Jour de gloire pour les Fenechs algériens ; le centre des villes françaises va brûler ! La qualification de l'équipe de football d'Algérie pour les 1/8emes de finale de la Coupe du Monde, avec seize joueurs bi-nationaux nés et formés en France sur les 23 sélectionnés, fut un moment de liesse intense dans toutes les villes françaises qui à l'issue du match furent envahies par des hordes déchaînées de jeunes maghrébins, insultant et crachant amicalement comme à leur habitude sur tous les symbôles de la République française haïe.
A titre d'exemple parmi tant d'autres, nous pouvons lire dans l'INDEPENDANT, journal de la petite Préfecture viticole audoise de Carcassonne, le récit en date du 28 juin 2014 par le journaliste Yannick Bonnefoy de cette soirée mémorable,
" Vendredi, à 1 h 15, une grosse bagarre a éclaté place Davilla entre soixante-dix supporters et des paras du 3e RPIMa... Sitôt la qualification de l'Algérie acquise pour les 8es de finale de la Coupe du monde de football au Brésil, après son match nul (1-1) face à la Russie, jeudi soir, les supporters des 'Fennecs' ont manifesté bruyamment leur joie en défilant dans les rues de Carcassonne, klaxons tonitruants et drapeaux déployés dans des cortèges de voitures. Il était alors minuit passé... Place Carnot, pas moins de 130 véhicules auraient été comptabilisés par les forces de l'ordre. Plus de 150 voitures au plus fort de la soirée... Une joie légitime, qui a pourtant viré au pugilat à hauteur de la place Davilla, entre une douzaine de jeunes parachutistes du '3' qui passaient, selon nos informations, une soirée avec leurs compagnes au restaurant de L'art de Vivre, et près d'une centaine de supporters de l'Algérie. D'après nos renseignements, c'est vers 1 h 15 que ce déchaînement de violences a débuté. Les 'paras' étaient alors devant le restaurant, lorsqu'un échange de menaces et d'insultes a fusé de part et d'autre. Un premier épisode verbal, très rapidement suivi par des échanges de coups. "Tout s'est passé très vite lorsqu'un militaire a été fauché par un véhicule. Là, plusieurs voitures du cortège se sont arrêtées et leurs occupants (une soixantaine, Ndlr) ont commencé à encercler les 'paras'. Avant de s'en prendre au mobilier de la terrasse extérieure du restaurant pour le jeter contre les vitrines et l'éclairage de la façade, ainsi que sur les militaires", témoigne un des responsables de L'art de Vivre. Des barres de fer et des battes de base-ball auraient même été utilisées lors de la correction infligée aux 'paras'. "J'ai appelé la police et ils sont rapidement intervenus. Mais ils n'étaient pas assez nombreux (ils n'étaient que quatorze fonctionnaires pour gérer la situation, Ndlr)". Sept plaintes déposées par les victimes... Au final, six soldats ont été plus ou moins légèrement blessés (arcade, nez, pommette, etc...) et transportés aux urgences, d'où ils ont pu sortir depuis. En parallèle, les fonctionnaires de police sont parvenus à identifier le véhicule qui avait fauché l'un des 'paras' avant que la bagarre n'éclate. Interpellé, ce Carcassonnais de 19 ans, résidant à Ozanam, a été interpellé à 1 h 45, et placé en garde à vue. Remis en liberté, il sera jugé devant le tribunal correctionnel le 3 octobre. Hier après-midi, les responsables du restaurant de la place Davilla et les six militaires blessés ont déposé plainte au poste de police. Une enquête est actuellement en cours. "
Et comment ne pas se réjouir d'un tel succès ? Renverser puis rouler en voiture sur un parachutiste, agresser douze militaires français à un contre dix, c'est un geste de liesse populaire bien pardonnable un soir de victoire de l'Algérie, au même titre que brûler les drapeaux français ou siffler la Marseillaise ! Et puis, le Syndicat de la Magistrature ne peut tout faire, et le rôle dévolu à la Justice par sa Ministre est d'éliminer politiquement SARKOZY pour le rendre inéligible par n'importe quel moyen en 2017 ! Alors les paras, qu'ils aillent périr au MALI ou en CENTRAFRIQUE pour la grandeur de FLANBY, des tarlouzes pédophiles, des tafioles sodomites, des bobos dégénérés qui à l'instar de la gagneuse de Pierre Bergé, le défunt YSL, sont des adeptes enragés de la fellation stakhanoviste en série sous les ponts de Paris aux maghrébins, bi-nationaux ou non ! " (sources : "Yves Saint-Laurent, mauvais garçon" de Marie-Dominique Lelièvre, Editions Flammarion)
p / Christine T..., créatrice et présidente d'honneur à vie du Parti indépendantiste Walvari pour une Guyane libre, lord-protectrice de la Justice servile et indépendante, Promotrice du Syndicat de la Magistrature et du "Mur des Cons", "addict" aux bracelet électroniques et toute peine de substitution à la Prison. Blague de potache, bien entendu !