Je relève ici pour information un court article de la LETTRE d'INFORMATION quotidienne de VALEURS ACTUELLES, sur le débat de l'Assemblée Nationale au-cours de laquelle le Premier Ministre a fait souffler un vent d’hystérie et de violence gratuite
et déplacée, prenant à partie personnellement des élus qui osaient mettre en cause sa gestion de la crise, perdant ses nerfs pour adopter le seul visage qui lui sied, celui de l'indignité, du mépris et de la haine d'autrui :
ndlr : Je rappelle que Laurent Wauquiez, que Manuel Valls va prendre à partie personnellement avec un rictus de haine dans une de ses crises de rage incontrôlables, mains tremblantes (tellement inquiétante pour un partisan franquiste de la méthode forte et autoritaire), est certainement le plus brillant intellectuellement au sein de la jeune génération politique française. Agé de 41 ans, il fut Maire et Député du Puy-en-Velay, avant d'être élu Président de la Région Rhônes-Alpes reprise aux socialistes.
Sur un plan personnel, et bien qu'il se défende d'en faire jamais état, son parcours intellectuel est plus brillant que celui de VGE et Alain JUPPE réunis : agrégé d'histoire, il est Major de sa promotion de l'Ecole Normale Superieure de St Cloud (comme Bergson et devant Jaurès !), puis major de la Promotion Nelson Mandela de l'ENA.
Manuel Valls quant à lui, que ses parents avaient voulu de nationalité espagnole, n'a choisi la nationalité française qu'en 1982 pour raisons de carriérisme politique ; en 1984, il a péniblement obtenu une licence d'histoire ! Malgré la médiocrité de son cursus il reste à votre disposition pour vous donner des leçons de morale et de dignité dans tous les domaines qui pourraient vous intéresser, et notamment le patriotisme et le respect des valeurs de notre pays dont il est l'unique dépositaire !
Dans son discours prononcé hier soir à l’Assemblée nationale pour la prolongation de l’état d’urgence, Manuel Valls a dû faire face à la colère de nombreux députés. Après avoir été longuement hué à Nice après la minute de silence, le premier ministre a été vivement critiqué par certains élus.
« Vous n’avez toujours pas compris […] Nous ne sommes pas là pour vous dire de raisonner à droit constant mais pour vous dire de prendre les mesures qui permettent de s’adapter. La vraie différence entre vous et nous c’est que vous, vous invoquez les libertés personnelles des terroristes et nous, nous disons qu’il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la République », a ainsi dénoncé Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
« Qu’avez-vous fait de l’état d’urgence ? Rien. Vous en avez fait, comme toujours, des confettis de paroles, du parfum de bonne conscience. Vous n’en avez rien fait parce que vous êtes des incapables d’État, s’est également emporté Gilbert Collard, député FN. Et aujourd’hui vous demandez qu’on vous confie de nouveau un état d’urgence. Mais qu’allez-vous en faire ? Vous avez peur de tout, vous avez peur des mots. Si l’état d’urgence avait été appliqué, l’assassin de Nice n’aurait pas été là. Et je vous le dis, que ça vous plaise ou non : ces morts vous regardent et vous aurez des comptes à leur rendre ! Bande d’incapables ! »
Et maintenant, quoi d'autre ? peut-être un Colonel Antonio TEJERO pour mater l'Assemblée, comme il l'avait fait pour les CORTES en 1981 ; en tout cas, l'intervention de Gilbert COLLARD, résume parfaitement l'opinion d'une grande partie de l'opinion publique sur les mensonges du gouvernement dans cette épouvantable affaire.