Les GAY GAMES de PARIS, arrachés de haute lutte par les groupes de pression et les associations d'agitation-provocation LGBT financés par Pierre BERGER et regroupés autour du Maire de Paris, Anne HIDALGO ; de l'ancien Président du Conseil Régional d'Ile-de-France Jean-Paul HUCHON et de la ministre des sports, Valérie FOURNEYRON,
qui avaient décidé de leur financement sur fonds publics, sont l'une des rares réussites marquantes du quinquennat du clown BOZZO.
Alors qu'ils ont battu leur plein du 4 au 12 août 2018 sous la canicule, devant des gradins vides et dans l'indifférence générale, comment ne pas rendre hommage aux héros de la cause LGBT qui se sont tant battus pour honorer, en la privilégiant, cette communauté, qui est la seule à voter encore pour eux !
Depuis la disparition de Pierre BERGE, même les médias se désintéressent de cet événement alors qu'une communauté sexuelle autoproclamée "d'élite, sure d'elle, dominatrice" et méprisante en sus, a pris le contrôle d'une ville, à travers ses élus. Tous les adjoints homosexuels, choisis et promus par Bertrand DELANOE, ont été mariés par son successeur Anne HIDALGO ; l'appartenance à cette communauté est la condition sine qua non pour faire une carrière politique dans la ville.
Alors, rendons hommage au Maire de PARIS, qui
- malgré les moqueries, les lazzis, les sarcasmes, a eu la courage et la ténacité d'abandonner des missions municipales régaliennes d'intérêt général telles que l'hygiène publique (la dératisation par exemple, puisque les rats ont envahi PARIS) pour la satisfaction financière des exigences communautaires d'une minorité sexuelle,
- malgré les déficits budgétaires abyssaux que son irresponsabilité a creusés dans le budget de la ville,
- malgré une politique pseudo-écologiste ultra visant à purger, seule et contre tous, de sa pollution en éradiquant la ville de sa circulation automobile,
- malgré les faillites en série des sociétés avec lesquelles elle avait signé des accords de services para-municipaux,
a maintenu une politique extrémiste et jusqu'au-boutiste en faveur du communautarisme gay, privilégiant les activistes LGBT les plus ultras et agressifs, au mépris de l'intérêt général, en finançant avec les fonds publics ces jeux sans le moindre intérêt. (Elle s'en défend en dénonçant le machisme de ses adversaires politiques qui ne supporteraient pas qu'une femme dirige la ville, leur "racisme" au motif de ses racines andalouses, et bien sur leur homophobie puisqu'il faut bien mettre cette notion socialiste à toutes les sauces et que la "fachosphère" est partie intégrante de la doxa socialiste)
En illuminant la Tour-Eiffel des couleurs arc-en-ciel, en décorant l'Hôtel-de-Ville d'immenses drapés de ces mêmes couleurs (et l'Assemblée Nationale également à l'initiative de son Président), en redessinant les passages piétonniers avec ces couleurs ainsi que les plaques de certaines rues, et en payant de sa personne en assistant personnellement à ces événements, elle réaffirme son attachement et sa passion pour le communautarisme LGBT, et surtout son intérêt pour un vote qui l'a portée au pouvoir en tant que représentante de la "socialie-boboy-gay" si chère à son cœur de femme de gauche de mouvance extrémiste, puisqu'elle appartient à la même chapelle maçonne que Christiane TAUBIRA et Najat VALAUD-BELKACEM et que toutes trois ont poussé, puis soutenu, Vincent PEILLON, Notable maçon du "Grand Orient de France", à se présenter à la primaire socialiste et l'ont accompagné jusqu'à sa défaite humiliante.