Dans la célébration des valeurs qui, pour le Président, illustrent le mieux la grandeur de la FRANCE,
- l'INCLUSIVITE
c'est-à-dire accueillir, bras et portefeuille ouverts, en son giron toute la misère du monde, toutes les minorités et les entretenir sans égard pour la majorité qui doit être sacrifiée et payer pour elles,
- l'AUDACE et la LIBERTE DES MOEURS
Thomas JOLLY et son comité ont crée une œuvre inoubliable qui marquera par sa banalité avec la reprise de tous les codes et conventions de la culture et de l'éthique "gays", son ridicule achevé voire grotesque, et ses provocations blasphématoires contre la religion catholique, l'histoire des Jeux Olympiques.
Au nombre des tableaux mis en scène, l'un d'entre-eux visait à promouvoir le souvenir de dix femmes, à l'action progressiste voire révolutionnaire pour leur temps, censées avoir laissé, du moins pour Patrick BOUCHERON, une trace indélébile dans l'histoire du pays ; leur statue, de quatre mètres de haut, de couleur "or" surgissait hors des eaux de la Seine durant le défilé interminable des athlètes sur leurs bateaux. Etaient donc mises en valeur ces personnalités, qui, en raison de leur engagement, avaient reçu l'onction présidentielle :
- Olympe de Gouges (1748-1793) ouvrait le tableau. Militante contre l'esclavage, elle fut décapitée en 1793
- Alice Milliat (1884-1957) a organisé les premiers Jeux mondiaux féminins
- Gisèle Halimi (1927-2020), avocate et militante pour les droits des femmes – notamment de la qualification du viol comme crime –, contre les crimes de guerre et le colonialisme.
- Simone de Beauvoir (1908-1986), Philosophe, écrivain et théoricienne du féminisme, auteure du "Deuxième Sexe", bi-sexuelle et pourvoyeuse en chair fraîche de son compagnon extrêmiste de gauche SARTRE,
- Paulette Nardal (1896-1985) en pointe du mouvement littéraire de la négritude, cofondatrice de "La Revue du monde noir" en 1931,
- Jeanne Barret (1740-1807) se fait passer pour un homme pour embarquer avec Bougainville, et devient la première femme a effectuer le tour du monde de 1766 à 1769,
- Louise Michel (1830-1905), militante anarchiste féministe, membre active de la commune de Paris,
- Christine de Pizan (1364-1431) a écrit, entre autres, La Cité des dames, où elle imagine un gouvernement féminin,
- Alice Guy (1873-1968), pionnière du cinéma, son film La Fée aux choux (1896) est considéré comme le premier film narratif,
- Simone Veil (1927-2017), clôturait ce tableau. La femme politique, ancienne déportée, a porté la dépénalisation de l'IVG en 1974 ; elle est rentrée au Panthéon en 2018.
Pour certains "spécialistes" de l'histoire déconstruite de la France woke et créolisée, il est regrettable que cette galerie ait été limitée aux «10 femmes en or» désignées par le Président de la République ; son prédédesseur, méritait plus que tout autre pour son action en faveur de la déconstruction du pays et de l'abaissement de la fonction "politique", de figurer au rang des "Illustres". Il avait donc fait sculpter sécrètement une oeuvre dorée le réprésentant, haute de cinq mètres, et dans une position tout à fait originale puisqu'il devait tourner le dos aux athlètes - lui qui n'a jamais fait de sport -, assis sur ses wc, culotte baissée, et occupé à son activité préférée : grignoter une tranche de "pizza", tout en faisant des confidences frappées du « secret d'Etat » à ses amis journalistes progressistes !, discret rappel du chef d'oeuvre de Davet et L'Homme : « Un Président ne devrait pas dire ça » et de la popularité que sa grande franchise lui avait acquise !.
Malheureusement, les bassesses de la politique sont telles, qu'o'Micron s'y était opposé au motif que la carrière politique de Bozo le Clown 🤡 était loin d'être achevée, puisqu'il venait d'être élu député de la première circonscription de la Corrèze, avec le soutien actif du gourou de LFI, Jean-Luc Melenchon, et ses troupes les plus offensives et décérébrées : Louis Boyard, Sébastien Delogu, le "black bloc" Raphaël Arnault, l'islamiste Rimah Hassan, la favorite et première concubine du harem, Sofia Chikirou, l'intellectuelle au rire ravageur Ersilia Soudais, etc .., et était déjà candidat pour la présidentielle de 2027 !
Explication spécieuse bien entendu, car, comme le proclame le bon sens populaire : « Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage !»

Dans cet aéropage de "femmes illustres" qui, selon Patrick Boucheron, ont marqué l'histoire, comment ne pas regretter l'absence de la première Maire de Paris, qui se définit elle-même comme "femme maire, de gauche, en plus d'origine étrangère et binationale, féministe et écologiste !"
Rappelons nous que la rumeur «mauvaise», donc invérifiable, prétend qu'entrée dans le bureau du Premier Secrétaire du Parti Socialiste Bozo le Clown 🤡 en tant qu'Inspecteur du Travail pour effectuer un contrôle professionnel, elle en était ressortie, à l'issue d'une spectaculaire promotion canapé, avec la promesse d'être première adjointe du futur candidat socialiste à la Mairie de Paris, Bertrand Delanoë qui élu, fera un courageux "coming out" télévisé et installera des membres de la communauté à tous les postes de décision et de commande de la Mairie : 55.000 agents, dont 300 pour la seule "communication", représentant une des plus grandes administrations françaises et un budget considérable !
Après le retrait de Delanoë de la vie publique, il lui échut normalement d'être la candidate du parti socialiste aux municipales de 2014, reélue en 2020 du fait de l'organisation particulière du scrutin pour Paris, Lyon et Marseille (c'est Gaston Deferre, Ministre de l'Intérieur du premier gouvernement mitterrand, qui avait charcuté le découpage pour assurer sa reélection à Marseille !). A ce poste éminent, elle put libérer son extrêmisme, son sectarisme LGBTQIA++ et favoriser ses obsessions "wokistes" : d'abord, un parti pris total et délibéré pour les membres de la communauté homosexuelle, qui bénéficient de prérogatives et de subventions iniques : quasiment la totalité de ses adjoints sont "gays" ou "lesbiennes", et elle a toujours dirigé leur cérémonie de mariage civil, au prix de quelques dérives telles le versement, sur décision de l'adjoint à la culture, par la mairie d'une "pension" mensuelle à un pédophile aussi actif que Gabriel Matzneff ! L'accueil à Paris de l'immigration illégale conjuguée à l'ouverture de salles de "shoot" à proximité des jardins d'enfants, avec vols, viols, agressions et jardins publics transformés en points de "deal" publics ; la haine et le rejet de la voiture, avec toutes les mesures mesquines pour interdire la circulation et le stationnement des quatre et deux roues en de nombreux quartiers de la capitale, désormais interdits de circulation ; la fuite de la population, en raison des prix, qui quitte la ville pour la périphérie et transforme Paris en "Gay Paris", où seuls les cadres supérieurs, membres "wokes" de la communauté, ont les moyens de se loger ; sans parler, bien entendu, de la multiplication écologique des rats d'égouts, désormais présents dans les rues où ils effraient passants et touristes.
En conséquence, les plus grands succès de ses douze ans de mandat sont l'organisation des "Jeux Olympiques Gays" de 2018, avec la participation et le concours financier de la communauté (Pierre Bergé, vice-président !), qui ont permis à PARIS d'égaler LOS ANGELES comme plus grande ville lgbtqia++ de l'Univers ; la fameuse cérémonie d'ouverture des JO 2024 de Paris, qui lui ont permis de dépasser sa rivale californienne ; et tout cela au prix d'un déficit budgétaire en croissance exponentielle (9.3 milliards d'€ en 2025, alors que les socialistes avaient trouvé un matelas en réserve de 40 milliards d'€ lors de leur arrivée au pouvoir !), que les parisiens devront bien payer un jour !
En reconnaissance des services rendus au pays, elle était parvenue - à force de contorsions politiques - à obtenir la désignation de candidate officielle du Parti Socialiste aux élections présidentielles 2022 ; le résultat obtenu, le plus bas de toute l'histoire de ce parti avec 1,7% des voix, démontrait l'énorme popularité dont elle bénéficiait puisque, si les "gays" parisiens lui étaient restés fidèles, toute la communauté LGBTQIA++ hors périphérique l'avait ignorée.
Alors qu'elle vient d'annoncer qu'elle ne postulerait pas à un nouveau mandat lors des élections municipales 2026, elle continue à manifester sa sollicitude et son affection pour la communauté "gay", à laquelle elle a déjà tant offert : le 17 mai 2025, à l'occasion de la "Journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie", elle inaugurait un mémorial en hommage aux victimes homosexuelles de la déportation et aux victimes LGBT+ "à travers l'Histoire". Conçu par l'artiste Jean-Luc Verna, le mémorial – une immense étoile noire en acier de plus de trois tonnes – a été installé dans les jardins du port de l'Arsenal, près de la place de la Bastille.
L'artiste explique ainsi son oeuvre : "La face noire de l'étoile ce sont les corps qui ont été calcinés, c'est le deuil, c'est aussi une ombre qui nous dit que les choses peuvent arriver de nouveau ; et l'autre face, le miroir, c'est le présent, avec les couleurs du temps qui passe et le ciel de Paris qui change aussi vite que l'opinion publique peut se retourner".
Contrairement à Sydney, Barcelone ou Amsterdam, qui avaient fait le choix d'un monument en forme de triangle rose - symbole cousu par les nazis sur les uniformes des détenus homosexuels dans les camps - ce symbôle n'a pas été retenu, car la ville de Paris se doit d'être originale et unique, et justifie son choix par le souci d'inclure les victimes actuelles, qui constitueront ses forces vives lors des prochaines élections.
Les paroles fortes d'Anne Hidalgo, qui présidait la cérémonie, revêtent - dans leur banalité - une exceptionnelle portée :
« Reconnaître, c'est dire 'cela s'est produit' et dire 'nous ne voulons pas que cela se reproduise'. Il y a l'obligation de lutter contre la négation ou l'atténuation. Ce travail est d'autant plus 'fort qu'il y a aujourd'hui des vents contraires, puissants, extrêmement dangereux qui voudraient nier cette diversité-là' ».
Même si Jeanne d'Arc ou Marie Curie n'ont pas été jugées dignes par Boucheron de figurer au nombre des statues des femmes retenues pour célébrer la grandeur féministe dans l'histoire de France, un discours aussi prophétique et puissant que celui de la Maire de Paris justifierait, sans nul doute, l'érection de sa statue en or haute de quatre mètres sur le parvis de la Mairie de Paris ! Et que soit soutenue l'initiative de ses partisans LGBTQIA++ de poser sa candidature pour l'obtention du Prix Nobel de la Paix : pour l'inauguration de ce mémorial, la Mairie n'a-t-elle pas eu la délicatesse de demander à l'association, qu'elle subventionne : "Sœurs de la perpétuelle indulgence" de bien vouloir animer la cérémonie, avec toute la finesse et la discrétion habituelles à cette troupe de "drag queens" déchaînées, avec juste le degré de christianophobie blasphématoire pour rappeler les créations de Thomas Jolly.
Mémorial aux homosexuels victimes déportation

Discours de la Maire de Paris, Anne Hidalgo

Couvent "drag queen" de Paris des Soeurs de la perpétuelle indulgence
