Mieux que le plomb en or, la miraculeuse transmutation du plus mou d'entre les socio-démocrates en activiste écologiste enragé !
En cette période où :
- permanents syndicaux (dont le désordre social institutionnalisé est le fond de commerce et la raison d'être pour justifier leurs privilèges et leurs abus financiers),
- activistes-agitateurs professionnels, de tous bords, rêvant du "grand soir" et appelant de leurs vœux une VIe République dont ils seraient les maîtres,
s'agitent pour prendre en main un mouvement populaire respectable et satisfaire leurs ambitions personnelles et leurs privilèges claniques au mépris de l'intérêt général, exigeant la démission du Président de la République et du Gouvernement, la dissolution de l'Assemblée Nationale régulièrement élue, la disparition du Sénat, la fin de la Démocratie voire une atteinte sévère aux principes même de la République dont les dictateurs vénézuéliens CHAVEZ et son successeur sanglant MADURO sont cités comme les archétypes exemplaires,
Le plus virulent d'entre-tous est bien évidemment le Clown BOZZO, que l'on voit s'activer inlassablement, se multipliant comme d'habitude tant sur les plateaux des médias audiovisuels publics, que sur les barrages des Gilets Jaunes, jetant de manière irresponsable par ses canaux habituels (les syndicats manipulés par les éléphants trotkystes-socialistes - cf Julien Dray qui s'en vante ) lycéens et étudiants dans les rues sans aucun égard pour leur sécurité voire leur vie.
Pourtant, le fait déclencheur de ce mouvement populaire, en langage "novlangue" socialiste, est la fameuse "transition écologique" pour s'opposer au "réchauffement climatique", instituée par le gouvernement socialiste de Clown Bozzo lui-même lorsqu'il était encore aux affaires.
Elle faisait suite à la fameuse COP 21, ce moment miraculeux de gloire universelle où il avait acquis le statut de HEROS de l'HUMANITE et le surnom de BOUGIE VERTE en mémoire du film GREEN LANTERN. La dernière manifestation de cette politique est la fameuse "taxe carbone", pour réduire de manière drastique la consommation de gas-oil et favoriser l'usage des véhicules prétendument "propres" !
BOZZO l'écolo s'était heurté dès le départ à l'hostilité des "Bonnets rouges" en Bretagne, lorsqu'il avait fait face aux manifestations violentes contre l'institution d'une "écotaxe" contre les véhicules de transport de marchandises, mesures fiscales destinées à faire payer les pollueurs.
Conformément à la doctrine CHIRAC-BAYROU, BOZZO avait reculé dés les premières difficultés et la loi légalement votée par le Parlement avait été abandonnée, malgré la démesure de la dépense imposée au budget public. Cette jurisprudence institue en FRANCE le principe que n'importe quelle minorité ou communauté violente peut s'opposer et bloquer l'application d'un programme de gouvernement sur lequel des élus ont été démocratiquement désignés par le suffrage universel et les lois régulièrement votées et promulguées !
Ce principe ne s'applique évidemment pas aux manifestations non-violentes, légalement déclarées et pacifiques, même si elles rassemblent plusieurs centaines de milliers de personnes : car mieux vaut pour arriver à ses fins une manifestation de quelques centaines de personnes décidées et violentes (dans la mesure où tout le monde connaît la doctrine du maintien de l'ordre dans ce pays qui vise à protéger les manifestants et leur laisser tout casser en toute impunité pour ne pas faire de victimes !) qu'une manifestation pacifique rassemblant plusieurs millions de personnes !
D'ailleurs FLANBY en administra la preuve lors de l'affaire dite de l’aéroport Notre-Dame des Landes, avec l'occupation par des "Zadistes", punks à chiens extrêmement violents (les fameux BLACK BLOCKS organisés et armés pour la guérilla urbaine, qu'il avait soutenus - encouragés et utilisés à NANTES pour interdire à un comique de se produire dans un théâtre privé) des terrains acquis pour sa construction.
Après avoir soumis à référendum la poursuite de l'opération, et reçu une réponse positive formelle du peuple, il tergiversa comme d'habitude afin de ne prendre aucune décision et laisser le cadeau empoisonné à son successeur,
Mais c'était fin 2015, et les implants de sa mémoire artificielle (gracieusement offerts par la société NEURALINK d'Elon Musk pour l'aider à accélérer ses prises de décision !) ont miraculeusement effacé tout souvenir de la genèse de cette affaire en reformatant sa cervelle pour lui rendre sa virginité et candeur originelle !
Dans son mépris instinctif du fait démocratique et son aversion profonde et atavique contre "sans dents" et autres "chiens perdus sans collier" (principes hérités de son histoire de fils de milliardaire grandi dans le velours et le strass douillet d'un hôtel particulier de Neuilly-sur-Seine), aucun principe moral, aucune conviction religieuse - politique ou philosophique, ne saurait le distraire de la route qu'il s'est fixée : s'il dessert ses adversaires et peut lui être utile, aucun souvenir du passé ou rappel d'un parcours contradictoire et sinusoïdal, ne saurait influer sur son présent et son avenir !
Ce genre de politicien méprisable, véreux et amoral de la pire engeance, toujours élu sur des promesses démagogiques et populistes totalement irréalistes, est désormais la règle dans notre pays ; puisque comme l'affirme François BAYROU, le fait de reculer devant toute minorité violente, de céder devant toute difficulté, est devenu la marque d'un homme d'état !
Pourtant, son goût de l'écologie ne saurait être mis en doute, mais sous l'angle qui lui est si particulier, celui de la manipulation d'autrui et du cynisme politique le plus abject !
Dès 2011, avec le concours de Cécile DUFLOT - secrétaire générale du mouvement "Europe Ecologie Les Verts", à laquelle il avait fait l'aumône d'un "emploi" ministériel subalterne s'il était élu, ils avaient par des canaux souterrains torpillé la candidature de Nicolas HULOT à la Primaire Ecologiste, car il présentait le risque de siphonner beaucoup trop de voix d'électeurs de gauche qui lui manqueraient.
Ils avaient donc propulsé Eva JOLY, troisième du concours de beauté Miss Norvège 1962, ancienne magistrate tombeuse de Bernard TAPIE et de Loïc LE FLOCH-PRIGENT dans l'affaire ELF, à cette candidature, qu'elle sabordait aussitôt par sa proposition de suppression du défilé du 14 juillet et en présentant le modèle sécuritaire norvégien comme parangon absolu d'efficacité démocratique, quelques jours avant que le terroriste Anders Behring Breivik n'assassine à OSLO 77 personnes, dont 69 adolescents !
Cécile DUFLOT obtint donc le poste ministériel tant convoité pour lequel elle s'était "vendue" à BOZZO et avait compromis son mouvement, avant que sa fameuse et mortifère loi ALUR ne soit vidée de son contenu par le Premier Ministre Manuel Valls et ne provoque son départ fracassant du Gouvernement !
Mais comme le mouvement écologiste avait perdu tout honneur, toute fierté, tout respect de lui-même et toute conviction contre la mendicité d'un poste gouvernemental, BOZZO enrégimenta dans son gouvernement les plus méprisables représentants de ce parti désormais fantôme, dont l'inénarrable et caricatural Jean-Vincent PLACE, la secrétaire générale du mouvement Emmanuelle COSSE (ancienne punk à chiens secrétaire générale d'ACT-UP, surtout connue pour être l'épouse du prodigieux Denis BEAUPIN dit "Me Too"), et la très belle Barbara POMPILI, plus connue pour son corps de rêve que pour la fermeté de ses convictions écologistes !
Avec eux dans son gouvernement, le Parti écologiste trotskiste EELV était définitivement rayé de la carte politique et ne présentait plus aucun danger pour les Présidentielles de 2017.
Mais le grand triomphe de son quinquennat et la preuve de son engagement écologiste reste devant l'histoire le grand barnum médiatique que fut l'organisation au Bourget de la fameuse COP 21 (Conférence des Nations-Unies sur le Climat) qui rassembla du 30 novembre au 12 décembre 2015, quelques jours après les attentats de Paris, 195 délégations européennes (plus l'UE), afin que chacun s'engage à réduire ses rejets de gaz à effet de serre ; c'est Laurent FABIUS, le ministre des affaires étrangères, qui présidait cette conférence, avec l'assistance de Ségolène ROYAL, la ministre de l'écologie et ancienne compagne présidentielle.
BOZZO ne fut guère actif, mais s'attribua bien entendu le mérite de ce succès planétaire, dont les ambitions dépassaient malheureusement les possibilités de beaucoup d'Etats signataires. Il sut utiliser l’entregent de Nicolas HULOT pour glorifier sa stature internationale, notamment en réunissant autour de lui pour les manipuler à son usage électoral le Cacique RAONI et ses partenaires de l'Alliance des Gardiens de Mère Nature.
A part des photos à vocation électoraliste, que reste-t-il aujourd'hui des engagements pris : trois ans après la signature : les rejets de gaz à effet de serre n'ont jamais été aussi massifs, le plus grand pollueur de la planète, les Etats-Unis, l'ont dénoncé et ne respecteront aucun des engagements souscrits.
Même en FRANCE, les engagements de BOZZO ont précipité le pays dans la tourmente, dite "écologie punitive", et les incroyables augmentations de taxe sur les produits pétroliers crée l'un des plus grands désordres sociaux de ces dernières décades.
Mais BOZZO soutient désormais les manifestants, tance son successeur, et censure l'évidence qu'il est le seul et unique responsable de ces augmentations !
D'ailleurs, à l'occasion de l'un de ses passages quotidiens sur les chaînes audiovisuelles de service public, il a bien voulu faire un profond effort de réflexion pour témoigner de sa conception de l'écologie de gouvernement : si tous les français se comportaient en effet comme lui lorsqu'il était le concierge de l'Elysée, et prenaient soin de vérifier que toutes les lumière des bureaux des fonctionnaires étaient bien éteintes à leur départ, les problèmes des rejets de gaz à effet de serre seraient définitivement réglés dans notre pays !