En ces temps particulièrement troublés où la décadence de notre pays et de notre civilisation s'accélère encore, dans une course folle - incontrolable et irrépressible vers le néant, sous l'action conjuguée d'une "cinquième colonne" d'activistes et de traîtres, menés par un pseudo-journaliste, admirateur de Joseph STALINE et des "Frères Musulmans", formé par le FLN à ALGER sous la présidence de Houari Boumedienne ;
d'une sphère médiatique dotée d'une aussi large ouverture d'esprit que "Savonarole" en personne lors de son incandescente épopée florentine, auto-investie du dogme d'infaillibilité, acquise aux thèses islamo-gauchistes, concevant le journalisme comme une croisade religieuse pour imposer au pays les bienfaits de la pensée unique progressiste et menant un combat idéologique de tous les instants pour marquer au fer rouge de l'infamie puis éliminer tout rebelle coupable de ne pas suivre à la lettre la "Torah" médiatique, révélation divine inviolable déversée sans contradiction possible par le service public audiovisuel et la presse de gauche en faillite commerciale subventionnée par l'Etat français ; avec le concours d'une justice gangrenée par un syndicat d'extrême gauche minoritaire, le SYNDICAT de la MAGISTRATURE; dont les adhérents les plus politisés ont été placés par François HOLLANDE et sa Ministre de la Justice, Christiane TAUBIRA, aux postes clés de l'institution d'où ils font régner leur idéologie mortifère,
Il est toujours judicieux et enrichissant de relire les grandes pensées et analyses politiques de nos plus prestigieux dirigeants, entrés dans l'histoire de leur vivant, et dont la médiocrité de leurs successeurs a plongé le pays dans une crise existentielle qui marque son entrée en agonie. Le plus contemporain de ces "géants" est indiscutablement le Général-de-Gaulle : son action durant la seconde guerre mondiale unanimement saluée, célébrée et admirée ; tout comme l'impulsion qu'il apporta lors de son retour aux affaires, entre 1958 et 1969, sur le plan institutionnel et en matière de politique étrangère et de défense qui restent les plus grandes forces de notre Nation, dont les règles font désormais consensus dans le monde politique, même parmi ceux qui figuraient au nombre de ses plus farouches adversaires, devenus désormais ses plus ardents défenseurs.
Alain PEYREFITTE (1925-1999), Homme de lettres membre de l'Académie Française, normalien, diplomate issu de la première promotion de l'ENA, fut son loyal collaborateur ; DE GAULLE lui confia les fonctions prestigieuses de Ministre de l'Information, Ministre de la Recherche lors de la mise au point de la bombe thermonucléaire, Ministre de l'Education Nationale (qu'il occupait durent les évènements de "Mai 1968"), et GISCARD celles de Ministre de la Justice lorsqu'il fit voter une loi "SECURITE et LIBERTE" pour tenter de mettre un terme à la toute puissance des auteurs d'infractions et de crimes lors des procès pénaux, au détriment des victimes abandonnées ou laissées de côté.
Il eut la chance de cotoyer le Général et d'entretenir des relations privilégiées avec lui, au-cours des 300 entretiens privés qu'il lui accorda, dont, - avec son accord -, il notait minutieusement le compte-rendu de retour chez lui. De ses carnets, il tira, à la fin de sa vie, un ouvrage d'un grand intérêt historique, intitulé "C'ETAIT DE GAULLE" qui est une source d'information et d'inspiration sans pareille pour les historiens, devenu ouvrage de référence pour tous ceux qui veulent cotoyer le grand homme dans l'exercice quotidien du pouvoir. Si "LE MAL FRANÇAIS", et "QUAND LA CHINE S'EVEILLERA, LE MONDE TREMBLERA" demeurent ses plus grands succès littéraires, "C'ETAIT DE GAULLE" est toujours d'actualité et ne manque jamais d'être cité dans le débat politique qui scinde le pays.
Et à ce titre, les paroles prononcées par le Général-de-Gaulle, le 5 mars 1959, lors de son entretien avec Alain PEYREFITTE sur le drame algérien qui ensanglante le pays, et la vision prophétique que le grand homme d'Etat projette sur l'avenir prouve à quel point sa vision était froide, réaliste et pertinente ! C'est certainement pour cela qu'elle est devenue lieu commun tant les années passées l'ont rendue évidente.
« C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France.
Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoire! Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants.
Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées. »
L'analyse était posée, implacable d'évidence et de réalisme ; PLENEL et ses semblables remercient donc Valéry GISCARD d'ESTAING, Jacques CHIRAC, Nicolas SARKOZY, qui se prétendaient héritiers du Général, d'avoir trahi le grand homme et sa vision de l'avenir et de l'histoire ; merci François MITTERAND, François HOLLLANDE, Emmanuel MACRON, Présidents de gauche progressistes et adversaires du Général, d'avoir été fidèles à leur idéologie et d'avoir ouvert en grand les portes du pays à l'immigration maghrébine et sub-saharienne pour précipiter, conformément à leur volonté, la perte et la disparition de la Nation.