Journaliste, c'était autrefois un sacerdoce et une passion ; dans une presse et des médias audiovisuels sous contrôle politique et économique des financiers progressistes, c'est désormais être le propagandiste-activiste d'une cause pour l'imposer à autrui.
Le syndicat de la magistrature et le PNF viendront remettre dans le droit chemin tout récalcitrant aux normes imposées par la "pensée unique" !
Suivant la définition savoureuse, spirituelle et imagée, qu'en fournit le plus compromis d'entre tous, le socialo-trotskiste Nicolas DOMENACH, pour justifier les prébendes attachées à sa qualité de domestique servile du Parti Socialiste,
Ces "journalistes" sont la quintessence de l'engagement médiatique au service d'une cause, d'une idéologie, d'un parti, d'une religion, d'une secte plus ou moins discrète, de lobbies généreux, de minorités sexuelles déviantes, et surtout de leur intérêt matériel personnel aux fins de détournement de l'information et manipulation de l'opinion publique bien-pensante.
Ces agents d'influence agissent sous couvert du plus incontestable des alibis : un statut de "journaliste", passeport pour toutes les dérives totalitaires bien-pensantes : tout dire, tout écrire, tout salir, tout diffamer, tout détruire, sans jamais encourir la moindre poursuite ni la moindre contradiction ou rétorsion. Car, dans les faits, à l'instar du statut d'irresponsabilité des magistrats, ou mieux encore des diplomates, ils sont drapés dans la "toge" d'immunité, qui leur assure l'inviolabilité au motif de la préservation de la très sainte et liberté de la presse , toujours flanquée de sa complice, l'incontournable et virginale "protection des sources" !
Ils illustrent parfaitement le discours prononcé par François MITTERRAND à l'occasion des obsèques de son ancien Premier Ministre, Pierre BEREGOVOY, moralement détruit et réduit au suicide à la suite de la campagne menée contre lui déjà par Edwin PLENEL :
« Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu’on ait pu livrer aux chiens l’honneur d’un homme et finalement sa vie au prix d’un double manquement de ces accusateurs aux lois fondamentales de notre République. Celles qui protègent la dignité et la liberté de chacun d’entre nous »
Mais l'honneur d'un homme, ils en ignorent non seulement le sens mais jusqu'à la notion, eux qui n'en ont aucun !
Souvent compagnons d’enfance puis d'adolescence des « leaders » socialistes aux côtés desquels ils ont usé leurs fonds de culotte sur les bancs des mêmes écoles puis lycées dans les quartiers privilégiés où ils vivaient, devenus comme eux militants trotskistes lors de leur révolte adolescente contre le père de droite, conformément aux principes d’entrisme et de noyautage de l’appareil d’état définis par les thèses lénino-trotskistes, ils accomplissent une mission essentielle de commissaires politiques dans la presse et les médias audiovisuels qu’ils doivent contrôler pour influencer l’opinion et assurer la victoire et la pérennité de l’idéologie dont ils constituent les troupes de choc !