L'offense au roi criminalisé !

goebelsLa cour européenne des droits de l'homme a condamné la France pour l'existence dans son attirail répressif d'un délit d'offense au chef de l'état (articles 23, 26, 36 et 37 de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 puni d'une amende de 45.000 €), au motif qu'il violait la liberté d'expression, les magistrats européens jugeant «disproportionné» le recours à une sanction pénale, au risque d'avoir «un effet dissuasif sur des interventions satiriques qui peuvent contribuer au débat sur des questions d'intérêt général».


Le 25/07/2013, conformément aux directives reçues des Juges européens, le Parlement abrogeait donc ces dispositions.

la farineGrande manipulation et mise en scène pendant la campagne électorale : sous l'objectif de caméras, FLANBY démontre à quel point il reste calme dans l'adversitéMais les interpellations survenues le 11.XI.2013 au motif que des manifestants pacifiques sifflaient le cortège de sa Majesté républicaine lors du passage de son carrosse sur les Champs-Elysées démontre bien que dans une démocratie totalitaire où le "Monarque" détient  "pouvoir exécutif" et "pouvoir légalislatif", "justice administrative" par l'intermédiaire des fonctionnaires qu'il nomme, "pouvoir judiciaire" par l'entremise d'un syndicat de magistrats de gauche dirigeant l'institution et "presse d'opinion" et "médias" au moyen des financiers du parti au pouvoir qui l'ont acquise et mise au service du pouvoir en échange de réformes sociétales voulue par une minorité, telles le "mariage pour tous", la loi républicaine ne s'exerce que pour les opposants politiques du régime, la "nomenklatura" de ses dévôts échappant à la règle commune.


Ainsi que le relève Serge Federbush dans ATLANTICO sous le titre de "L'offensé offensif" :


"Juillet 2013 : le Parlement, à l’instigation de l’Enfumeur, abroge le délit d’offense au chef de l’Etat. Novembre 2013 : 70 personnes sont interpellées sur les Champs-Elysées pour avoir hué le chef de l’Etat. La cohérence, il n’y a que cela de vrai".

Le constat : en préambule de la constitution, la déclaration des droits de l'homme stipule : " la garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique instituée pour l'avantage de tous et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée".
Les socialistes, dans la grande tradition mitterrandienne qui pendant des années détourna 125 gendarmes pour la protection personnelle de sa maîtresse et de leur fille illégitime, disposent de cette force au bénéfice exclusif du communautarisme "socialo-bobo-gay", l'abaissant au rôle de milice partisane armée, lui ordonnant d'interpeller hors tout cadre légal des opposants qui osent manifester pacifiquement leur opinion en sifflant lors du passage du chef de l'état.
Les services de sécurité républicains sont en outre déployés de façon grotesque non seulement autour d'un ministre de la République, comme Christiane  TAUBIRA, qui provoque et insulte en permanence ses opposants mais se fait dessus tellement elle a peur, mais aussi au service de particuliers milliardaires sans fonction définie dans la République, sinon d'être instigateur, leader et financier du mouvement LGBT, propriétaire de journaux oeuvrant pour la propagande et la défense du chef de l'état, le financier du PS et des mouvements "agit-prop" manipulés par ce parti (LGBT - ACT'UP - FEMENS - SOS RACISME), et surtout le mentor et le pygmalion du Chef de l'état qu'il dirige à sa guise !

Comment dans ces conditions s'étonner de l'explosion de la délinquance ? Entre Police Politique au service d'une caste et Police Républicaine au service de tous, le PARTI SOCIALISTE a choisi de privilégier ses propres intérêts !