Cécile DUFLOT

duflotIssue d'une famille de syndicalistes de gauche, elle connaît à Montereau-fault-Yonne où elle grandit le parcours classique d'une fille de bonne famille, pétrie d'angélisme, de bien pensance et de bons sentiments ; adolescente, parallèlement à ses études, elle milite à la JEUNESSE OUVRIERE CHRETIENNE, à la LIGUE DE PROTECTION DES OISEAUX et Ecrivain public à la PRISON DE LA SANTE.

Urbaniste de profession, elle rejoint LES VERTS en 2001 ; son parcours est météorique puisqu'elle accède au bureau national en 2003 après avoir été chargée de l'acquisition di siège du parti, en devient le SECRETAIRE GENERAL en 2006 et le restera jusqu'à sa démission en Juin 2012 après avoir intégré le gouvernement AYRAULT. Elle est mère de quatre enfants, trois issus d'un premier mariage et la dernière de son concubinage avec Xavier CANTAT, frère du chanteur de NOIR DESIR, célèbre pour le meurtre de sa compagne Marie TRINTIGNANT puis le "suicide" de son ex-femme Krisztina Rády, qui craignait de périr sous ses coups. Xavier  CANTAT était le photographe du groupe NOIR DESIR ; il est maintenant celui des écologistes et a réalisé les clichés officiels de campagne d'Eva JOLY. Il milite également en écologie, et a eu ces paroles immortelles qui ont bâti sa réputation lors de l'émission LES GRANDES GUEULES sur TMC : « Moi je me fiche pas mal de la France effectivement. Et qu’elle soit forte, pour moi, c’est pas mon sujet ; mais c’est un hasard historique l’état des frontières à l’heure actuelle,  le fait que moi je sois né en France. Je me sens pas plus fier d’être Français que d’être grec ou sénégalais. Enfin franchement, c’est quoi cette histoire d’avoir les deux pieds dans la bouse et de bander ses muscles pour faire croire qu’on est des costauds. On est un petit pays. ».

Quant à Cécile, son parcours remarquable au sein des "Verts" lui a valu le surnom d' INTRIGANTE INCOMPETENTE ; à voir la manière dont elle s'est abaissée et humiliée pour mendier un poste ministériel, au même titre que Jean-Vincent PLACE ou Eva JOLY mais avec plus de succès, est évocateur de la longueur de ses canines ; tout comme d'ailleurs les couleuvres qu'elle avale au gouvernement, qui n'a rien à faire de l'écologie, pour renier toutes ses convictions afin de conserver une place qui lui est si chère. Le seul principe sur lequel elle demeure inflexible est celui de la légalisation de l'usage du cannabis, mais le Premier Ministre ne veut pas !!!

Pendant la campagne présidentielle, un journaliste rémois qui avait été convié comme d'autres, à la rencontrer pour diffuser le prophétique message de "sa" candidate norvégienne (puisque Eva Joly avait présenté le modèle norvégien comme l'idéal d'une organisation sociale harmonieuse - quelques jours avant qu'Anders Breivick ne passe à l'action -, a dit sans détour ce qu'il pensait de la dame. Comment mieux la présenter qu'en reprenant ces articles de Bruno TESTA, publiés dans L'UNION L'ARDENNAIS les 1 et 2 février 2012 :

Cécile Duflot à côté de la plaque dans la Marne

Il faut se méfier de la télévision. Elle a tendance à déformer les choses.
Telle personne que l'on pensait arrogante peut très bien se révéler humble, et vice versa.
Dans le cas de Cécile Duflot, pas de surprise. Elle ressemble exactement à ce qu'elle paraît: une tête à claques. On aurait bien sûr aimé dire l'inverse. Ne pas rester sur une impression. Trouver que tout le monde il est bio, tout le monde il est Joly. Car on était venu un peu pour ça, au restaurant bio de la rue des Moulins de Reims.
Ce n'est pas parce que je suis parti après l'entrée (une salade de carottes râpées et de betterave rouge) que je ne vais pas faire de la pub. La patronne n'y est pour rien qui nous promettait au choix un délicieux veau Marengo au riz basmati ou une lasagne végétarienne.
Mais que voulez-vous. A voir en face de soi la maman de la petite Térébentine ne pas lever le nez de ses deux téléphones, pire que Nicolas Sarkozy durant sa grande période, ignorer les journalistes qu'elle avait pourtant invités, ça couperait l'appétit même du journaliste le plus alimentaire.
C'est comme ça que doucettement j'ai senti comme une irritation monter, alors que la carotte est censée rendre aimable et la betterave rouge prévenir la démence.
Pour dire les choses autrement, et employer une métaphore champêtre, Cécile Duflot commençait à me les brouter menu. On avait beau faire remarquer à la fille de cheminot que ses deux téléphones même ornés d'un porte-clef avec trois petits moutons, ce n'était pas très écolo et même pour tout dire pas très poli, rien à faire.
Nos remarques tombaient dans le puits sans fond de son regard bovin qui a vu passer plus d'un train.
Les jouets de Cécile
Peut-être que Cécile habituée des télés, des grands journaux, des vedettes journalistes, s'ennuyait-elle à l'idée de commenter la campagne présidentielle d'Eva Joly tellement subtile que des esprits arriérés de la Marne ne pourront jamais comprendre.
Car il faudrait au moins être le grand stratège Sun Tzu pour deviner ce que l'équipe de campagne de Joly prépare à grands coups de vélo-bélier dans le mur !
Peut-être que Cécile la Crécelle en avait-elle tout simplement marre d'entendre sa voix au timbre si particulier qu'elle ferait passer le bruit éreintant du grillon pour un chant de rossignol!
Je ne le saurai jamais. Car malgré l'attrait du veau Marengo (et du riz basmati !), j'ai préféré fuir et laisser notre autiste verte jouer avec ses téléphones comme d'autres jouent avec leur sex toy dans leur bain.


Publié le jeudi 02 février 2012

Plus à l'aise pour twitter que pour parler aux journalistes locaux, la petite Cécile fait sa crécelle sur les ondes et répand ses infamies. Petit rectificatif, histoire de replacer les choses dans leur contexte et d'éclairer nos lecteurs comme nos amis écolos.
IL paraît que cette tête à claques de Cécile Duflot se répand sur Twitter pour dire qu'un journaliste rémois (moi) l'aurait insultée. Ma première réaction, c'est que la patronne des Verts est plus douée pour bavasser sur Twitter (il ne faut pas penser) que pour répondre à un journaliste. Normal. Une grenouille décervelée ne peut répondre qu'à des stimuli. La deuxième chose, c'est que notre péronnelle est une fieffée menteuse. Lorsque je me suis permis de quitter la table, mardi midi à Reims, constatant que Cécile Duflot ne levait pas son œil de ses téléphones, ou alors pipelettait à droite à gauche sans se préoccuper des journalistes qui lui faisaient face (je n'étais pas le seul), je lui ai simplement fait remarquer, en partant, qu'elle avait encore des choses à apprendre dont la politesse. Réponse de Torquemada Duflot : « Je n'ai rien à apprendre d'un journaliste d'extrême droite ».
Comment une fille que je n'ai jamais vue de ma vie, qui n'a jamais lu un seul de mes articles, et avec qui je le jure je n'ai jamais gardé les oies, peut-elle se permettre de porter un tel jugement ?
« Extrême droite »
Serait-ce des membres d'Europe Ecologie-les Verts de la Marne qui lui auraient soufflé, juste avant sa venue : « attention, tout journaliste qui viendra de l'union sera forcément d'extrême droite ».
Depuis que j'écris dans l'union, il m'arrive d'avoir toutes sortes de réactions. Beaucoup me reprochent d'être « gauchiste », « anti-sarkozyste primaire ». Peu m'accusent d'être « d'extrême droite ». Mais peu importe. Quand bien même le journaliste en question (moi) serait d'extrême droite, nous sommes en République, il me semble ! Et non pas au temps de l'Inquisition !
Le hasard faisant bien les choses sur le quai de la gare de Reims où j'attendais un train pour Paris hier matin, je suis tombé sur une représentante des élus écologistes de la ville de Reims, Elodie Bessé. Comme je lui expliquais succinctement qu'il devait certainement manquer quelques cases à sa patronne pour me taxer sans me connaître « de journaliste d'extrême droite », j'ai eu le droit à cette réponse prodigieuse : « Oui, mais vous avez quand même posé une question provocante en demandant pourquoi un ouvrier voterait pour la liste Ecologie ».
Amis écolos, révoltez-vous !
Je ne vois pas en quoi se préoccuper du sort des ouvriers (j'en viens…) est une marque d'extrême droite. Je voulais simplement dire par là que la campagne écologique manquait d'incarnation, qu'elle semblait plus s'adresser aux générations futures (qui sont encore, à l'heure où je parle, dans les appareils génitaux de leurs parents) qu'à ceux qui vivent en France, présentement, en 2012. Je voulais dire que se préoccuper des smicards, de ceux qui perdent leurs emplois ou en cherchent, me semblait aussi important que la fonte d'un glacier, que le devenir des bébés requins ou la préservation des morpions, sachant que de toute façon la fin de notre univers est programmée, écologie ou pas. Argument qui est passé tout à côté de sa cible. Pas étonnant. Comme disait mon père, qui n'avait que son certificat d'études il est vrai : « parle à mon cul, ma tête est malade ! ».
Ma conclusion, provisoire comme notre vie, c'est que la déesse Ecologie n'a pas de chance dans notre pays, mère-maquereautée par des harpies style Duflot ou Joly !
Comment voulez-vous faire confiance en une fille (Duflot) qui a appelé sa fille Térébentine parce que son mari est des Landes et qu'il adore l'essence des pins ? Et s'il adorait la vaseline, elle l'aurait appelée comment ?
Alors pendant qu'il en est encore temps, je demande aux écologistes de notre pays : réveillez-vous ! Envoyez par dessus bord ces péronnelles qui font tant de mal à votre cause ! Prenez le pouvoir ! Rendez l'écologie attractive plutôt que punitive ! Soyez beaux, soyez festifs ! Soyez aimables, nous vous aimerons !

 Xavier CANTAT et le syndrome de l'insignifiance !

xavier cantat

Vraiment, bien triste idiot et fieffé imbécile que ce Xavier CANTAT ; coïncé entre la gloire médiatique de sa compagne qui pour se maintenir au Gouvernement avale toutes les couleuvres et essuie les pires humiliations politiques, et celle de son frère cadet célébré pour l'assassinat de sa compagne, actrice célèbre, à coups de poing, puis le suicide provoqué de son ex-épouse, mère de ses enfants, ne voila-t-il pas que le simplet de la famille veut maintenant faire parler de lui ? Bon à rien, insigne chiure de mouche sur une vitre crasseuse, il refuse d'assister le 14 juillet au traditionnel défilé militaire qui célèbre la Fête Nationale et la Nation auquel il été invité au titre de compagnon de la Ministre. C'est son droit absolu, et tout le monde s'en moque éperdument, puisque cela fait une tache de moins dans la Tribune "Invités".

Mais comme nul ne remarque cette absence ou ne s'en inquiète, ne voila-t-il pas que ce pauvre hère se sent obligé de célébrer son courage exemplaire et d'en faire lui-même l'apologie en diffusant la nouvelle par tweet. A part quelques décadents parasiano-socialos-bobos-gays qui ne peuvent que s'enthousiasmer d'une telle insignifiance, il reçoit en retour la volée de bois-vert à laquelle sa conduite de raclure décervelée lui donne droit.
La pauvre DUFLOT fait pitié !