L'automne battait son plein, avec des airs d'été indien comme le chantait le regretté Jo Dassin, ou d'été de la Saint Martin pour rester français et célébrer le mois d'octobre le plus clément connu depuis que "Meteo France" effectue des relevés quotidiens ! Et un qui ne se sentait plus par ces températures exceptionnelles, qui était revigoré après ses multiples déboires du printemps dernier, c'était bien notre très cher BOZO qui revivait, pris d'une ardeur juvénile, sous les projecteurs des plateaux TV de service public qu'il ne quittait plus à l'occasion de la sortie de son nouveau livre programme, modestement intitulé "BOULEVERSEMENTS",
que ses "journalistes !" affidés, pour lui complaire, mettaient en vedette dans toutes leurs émissions, sans jamais lui poser la moindre question embarrassante susceptible de le froisser ou le mettre en difficulté.
Et puis, le 25 octobre, Olivier PEROU, Journaliste à l'EXPRESS, publie son enquête sur les causes de la mort du PARTI SOCIALISTE, parti le plus puissant de France lors de l'accession au pouvoir de François HOLLANDE, qui régnait sans partage sur le monde politique français en ayant conquis pouvoir exécutif et pouvoir législatif, contrôlait toutes les grandes juridictions républicaines dont le Conseil Constitutionnel, la Cour des Comptes, le Conseil d'Etat dirigés par ses affidés. Les pouvoirs locaux étaient entre ses mains aussi, puisqu'il contrôlait quasiment toutes les grandes régions administratives françaises, et que rares étaient les grandes métropoles qui échappaient encore à sa domination. Il maîtrisait les justices civiles, pénales et administratives patiemment noyautées par un syndicat trotskyste révolutionnaire dont les membres les plus engagés occupaient les postes sensibles, non seulement de direction au Ministère, mais également dans les juridictions puisque l'appartenance à ce syndicat était le critère déterminant dans les attributions de poste ; évidemment la presse (en faillite, vivant sous assistance respiratoire des subventions du Ministère de la Culture dont le montant était assujetti à leur degré de soumission au pouvoir en place) et les médias audiovisuels, dont le service public (financé à la fois par l'impôt public et la publicité) pour lequel l'appartenance au clan progressiste constituait le principal critère de recrutement des journalistes, la direction étant elle-même désignée par le CSA, qui a rang de Ministre de l'Information dans l'organisation de l'Etat, et les chaînes privées contrôlées par les grands groupes industriels et financiers en charge du déploiement de la téléphonie mobile sur tout le territoire, et qui, pour développer cette activité si lucrative, mendiaient soutien gouvernemental pour l'attribution des licences d'exploitation des réseaux 4G et 5G, autrefois dévolues aux services de sécurité.
L’histoire secrète d’un crime politique féroce, où la victime est le Parti socialiste et les suspects ne manquent pas. Quand la réalité dépasse le thriller… Un crime politique a été commis. Il est 20 heures, ce 10 avril 2022, et le Parti socialiste est mort. Anne Hidalgo, sa candidate à l’élection présidentielle, n’a recueilli que 1,7 % des suffrages. Le pire score de l’histoire du parti. Qui donc a tué le PS ? Autour du cadavre, trop de suspects, trop de mobiles et si peu d’alibis. Est-ce Anne Hidalgo, dont la campagne, famélique et chaotique, aura été la dernière du parti tel qu’on l’a connu ? François Hollande, un président au quinquennat irrésolu dont les secousses sismiques n’en finissent pas, et qui s’agite secrètement pour tenter un impossible retour ? Bernard Cazeneuve, qui n’a pas eu le courage de porter le drapeau, d’être candidat comme beaucoup le lui demandaient ? Arnaud Montebourg, mû par l’orgueil ? Christiane Taubira, persuadée d’être intouchable et dont l’envie de revanche sur les socialistes venait de si loin ? Jean-Luc Mélenchon, qui l’a prise, lui, sa revanche sur cet appareil qui l’a vu grandir et qu’il a tant détesté ? Qu’en est-il du discret et énigmatique Olivier Faure, qui a fait allégeance aux forces radicales de la gauche ? Sept suspects, mais un seul assassin. Ce livre raconte de l’intérieur la campagne présidentielle du Parti socialiste, la chute tragique et la mort d’une force politique qui a donné deux présidents à la Ve République, régné sur le territoire avec ses baronnies du Sud, du Nord et de l’Ouest. Une enquête politique et policière.
La responsabilité du Chef de l'Etat, qui avait en main toutes les rênes du pouvoir, est évidemment écrasante tant son indécision, sa lâcheté, ses mensonges, son mépris pour les hommes et les faits qu'il prétend maîtriser et manipuler, règnent en maître durant ces cinq années de chaos où prospèrent dans l'intimité du chef de l'état les "lobbyistes" LGBTQIA++, Pédophiles, francs-maçons qui inspirent ses décisions acquises à la défense de leurs intérêts catégoriels et sexuels, au mépris de l'intérêt général du pays.
Pour vider l'abcès purulent, ce sont ces questions qui devraient être enfin posées à l'ancien Président, omniprésent en cette saison sur les plateaux : mais il est patent que ces militants progressistes du service public, usurpent indument la qualité de "journalistes", notamment Alah Salamé et Christophe Dechavanne sur FR2 ; Patrick COHEN et Anne-Elisabeth LEMOINE dans "C à vous", Karim RISSOULI et Pascale CLARK dans "C ce soir", Ali BADOU et Jean-Michel APATHIE dans "C l'Hebdo", Caroline ROUX dans "C dans l'Air" mué en siège de réunion et de réflexion du think-thank socialiste "TERRA NOVA". Ils ne sauraient concevoir de recevoir BOZO-le-CLOWN autrement qu'avec du cirage et une brosse à reluire en main.
La concurrence est rude, puisque QUOTIDIEN sur RMC bénéficie du label de qualité délivré par la communauté LGBTQIA++ à son animateur Yann BARTHES, hôte unique et privilégié de Christine TAUBIRA, Najat VALAUD-BELKACEM, Anne HIDALGO, et même parfois Jack LANG pour la communauté de la "Villa Majorelle" de MARRAKECH. Quant aux chaînes d'information, depuis que BFM est dirigé par Marc-Olivier FOGIEL, digne successeur du patriarche Pierre BERGE, animateur LGBTQIA++, ami personnel des deux derniers Présidents progressistes, et défenseur acharné de la GESTATION POUR AUTRUI qui lui a permis d'acquérir deux enfants aux ETATS-UNIS et d'écrire un livre à succès sur cette expérience, c'est le but assigné à BFM que de complaire au pouvoir en place pour que cette dernière "liberté", après le "Mariage pour tous" par HOLLANDE et BERGE, la PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE par MACRON, soit imposée contre leur volonté à tous les français, pour satisfaire cette communauté si influente en FRANCE.
Donc, il est déjà en campagne présidentielle pour les cinq années à venir ; à droite, tout est calme : LR est en loques après sa défaite sanglante aux Présidentielles et s'apprête à se choisir dans un mois un nouveau Secrétaire Général ; le RASSEMBLEMENT NATIONAL de Marine LE PEN est numériquement le second groupe à l'Assemblée Nationale et persiste sur la voie de la dédiabolisation, au point qu'il oublie les fondamentaux qui ont construit son succès, que sa politique économique est en tout point semblable à celle de la NUPES, et qu'il vote les motions de censure déposées par LFI, comme si en cas de succès, ils pouvaient gouverner ensemble le pays. Quant à Eric ZEMMOUR, qui portait les espoirs de la droite qu'il voulait rassembler pour gouverner, il est détruit par les médias, presse et audiovisuels réunis, qui ont conclu un pacte pour censurer toutes ses prises de parole et l'empêcher de s'exprimer. Le Syndicat de la Magistrature est là pour le réduire au silence au cas où on percevrait encore l'écho lointain de sa voix !
Donc, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes pour BOZO, seul candidat déclaré pour 2027, si des voix hostiles ne s'élevaient dans son propre camp : ainsi, on voit se lever un vent contraire contre l'ancien Président et sa monopolisation du temps de parole.
Dans le livre consacré par Gaël TCHAKALOFF au couple MACRON, intitulé : "TANT QU'ON EST TOUS LES DEUX", c'est avec une affection débordante qu'il parle de son successeur, ce fils indigne qui l'a poignardé, des convictions politiques qu'ils partagent. On croirait que l'ancien chef de l'état parle de lui-même en creux :
"Politiquement, [Emmanuel] n'est rien, il saupoudre une pincée de chaque couleur politique selon les jours, dans un savant dosage. Il ne croit en rien, il n'a aucune conviction" ; et il salue de son inculture : "Il est plus Patrick Bruel et Eddy Mitchell que le Panthéon. [...] Il n'est pas très cultivé, il a une culture populaire",
Dire que certains interprètent ces déclarations comme hostiles, mal-intentionnés et agressives , alors qu'il décrit ses propres principes qu'il a su inculquer à son fils spirituel ; quand on sait combien est sans limite son orgueil et sa satisfaction de lui-même, on ne peut qu'apprécier cette marque d'affection pour le petit Emmanuel qu'il tenait par la main lors de sa prise de pouvoir, au point qu'on croyait l'entendre interpréter le magnifique poème consacré par le chanteur RENAUD à l'amour d'un père pour son enfant, "Mistral Gagnant".
Il est, c'est un fait, en total désaccord avec la direction de son parti, et à l'accord électoral signé par son Secrétaire-Général avec LFI de MELENCHON, qui, pour quelques postes de députés que ce dernier lui concède, fait passer le parti socialiste sur une ligne radicale d'extrême-gauche, et entérine sa soumission au "lider maximo" !
En retour, la direction du PS, qu'il veut abattre lors du prochain Congres en plaçant ses vieilles équipes, reproche cette omniprésence médiatique, d'autant plus grave que son temps de parole est décompté du temps d'expression accordé au PS, dont il est toujours membre, en ne cessant de s'opposer et critiquer la direction ; ainsi, le 22 octobre, lorsque sa très dévouée Alah SALAME (compagne de Raphaël GLUKSMAN, tête de liste PS aux élections européennes), lui demande quelles questions il poserait aux responsables politiques dont elle fait défiler le visage à l'écran, il répond avec humour :
- de MELENCHON : "Mais pourquoi continuer encore ?"
- d'Olivier FAURE, Premier Secrétaire du PS, qu'il veut abattre : « Quand on a depuis cinq ans la responsabilité d’un parti et (…) qu’on n’est pas capable d’avoir un programme crédible à la présidentielle, on se tait et on laisse la place ».
- de Segolène ROYAL, sa compagne de 1978 à 2008, mère de ses quatre enfants : "Bah il faut que tu t’occupes de la petite !" , réponse qui lui vaudra une tempête d'insultes (lui qui avait déjà ridiculisé sa concubine à l'Elysée, Valérie Trierweiller, en l'humiliant aux yeux du monde entier en la licenciant par SMS, allant de "La classe ..." d'O.Faure, au "Minable macho ...", de Rachel Berthe GARRIDO de LFI, connue pour sa grande finesse d'esprit et son langage graveleux et ordurier des "putains de la rade" !.
Mais l'abus de temps de parole audiovisuel aux dépens du PS, la grossièreté avec laquelle il traite et s'exprime sur les femmes qui ont partagé sa vie, ne sont pas les seuls reproches encourus.
Outre le fait de s'enkyster au sein d'un parti qu'il a détruit, de sans cesse ourdir de basses manoeuvres pour en reprendre les commandes pour son bénéfice :
« Hollande, c’est le sparadrap du capitaine Haddock. Il s’accroche, c’est même de la Super Glue », répète-t-on avec de plus en plus d'insistance et d'agacement parmi les responsables socialistes.
Désormais, c'est un "éléphant" du parti, un conseiller et ministre du premier cercle de MITTERRAND, Jean GLAVANY, qui parle de lui en ces termes et du mauvais souvenir qu'il a laissé à ceux qui travaillaient avec lui :
"Il ne bossait que pour lui, il est obsédé par lui-même." Julien DRAY, bien connu pour son rôle de monteur de coups tordus au PS (le "Baron noir"), et quelques autres affaires moins glorieuses, s'exprime ainsi sur son attitude en 2017 :
" Il fait la même qu'en 2017 : il se débine, il préfère la lâcheté, le confort du mec qui gagne 15 000 euros par mois. Hollande, c'est un papy ".Alors que Michel SAPIN, son copain et ami de l'ENA, son homme de confiance, Ministre de l'Economie et des Finances, pour décrire combien son indécision était handicapante pour l'action gouvernementale :
"En vingt-quatre heures, on pouvait lancer une campagne. En coulisses, on avait une trentaine d’experts enthousiastes [...] Ils n’attendaient qu’une chose : qu’il appuie sur le bouton."
Donc, si faute de candidat crédible à droite et du handicap que constitue la politique suivie par la Présidente du RASSEMBLEMENT NATIONAL, alliée objective du camp progressiste, refusant toute alliance pour gouverner alors que les partis de droite sont d'accord sur les grands principes à suivre et largement majoritaires en nombre d'électeurs, l'autoroute est dégagée (pour l'instant !) pour François HOLLANDE pour 2027, bien que les plus grands dangers et oppositions à sa candidature se précisent sur sa gauche.
Car, comme l'indique cette citation reprise par VOLTAIRE, dont la paternité est attribuée à un roi de Macédoine : "Dieu, garde-moi de mes amis ; mes ennemis, je m'en occupe !"