En mai 2017, la défaite était cruelle ! Un ignoble imposteur, jeune arriviste présomptueux et ambitieux, un hypocrite, un sournois dont il avait propulsé la carrière en le faisant passer de la banque Rothschild au secrétariat général de l'Elysée puis à Bercy avec le titre de ministre de plein exercice, un de ces conseillers sur lesquels il comptait pour poursuivre sa brillante trajectoire, l'avait lâchement assassiné en lui enfonçant une dague dans le dos pour privilégier son propre intérêt au mépris du sien, prendre la place de calife à la place du calife !
Difficile à digérer, mais opération réussie dans la mesure où, pour l'affronter électoralement, il aurait du défendre le bilan de son quinquennat, et que ce bilan était indéfendable et l'avait conduit à un niveau de détestation et de rejet dans l'opinion publique jamais atteint jusque là par aucun Président de la République !. L'habituelle diabolisation utilisée par tous les candidats socialistes contre leurs adversaires les plus menaçants, en les taxant d'extrême droitisme, de racisme et d'homophobie ne pouvait être utilisée puisque la vipère sortait de son sein où elle était lovée, et qu'une insistante rumeur le qualifiait d'homosexuel partenaire du Directeur de RADIO FRANCE, Matthieu GALLET.
Alors, il s'était donné cinq ans de campagne électorale pour se refaire une virginité politique, se venger en dynamitant impitoyablement le quinquennat du "coucou" élevé dans son nid ; l'héritier, "Rastignac pressé", qui avait commis l'irréparable en assassinant le Père bienveillant. Pour lui nuire, saper sa politique, son autorité, sa personne, contester chacune de ses attitudes, de ses paroles, de ses décisions, quoi de mieux qu'une présence médiatique obsédante, de fausses informations et des mesquineries permanentes distillées dans la presse et les médias audiovisuels. Et pour ces basses besognes, n'était il pas de très loin le meilleur de sa génération.
Il contrôlait encore le service public FRANCE TELEVISION , où il avait poussé ses affidés ; pourquoi se gêner ? Le tableau était prometteur : ne serait-ce que sur FR5, avec des interventions à sa convenance et toujours favorablement accueillies dans "C'est à vous", avec Anne-Elisabeth Lemoine et Patrick Cohen pour lui servir la soupe ; "C'est l'Info" d'Ali Badou, le gendre de François Mitterrand et père de trois de ses petits enfants qu'il a eu de Mazarine Pingeot, recasé sur le service public par Delphine Ernotte après sa condamnation pénale pour avoir "acheté" un permis de conduire après l'annulation du sien ; " C Politique" et "C ce soir" de Karim Rissouli, avec Pascale Clark, entièrement dévolues à la propagande progressiste, dont il est un des incontournables puisque Rissouli lui a consacré une hagiographie ; FR2, le navire amiral de la flotte, avec la propagande permanente autour des émissions produites et présentées par l'activiste LGBT Laurent Ruquier ; mais également pour l'audiovisuel privé du groupe TF1 qui promeut les émissions du couple "GROS-BARTHES", présentées par Yan BARTHES, activiste mondain lié au courant LGBT sur RMC ; et bien sûr la chaîne d'nformation BFM TV, sous le contrôle de son directeur militant activiste de la GPA et inlassable défenseur, avec son directeur de l'information Philippe CORBE, des droits de leur communauté LGBT de cœur et d'appartenance.
Pour la partie radio, il a évidemment porte ouverte sur les antennes du groupe RADIO FRANCE, notamment FRANCE INTER, avec la matinale animée par Léa Salamé et Nicolas Demorand, ancien directeur de "Libération", qui sont déjà plus des militants que des journalistes.
Ils figurent au premier rang des moyens utilisés pour détruire le quinquennat de l'Imposteur et tous les rivaux en mesure de se dresser sur sa route, et ne lui ont jamais manqué. Il les a donc largement utilisés ; en sus de cette présence écrasante dans l'audiovisuel, il a, conformément à sa doctrine, sillonné sans cesse le pays pour y diffuser les livres produits en série par son service de "rédacteurs anonymes" , sans les moindres qualités ni intérêts, mais lui permettant de labourer inlassablement le territoire pour des tournées de signature dans les librairies , accorder des interviews aux médias locaux et rencontrer ses électeurs ; et surtout, en envahissant pour sa propagande les écoles primaires publiques, les collèges et les lycées (avec la complicité coupable des réseaux francs-maçons si puissants au sein de l'Education Nationale,) pour servir ses intérêts personnels en abusant de l'innocence des enfants. La protection de l'enfance constitue pour toute société humaine le dogme absolu et intangible, une des rares règles faisant consensus et jamais remise en cause ! Briser ce tabou, sacrifier même les enfants à ses intérêts électoraux est donc l'un des pires interdits que le clown aura franchi ! Dans les années 1970, au nom de la "liberté sexuelle", les tenants de sa pensée politique revendiquaient déjà ouvertement la dépénalisation des crimes pédophiles ; puis l'affaire criminelle du CORAL et l'organisation mafieuse créée autour des pervers séniles - que l'histoire criminelle désignera sous le terme générique de "Gang du Jardin Majorelle de Marrakech" - démontrent à quel point ces malades, étaient passés aux actes pratiques ! Force est de constater qu'ils figurent au premier rang des financiers et soutiens de BOZO, instrumentalisé comme bouclier et garantie de l'impunité de leurs pires crimes
Le succès de cette stratégie massive était assuré, écrit à l'avance ; au point que s'exprimant sur la tournée du Cirque Bozo dans le pays, la favorite du moment, Julie Gayet, pouvait sans la moindre malice constater, pleine de candeur, qu'elle avait plus de succès que le "Tour de France" et provoquait, plus encore que la prestigieuse épreuve sportive, d'impressionnants rassemblements populaires sur les lieux où il se produisait !
Et pour bilan final de tous ces efforts et investissements : l'échec, l'échec total et injuste encore une fois !
Malgré ses appels incessants au rassemblement de la gauche derrière son panache social-démocrate, aucun écho puisque, pour les progressistes il n'est plus un homme de gauche. Le Parti Socialiste, qu'il a complètement détruit durant son quinquennat, le rejette désormais avec dégoût, les dirigeants de ce qu'il en reste n'ayant d'autre objectif que de dresser un inventaire du quinquennat pour en faire le procès et le condamner devant l'histoire.
Pour écarter sa candidature, ils ont même désigné directement Anne HIDALGO, entrée en politique en tant qu'Inspecteur du Travail lors d'un contrôle dans les locaux du Parti Socialiste dont il était Premier Secrétaire, qui en était sortie - d'après la légende dorée - transfigurée, avec la promesse de succéder à Bertrand Delanoe à la Mairie de Paris, et riche d'une prochaine maternité à venir. Les ultras ont même osé organiser un fumeux "référendum populaire" pour désigner son ancienne ministre indépendantiste guyanaise de la justice, candidature qui s'acheva dans le ridicule après avoir sombré dans le délire et la confusion.
Mis à part les fidèles parmi les fidèles , Patrick KANNER au centre de toutes les magouilles et manœuvres pour prendre le contrôle du parti, et Bernard CAZENEUVE, sorti de sa retraite car réputé droit - honnête et travailleur, plus personne pour le soutenir et l'aider dans son entreprise.
Alors l'Imposteur a été réélu sans même faire campagne, avec pour légitimité le réflexe "drapeau" autour de sa personne, par suite de l'épidémie de COVID et la guerre en Ukraine ; et le constat que la droite est très largement majoritaire en France, mais perdue dans ses désunions puisque la leader du RN, pour se dédiaboliser, est désormais sur la même ligne que La France Insoumise et passe plus de temps à démolir ses rivaux de droite qu'à promouvoir la ligne politique qui était celle de son père, pourtant majoritaire dans le pays.
Pas de quoi se décourager toutefois : dans cinq ans, en 2027, BOZO n'aura que 73 ans après tout, largement plus jeune que le Président américain élu en 2021. L'Imposteur, à moins d'une réforme constitutionnelle bien improbable, ne pourra lui barrer la route après ses deux mandats. Les dés seront donc redistribués, et il jouera à nouveau pleinement sa chance, n'en doutons pas.
Et dire que Jack LANG, à sa demande, avait conçu une de ces cérémonies d'investiture bouffonnes et ridicules, qui constituent sa marque de fabrique ; une de ces journées inoubliables où "la FRANCE SORT DE L'OMBRE POUR ENTRER DANS LA LUMIERE" !.
Dans la cour du Louvre, avec la Pyramide de Pei en perspective, il avait imaginé toutes les maîtresses officielles alignées en rang d'oignon, pour bien marquer le féminisme militant de l'Elu ; épris de chansons françaises tristes, il chanterait lui-même " TOURNER LES SERVIETTES du grand poète corrézien Patrick Sébastien, en signe d'allégresse et pour célébrer la jeunesse, priorité habituelle mais toujours oubliée des quinquennats circassiens ; et pour célébrer Juliette dans sa carrière, la danseuse de l'OPERA DE PARIS serait invitée pour interpréter "LE LAC DES INDIGNES" en signe d'affection pour l'ELU. Il répétait ainsi son admirable initiative du 27 novembre 2015, lorsque pour rendre hommage aux 129 victimes des attentats terroristes qui avaient frappé Paris et Saint-Denis le 13 novembre, il avait exigé la présence de sa "protégée"; Camélia Jordana, pour interpréter magnifiquement le "Quand on a que l'amour" de BREL, elle qui devint un peu plus tard, aux côtés de la malienne Assa Traoré et d'Audrey Pulvard, une tête d'affiche du "wokisme" et militante enragée "anti-police", tendance ACAB (All Cops Are Bastards).
Bien fâcheux que la Providence nous ait privé de ce spectacle ; mais nous savons que BOZO n'abandonnera jamais : rendez-vous donc en 2027 !