son argent mal redistribué.
« Nicolas qui paie » est devenu le symbole d’un ras-le-bol. Celui d’une génération active, qui bosse, qui cotise, se lève tôt et qui commence sérieusement à se poser des questions. Une France qui se lève tôt, rentre tard, et regarde son salaire s’évaporer entre impôts, cotisations et taxes en cascade. Lui, c’est « Nicolas qui paie ». Pas un homme réel, mais un personnage inventé sur les réseaux — un avatar, une caricature — devenu en quelques semaines le porte-voix d’un ras-le-bol générationnel. Un prénom banal devenu slogan. Un compte anonyme devenu exutoire. Parce qu’il dit tout haut ce que des milliers de jeunes actifs vivent en silence.A quoi ça sert de payer de tout ça ? Pour quels résultats ? Où va mon argent ? L’Etat est-il réellement transparent concernant la dépense publique ?
Nicolas finance tout, mais il est convaincu qu’il n’aura droit à rien. C’est là que réside le cœur du malaise : Nicolas cotise pour tout, tout le temps… mais ne voit jamais rien revenir !
La santé ? Déserts médicaux, délais interminables, urgences saturées.
La sécurité ? En recul, malgré des budgets en hausse constante.
Et l’école ? Déclassée dans tous les classements. Alors Nicolas se tourne vers le privé. Mais là encore, l’addition est salée. Pour garantir un bon niveau à ses enfants, il doit payer deux fois : une fois pour l’école publique, une autre pour s’en extraire. Il paie donc. Toujours.
Mais à force de financer un édifice à la dérive, il commence à parler. Et visiblement, il n’est plus tout seul.
Nicolas, c’est le symbole de cette génération de jeunes actifs qui ont le sentiment de stagner, voire de reculer. On lui avait promis l’ascenseur social. Il a eu l’escalier de service — sans rampe, sans lumière, et avec des marches qui s’effritent. Nicolas n’est pas un tire-au-flanc. Il a coché toutes les cases : études, diplôme, CDI. Il gagne 2400 euros nets par mois. Ce n’est pas la misère. Mais ce n’est pas la vie non plus. Impossible d’épargner, d’acheter, de se projeter. À peine de quoi vivre, jamais de quoi avancer. Pour devenir propriétaire, il lui faudrait s’endetter sur 40 ans ou attendre un héritage… vers 65 ans. Autant dire : jamais.Le pouvoir d’achat immobilier s’est effondré. Divisé par deux depuis les années 2000. Les jeunes ont perdu 20 mètres carrés en 20 ans. Pendant ce temps, les boomers ont acheté au bon moment, dans les bons quartiers. Ils ont vu les prix tripler, revendu avec plus-value, puis racheté au soleil. Eux sont montés. Nicolas, lui, regarde l’ascenseur bloqué à l’étage du dessus. Même l’héritage ne sauve plus. Le patrimoine s’est concentré : 25 % de la population détient 60 % des richesses. Et comme on vit plus longtemps, les transmissions se font… entre retraités. Un monde à l’envers.La révolte des « Nicolas » n’est pas idéologique. Elle est existentielle. Elle dit une chose simple et brutale : la France protège tout le monde… sauf ceux qui la font tourner. Et quand l’État providence devient un État prédateur, il ne reste plus à Nicolas qu’une solution : se fâcher. Et visiblement, il commence à le faire.
Alors, on lui ment et on le manipule au travers les médias officiels de service public tels RADIO FRANCE et FRANCE TV, et toute la presse progressiste en faillite qui ne perdure qu'au travers les subventions publiques versées par le Ministère de la Culture pour servilement servir le discours officiel et ses éléments de parole, inlassablement assénés par de pseudos journalistes mais vrais activistes politiquement engagés tels Patrick COHEN ou Jean-Michel APHATIE ; dans leur sacerdoce, ils sont soutenus par les milieux artistiques et médiatiques, eux aussi dépendant des subventions d'argent public pour continuer à s'enrichir en ruinant l'état. Et si cela ne suffit, il existe encore le recours au Syndicat trotskiste de la Magistrature pour dresser les rebelles et anéantir la démocratie en substituant au nom d'un pseudo "état de droit" le pouvoir éclairé des juges nommés par le pouvoir au principe de souveraineté populaire.
On manipule, on triche, on bâillonne toute opposition en la réduisant au rôle de repoussoir d'extrême-droite, fasciste, masculiniste, antisémite et islamophobe, et, pire que tout, homophobe ! On la harcèle judiciairement, on la condamne quitte à violer les règles les plus élémentaires de notre droit, et on l'ostracise du débat en la déclarant inéligible. Dans un même mouvement, le pays coule et s'enfonce, disparaîssant inexorablement au fond des abysses pour laisser place à une nouvelle nation "créolisée", comme le clament les trotskystes réunis autour de MELENCHON, alias "Santerre", l'homme qui ne saurait vivre parmi une population de blonds aux yeux bleus ! : pas une seule journée sans qu'un exemple de ces maniplations permanentes ne soit fourni :
Mi-décembre, le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques annonçait « au moins 26,8 millions d’euros d’excédent ». « Au moins ». « Entretemps, on a accompli le travail de clôture », présente Fabrice Lacroix, directeur exécutif administratif et financier de Paris 2024. Tony Estanguet, président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, révèle que, le 17 juin, au Conseil d’administration qui scellera la fin officielle du conseil d’administration avant de passer la main au liquidateur (le cabinet BTSG) seront annoncés « 76 millions d’euros de boni. » Avec comme chiffres définitifs de l’organisation des Jeux de Paris 2024 : 4,494 milliards d’euros de revenus et 4,418 milliards d’euros de dépenses.
Les JO de Paris auraient coûté près de 6 milliards selon la Cour des comptes
Combien ont coûté les Jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) de Paris 2024 ? Ce lundi, la Cour des Comptes a publié un rapport sur les dépenses publiques liées à l’événement, un an ou presque après son déroulement. Le président de la Cour, Pierre Moscovici, a précisé qu’il ne s’agissait que d’une note d’étape, avant un bilan quasi-définitif programmé pour le 1er octobre prochain. Depuis 2019 et ses premiers travaux relatifs aux Jeux, la Cour a procédé à pas moins de 17 contrôles et fourni une centaine de recommandations, « dont la plupart ont été suivies », s’est félicité Pierre Moscovici.
En dépit des éléments manquants – les collectivités territoriales doivent encore remonter un certain nombre de données –, le document présenté lundi et arrêté au 31 mars 2025 chiffre pour la première fois les dépenses de l’État concernant les « JOP ». Selon la Cour, elles se rapprochent des six milliards d’euros, agrégeant une série de domaines (maintien de l’ordre, mobilités, équipements…). Les deux postes principaux sont constitués des coûts d’organisation (incluant la sécurité), à hauteur de 2,77 milliards d’euros, et des investissements d’infrastructures, pour 3,19 milliards d’euros. Dans le premier cas, il s’agit d’efforts ponctuels, en prise directe avec la tenue des Jeux, dans le second, d’investissements susceptibles de donner lieu à héritage.