Hommage à Samuel Paty

adenauer
"L'histoire est le total des choses qui auraient pu être évitées" 
Konrad Adenauer Mémoires

Comment ne pas se remémorer cet aphorisme du vieux sage allemand à la fin de sa vie, lui qui affronta, comme témoin et acteur, tant d'évènements historiques qui secouèrent et ensanglantèrent l'histoire de son pays, notamment la montée et le triomphe du nazisme, dont il fut l'un des premiers opposants et le paya au prix fort de sa liberté. En ces temps pas si lointains où le courage manqua tellement aux hommes politiques de gauche alors au pouvoir dans les principales nations occidentales, qui choisirent la soumission, l'indignité du renoncement, ou pire encore la neutralité alors qu'il était encore temps de réagir. Ils furent balayés et déshonorés devant l'histoire, mais avaient entraîné leur pays dans la spirale infernale du malheur, de la défaite, du renoncement et de la décadence.
Car, comme le leur reprocha Winston Churchill, alors dans l'opposition : " Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre !".

Le cours de l'histoire est bien sûr aussi imprévisible qu'inéluctable, surtout à vouloir se fermer les yeux se boucher les oreilles sur des phénomènes aussi évidents et patents que ceux qui nous assaillent aujourd'hui ; alors, rien de plus confortable que de se placer complaisamment dans une position de déni de réalité et de pratiquer la politique de l'autruche ! 
Dans ces conditions, le "grand remplacement" ne serait tout au plus qu'un épouvantail agité par l'odieuse "fachosphère" pour effrayer les braves électeurs et les rabattre dans le camp de l'ordre,
La lâcheté et la soumission du camp progressiste sont désormais évidentes puisque le vote musulman est devenu si obsessionnel que les partis de gauche se prostituent pour en obtenir une miette, au prix de tous les abandons, renoncements, reniements et apostasies aux valeurs de notre civilisation et de notre histoire. La doxa officielle progressiste avait connu un "tsunami" dévastateur : ainsi que l'avait analysé dans son rapport, entré désormais dans la petite histoire, Olivier FERRAND, jeune étoile socialiste (trop tôt disparu en pleine gloire !) créateur du "thinck tang" "Terra Nova", "c'est la massive immigration maghrébine en France, terres de conquête électorale en jachère, qui est porteuse des prochaines victoires avec ses millions de voix en réserve pour une social-démocratie en faillite".
Comme prophétiquement annoncé par Michel HOUELLEBECQ dans "SOUMISSION" en 2015, dans ce pays émasculé, les progressistes ont infiltré méthodiquement et patiemment les institutions du pays, et ont pris le contrôle total grâce à l'élection de François Hollande à la Présidence de la République. Les médias progressistes (en faillite, mais financés par les impôts des citoyens) et la "justice" entre les mains d'extrémistes syndicaux, sont désormais tout puissants ; sous-couvert du "vivre ensemble", de la "défense des libertés", d'une bienpensance omniprésente et étouffante, journalistes et juges fixent les règles sociales et morales qui régissent notre existence, conformément à leur idéologie, sans égard pour un pouvoir législatif dont les textes sont ignorés ou démolis avant d'être votés. Manipulé par une presse univoque totalement dévolue au service du pouvoir en place qui façonne l'opinion publique, le peuple est privé de son pouvoir souverain, sa volonté est bafouée : juges et médias ont réussi leur coup d'état et sont d'autant plus puissants qu'ils ne sont pas soumis à un quelconque vote populaire dans leur désignation et bénéficient d'un incroyable privilège d'irresponsabilité (du moins, les magistrats !) dans tous leurs actes professionnels. C'est par la terreur qu'ils imposent leur idéologie totalitaire, au risque pour les rebelles d'encourir les classiques "campagnes de haine et de dénonciation", les condamnations publiques et infamantes avant jugement,  orchestrées par l'islamo-gauchiste Edwin Plenel et ses pairs, pour "livrer leur honneur aux chiens", avec le concours du "Syndicat de la Magistrature" pour poursuivre le "sale travail" et achever la "bête" blessée.
La "corrida" tragique sur les chaînes d'information avec mise-à-mort politique finale de l'opposant intrépide, entre le "toréador" MEDIAPART et certaines juridictions d'exception "matadoresques" créées à cette fin par François HOLLANDE et Christiane TAUBIRA, a fait ses preuves d'efficacité !.
Dans un pays où une minorité d'activistes élimine, avant les élections démocratiques, tout candidat potentiel qui s'élève contre la dérive idéologique totalitaire qu'ils imposent sous couvert fallacieux des valeurs de "liberté, égalité et fraternité", complotent par leurs manipulations pour empêcher les citoyens-électeurs de voter en toute connaissance et conscience, sommes-nous encore en démocratie ?
Comment s'étonner qu'un enseignant soit décapité dans la rue, au couteau de cuisine, en rentrant à son domicile après les cours ; le crime pour lequel il est ainsi exécuté est d'avoir tenu un discours laïque pendant un de ses cours d'instruction civique, qui a irrité le père militant islamiste d'une jeune fille qui n'était même pas présente lors de son enseignement ; l'assassin est un homme de main, un parmi cette multitude de "réfugiés" politiques islamistes infiltrés dans notre pays, qui a signé son crime d'un message au Président de la République : « J’ai exécuté un de tes chiens de l’enfer qui a osé rabaisser Muhammad, calme ses semblables avant qu'on ne vous inflige un dur châtiment… »
Ainsi va la France progressiste sur laquelle pèsent toujours les ombres pesantes et les mains magiques des prestidigitateurs François Hollande et Christiane Taubira qui ont installé, durant le dernier quinquennat, toutes les structures et nommé les personnes en charge aujourd'hui de la mise sous tutelle de la démocratie. Pour régler le problème, comme d'habitude, ils n'hésitent pas à nous gaver de leurs larmes de crocodiles, ont déposé des gerbes sur les lieux du drame, fait brûler des bougies pour "ne jamais oublier !", fait des "marches blanches" et organisé une magnifique cérémonie télévisée d'hommage (cette fois, Camelia Jordana Aliouane, grande supportrice d'HOLLANDE, n'avait pas été imposée comme artiste vedette de la représentation !) ; et puis, on oubliera et on recommencera à la prochaine occasion.
Allez, un suppositoire de "CEPALISLAM" et trois gouttes de "PADAMALGAM" a prescrit le Dr Hollande au patient ! Et tout ira bien !
Ite missa est ... ! Et le grand carnaval de reprendre inexorablement, puisque le  candidat postulant aux présidentielles 2022 reprend ses meetings électoraux dans nos écoles publiques et nos universités  pour former l'esprit de la jeunesse et vendre ses livres !
Dans cette comédie tragique peuplée d'ombres de clowns, de bouffons, d'ambitieux irresponsables prêts à toutes les compromissions pour une parcelle de pouvoir, les seules paroles qui valent : celles du Maire de Béziers, Robert MENARD ! Dans cette ville fétiche, toujours dévolue électoralement au Parti Socialiste depuis la grande répression des vignerons par Clémenceau en 1907, il vient de remporter au premier tour l'élection municipale avec 70% des voix. Créateur de "Reporters sans frontières", il était pourtant présenté par les médias, qui ne cessent d'alimenter contre lui des campagnes de haine et de désinformation, comme un membre éminent de la "fachosphère" !

Discours de Robert Menard, Maire de Béziers, sur le parvis de la Mairie en hommage à Samuel PATY