Dans le cadre de sa campagne de reconquête de l'opinion contre ses adversaires politiques, le Gouvernement a lancé une "blitzkrieg" avec pour "fer de lance" ses légions médiatiques, propriétés de ses financiers, la "presse de gauche" (donc, ses serviteurs et affidés) pour monter en épingle et exploiter à son avantage la publication sur une page "Facebook" privée d'une image caricaturale de Christiane TAUBIRA ;
mais comme la liberté d'expression n'est plus une valeur républicaine et que l'expression satirique doit se limiter aux médias de gauche, soutiens unilatéraux du gouvernement, la curée habituelle des biens-pensants peut se déchaîner, avec l'habituelle participation des quotidiens et hebdomataires nationaux (LE MONDE, LIBERATION, LE NOUVEL OBSERVATEUR, MARIANNE, MEDIAPART, etc ..., les radios et les chaînes TV du SERVICE PUBLIC épaulées par CANAL PLUS pour l'audiovisuel), mais aussi de quotidiens locaux comme LA DEPECHE DU MIDI, en position monopolistique dans son aire de diffusion, propriété de Jean-Michel Baylet, "héritier" comblé de Papa et Maman, - par ailleurs Président du Parti des Radicaux de Gauche et candidat à la dernière primaire socialiste -, qui a mis fin à toute discussion politique en muselant et censurant dans son quotidien l'expression d'opinions non conformes à sa ligne officielle !
Au grand bal des gribouilles, venez donc danser le tango des tartuffes, la valse des jocrisses, la salsa des faux-culs ; l'instrumentalisation abjecte de la couleur de peau de Mme TAUBIRA, bien orchestrée médiatiquement par le Gouvernement et relayée par la masse des élus locaux de gauche, en transe à l'approche des élections locales, rend bien compte de l'état de déliquescence morale de notre pays ! Les responsables de cette campagne, qui dégradent et dénaturent à seule fin partisane de basse politique intérieure, une valeur aussi noble et respectable que l'antiracisme, devraient méditer cette phrase d'Alain Finkielkraut : "L'antiracisme est le communisme du XXIe siècle" et se rappeler que "c’est à force d’accuser à tort les braves gens d’être racistes qu’on finit par les rendre racistes."
Désormais donc, tout opposant à la politique pénale de Mme TAUBIRA pourra être taxé de "raciste" (puisque par ce subterfuge la couleur de peau de la Ministre devient consubstantielle à sa politique) et poursuivi devant le "Syndicat de la Magistrature", au risque d'être inscrit sur l'infamant "mur des cons" !.
Allons enfants, tous unis contre le fascisme, le racisme, l'antisémitisme et l'homophobie ! En avant les moutons de Panurge, avancez ! C'est avec cet antienne usé jusqu'à la corde mais toujours efficace que nos élus règlent nos problèmes ! "LE CHANGEMENT, C'EST MAINTENANT !".