Après son incontestable triomphe personnel à l'Assemblée Nationale pour imposer au pays rebelle LE MARIAGE POUR TOUS, dans un "show" éblouissant oscillant entre "succulent petit bout" et "poème de Léon Gontran Damas", victoire contre la vieille France conservatrice et traditionnaliste de morale chrétienne, celle des braves gens honnêtes qui ne se plaignent jamais, rien ne peut stopper l'envol majestueux du faucon guyanais vers les cieux éthérés où planent les grands rapaces de la politique.
Jusqu'à présent elle n'a apporté aucun concept original ni pratique nouvelle dans la politique pénale, sinon rabâcher la vieille antienne idéologique convenue postulant que la délinquance est la résultante de problèmes sociaux causés par la politique libérale (chômage, pauvreté, échec scolaire) et ne peut donc être traitée que par une politique progressiste de prévention et réinsertion systématiques, dont l'état n'a ni la volonté ni les moyens budgétaires pour la mettre en oeuvre tant le coût en serait prohibitif pour une nation en faillite ; en conséquence, puisque la notion même de droit des victimes lui est étrangère, son oeuvre se réduit en la destruction systématique du travail de ses prédécesseurs, édifié pour renforcer la défense des citoyens face au crime et à la délinquance.
- Suppression de la peine de sûreté instituée par le gouvernement précédent au motif que la société a pour devoir premier de protéger tous les citoyens - en particulier les plus faibles -, en neutralisant les criminels dangereux, notamment en matière de crime avec barbarie, de pédophilie, d'assassinats d'enfants ou de personnes âgées, tous ces prédateurs psychopathes dont les experts-psychiatres constatent la dangerosité intacte et la récidive inévitable à l'issue de la purge de leur peine criminelle. Peine de sûreté, car elle prévoyait le maintien en établissement de soin non carcéral de ces monstres, jusqu'à ce que les experts psychiatres puissent garantir leur inocuité sociale. Cette mesure n'a jamais reçu l'aval des Magistrats si jaloux de leurs prérogatives de gardiens autoproclamés de nos "Libertés". Ils ne l'ont donc jamais appliquée ; reste à savoir combien d'assassinats, de viols et de meurtres d'enfants auraient pu être évités s'ils l'avaient fait. Mais ce constat macabre ne saurait être l'affaire de Mme TAUBIRA !
- Suppression des Jurés Populaires dans les Tribunaux Correctionnels : cette mesure démocratique avait pour but de rapprocher le peuple de la justice, en reprenant les principes héritées de la Révolution Française : la Justice est rendue au nom du peuple souverain ; mais le peuple est bien trop sot pour exercer directement cette tâche, déléguée à quelques fonctionnaires socialo-bien pensants, qui peuvent, du fait des circonstances atténuantes, juger en fonction de leurs convictions idéologiques personnelles, acquises via l'enseignement de Professeurs gauchisants de l'ENM de Bordeaux, au mépris de l'intérêt général et dans l'impunité absolue puisqu'ils bénéficient d'une irresponsabilité totale dans l'excercice de leurs fonctions ! Ainsi chemine la démocratie socialo-taubirienne, bafouant jusqu'aux principes démocratiques les plus élémentaires de la République, pourtant réaffirmés par l'article 2 de la Constitution : "gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple" et solde l'héritage du droit révolutionnaire qui reposait sur la primauté démocratique rendue aux citoyens, par le biais de "jurés" tirés au sort et réunis en Cours de Justice, infligeant, en cas de culpabilité avérée, des peines fixes non amendables ni compressibles qui en garantissaient l'équité et l'égalité pour tous. Mais c'est vrai aussi que le populace peut se tromper (le 06-05-2012 par exemple), alors que Christiane TAUBIRA et ses séïdes, eux, jamais ! Notons qu'elle est soutenue dans son oeuvre de destruction par la SYNDICAT de la MAGISTRATURE ("les Juges rouge"), terribles ayatollahs de la pensée unique.
- Suppression des peines planchers pour les délinquants récidivistes : parce que les peines prononcées par certains Magistrats, bénéficiant de règles d'impunité et d'irresponsabilité dans l'exercice de leurs fonctions, constituaient une fronde permanente contre la politique pénale suivie par le gouvernement et par là un déni de la volonté majoritaire du peuple français par l'utilisation outrancière et caricaturale des circonstances atténuantes, vidant le Code Pénal de tout contenu, le Gouvernement avait fait voter une loi prévoyant une peine plancher sous laquelle le Juge ne pouvait descendre face à un délinquant récidiviste. Loi terriblement infamante pour les Magistrats, dont la souveraine et totale Liberté d'appréciation était ainsi remise en cause ! Heureusement, Christiane est arrivée et a mis bon ordre à cette hérésie, puisque l'oeuvre de Justice ne saurait procéder d'une délégation du peuple souverain mais est propriété personnelle et prérogative d'une caste, dont la noblesse réside en sa bien-pensance !.
- Récépissés policiers délivrés lors des contrôles d'identité : au pays des Bisounours, en Socialie, tous les hommes sont naturellement bons et s'ils versent du côté obscur de la morale laïque, la faute en incombe à la société corruptrice qui n'a su les comprendre ou leur donner une chance ! Plutôt que de les punir, la seule sanction recevable est de mettre à leur disposition tous les moyens de réinsertion possible ou bien d'ignorer et passer sous silence leurs faux pas (ce qui est plus économique !). Puisque les seules forces perturbatrices de ce bel équilibre social sont justement celles qui ont reçu mission de le défendre, il est nécessaire de limiter leur zèle qui s'exerce inégalitairement sur une partie ciblée de la population, en fonction de sa couleur de peau, des quartiers où ils demeurent, sur des critères d'âge, voire de la manière univoque dont se vêtir pour signifier une appartenance tribale ! Pour parvenir à libérer ces populations persécutées et leur permettre d'effectuer en toute impunité les petits trafics dont ils vivent, quoi de mieux que d'humilier les forces de l'ordre en leur imposant la délivrance d'un récépissé à ces individus lors de tout contrôle.
Cette question a été débattue à l'échelon ministériel, fait l'objet d'un véto du Ministre de l'Intérieur et d'un rejet du Premier Ministre qui l'a donc écartée. Nonobstant cette décision, et malgré la règle de discipline gouvernementale, au mépris de la jurisprudence Chevènement : « Un ministre, ça ferme sa gueule. Si ça veut l'ouvrir, ça démissionne. », Christiane persiste à contester publiquement les décisions collégiales gouvernementales et veut imposer ses vues, pour complaire à l'idéologie défendue par le SYNDICAT de la MAGISTRATURE.
Le message transmis aux délinquants est très clair ! ; il est parfaitement reçu sur l'ensemble du territoire, en Corse, à Marseille, à Albertville, en Gare RER de Grigny, comme partout ailleurs ! Quand donc cette parfaite représentante de l'incohérence gouvernementale et d'une politique pénale entièrement et exclusivement centrée sur l'intérêt des criminels et délinquants, montrera-t-elle enfin autant d'égard et de sollicitude pour leurs victimes ?
Pas dans l'immédiat vraisemblablement, car tout semble indiquer que les pouvoirs destructeurs de la Dame ne se limitent pas aux seules institutions du pays colonialiste et négrier qu'elle excècre, mais font également imploser le Ministère qu'elle dirige : le pourtant très socialisant et servile quotidien LE MONDE (Propriété de l'icône gay, le délirant Pierre BERGE), nous indique en ce premier jour du Printemps 2013 que, comme du temps de Rachida, les proches collaborateurs de la Ministre, découragés par son autoritarisme aveugle, son comportement psychorigide et caractériel, sa prétention à tout décider alors qu'elle n'est jamais présente en son Ministère (il faut bien travailler à son radieux avenir politique, débuté sous la bannière de l'indépendantisme guyanais pur et dur, pour obliquer ensuite vers Bernard TAPIE, puis le radicalisme cassoulet, et finalement se perdre dans la "socialo-gay-boboffitude", qui paralysent une institution "affaiblie" et stérilisée, avec pour seul projet la dévotion au culte ministériel, quittent le bateau pendant qu'il est encore temps ! ...
- Lire l'article du MONDE
- celui de L'EXPRESS, où nous apprenons que son compagnon, Jean-François BOUTET, l'homme avec lequel elle vit maritalement, a été nommé "conseiller spécial" de la Ministre, tout en continuant d'exercer sa "charge" d'Avocat près le Conseil d'Etat et la Cour de Cassation, ce qui lui permet d'être à la fois juge et partie,
- celui de MATCH qui dénonce cette situation équivoque unique dans l'histoire de la République, démontrant que bien que membre d'un cabinet ministériel, JF.BOUTET a plaidé contre l'Etat pour le compte de ses clients privés !
Incroyable Christiane TAUBIRA : commettre le péché mortel d'écrire dans un hebdomadaire qu'elle s'est entourée d'une garde prétorienne guyannaise et que son conseiller principal est aussi son compagnon, qui exerce parallèlement la charge privilégiée d'Avocat près les cours de cassation et du conseil d'Etat, alors que le journaliste n'évoque même pas le terme de "conflit d'intérêt" pourtant patent, la dame se déchaîne et pique une violente colère au-travers un "tweet" adressé au Rédacteur en chef de l'EXPRESS, tellement incompréhensible et mal rédigé que l'on est amené à se poser la question de l'état dans lequel elle se trouvait lorsqu'elle l'a écrit
Par contre, cette démocrate "indépendantiste", décrite comme un "bulldozer" autiste, ne s'embarrasse nullement dans la pratique des grands principes qu'elle déclame avec emphase à la Tribune de l'Assemblée Nationale ; dans la grande tradition de ses modèles socialistes caribéens ou d'amérique du sud, (Fidel Castro, Che Guevara ou Hugo Chavez -dont elle a glorifié l'action lors de l'hommage rendu à l'occasion de sa disparition-, tous illustres par leurs "pronunciamentos" militaires qu'ils ont élevé au rang d'élections démocratiques, applique les mêmes méthodes au sein de son administration), elle dispose avec brutalité des personnels de son Ministère, distribuant "carottes" aux dociles à l'échine souple, et coups de bâton aux "indépendants" qui croient encore en certaines valeurs : la Juge d'Instruction travaillant depuis plusieurs années sur l'affaire de l'amiante au pôle santé du Tribunal de Grande Instance de Paris, a été démise et déchargée du dossier pour avoir osé mettre en examen l'ancienne Première Secrétaire du Parti Socialiste ; sanction ministérielle dont le juge d'instruction bordelais qui vient de mettre en examen l'ancien Président de la République avec une effarante et humiliante incrimination d' "abus de faiblesse" n'encourt nullement, puisque après le renvoi de ce dossier devant le Tribunal Correctionnel, il devrait bénéficier d'une exceptionnelle promotion pour les services rendues à son maître !
Une réaction d'un lecteur signant du pseudonyme de SIMON.L, compatriote guyannais qui semble bien connaître la dame et son parcours politique amoral et cynique, sans autre conviction que le culte personnel et finalité que la satisfaction de ses ambitions, dans un style flamboyant marqué par l'égotisme, la suffisance et le mépris d'autrui, mérite d'être citée car symbolique du personnage :
Après le coup de com sur le mariage pour tous, le visage de Taubira ne tarde pas à apparaître. Blabla et stratégie personnelle ... il suffit de poser la question en Guyane pour le savoir. De l'indépendantisme au ministère de la Justice de l'ancienne puissance coloniale, un tel parcours signe un bel opportunisme et de beaux renoncements. C'est la vie. Et rien sur la relaxe de Hugues-Despoints pour apologie de crime contre l'humanité. La Loi Taubira de 2002 serait une coquille vide ?