Jacques FOCCART

foccartAssister, impassible, à la déroute, (le terme "bérézina" serait plus adapté en l'occurence), de la politique étrangère française, ridiculisée sur tous les continents, notamment sur les théâtres où son histoire lui avait légué une influence majeure ; la voir désormais bafouée, insultée, humiliée, souillée, maltraitée, expulsée par n'importe quelle baderne alcoolique et corrompue s'emparant du pouvoir par un coup d'état militaire pour s'enrichir personnellement en pillant son pays, ne peut laisser indifférent :

l'Etat français progressiste, suivant en cela les choix effectués par les Présidents FLANBY puis son fils spirituel GITON, applique la ligne politique définie par les hauts responsables trotskistes-lambertistes qui, dans le cadre de leur plan résolu "d'entrisme" de l'appareil d'état, après tant d'autres ministères, contrôlent désormais le Quai d'Orsay et dirigent la politique étrangère nationale (Benyamin STORA, le Commissaire Politique, alias "Truffaut" - Pap N'DIAYE et toute l'équipe qui a établi son siège au "Musée de l'Immigration", où ils se succèdent au poste lucratif de directeur). 
Comment ne pas se souvenir avec émotion du grand homme et serviteur de l'état que fut le regretté Jacques FOCCART (1913-1997). Ce grand résistant, qui connut la guerre et fut exemplaire lors des combats de la résistance, fut un serviteur intransigeant du Gal de GAULLE, puis de son successeur Georges  POMPIDOU qui le nommèrent, de 1958 à 1974, pour gérer le désengagement français de ses colonies africaines et maghrébines, tout en préservant les intérêts économiques et stratégiques du pays. Homme de l'ombre inconnu du grand public, doté de réseaux extrêmement étanches les-uns aux autres dont nul ne pouvait connaître l'organisation et les aboutissants, il géra à la plus grande satisfaction de deux chefs de l'Etat les responsabilités qui lui avaient été confiées, privilégiant toujours et en toutes circonstances l'intérêt de son pays : tout chef d'état africain devait être adoubé par ses soins, et oeuvrer pour une politique qu'il devait agréer, dans le respect des intérêts français. C'est vrai qu'il utilisa sans état d'âme, pour contrer leurs agressions, les mêmes moyens employés par les services spéciaux d'états totalitaires qui cherchaient à nuire à la France et à la déstabiliser pour prendre sa place.

 


Le nom de cette politique a été qualifiée d'un néologisme barbare désormais entré dans le langage commun : la FRANÇAFRIQUE !
Et n'oublions que ce grand commis de l'Etat créa et utilisa sans état d'âme le SERVICE d'ACTION CIVIQUE, service d'action du parti gouvernemental, utilisé pour toutes les basses besognes. FOCCARD, en organisant avec le SAC la grande contre-manifestation gaullliste du 30.05.1968,  en soutien au Chef de l'Etat (2 millions de personnes !), permit au Gal de GAULLE, déstabilisé par les évènements de mai 1968, de réagir, se maintenir au pouvoir et reprendre en main le pays après que les élections législatives triomphales lui aient apporté une majorité massive.

casque colonialSouvenirs, souvenirs,
En l'honneur de tous ceux qui ont transmis à l'homme africain les valeurs républicaines de "Liberté - Egalité - Fraternité", ont apporté l'instruction et construit des écoles, des lycées, des universités ; transmis une langue à des peuples totalement désunis ; ont amélioré les techniques agricoles, développé la production, en leur permettant d'accéder au marché international et de ne plus subir de terribles famines ; ont bâti des structures financières, commerciales et industrielles , et amélioré le niveau de vie général des populations, aidant à la naissance d'une classe moyenne ; de bénéficier des progrès de la médecine moderne, limitant le nombre des décès d'enfants et d'adultes, avec pour corollaire une augmentation exponentielle de leur démographie ; ont tracé des routes, construit des ponts, développé les réseaux ferrés, les aéroports pour faciliter le transport des hommes et des marchandises, s'ouvrir au tourisme mondial ; ont fait connaître la culture africaine, l'ont révélée au monde, et permis à ses peintres - sculpteurs - poètes - écrivains - musiciens - chanteurs de s'affirmer au plus haut rang mondial ;
Alors, à tous les activistes professionnels racialistes - décoloniaux - indigénistes qui vivent en France et ont pu, grâce à ses bienfaits, développer leurs qualités et leurs talents et accéder à la gloire et à la fortune financière,  renforcés par les minorités sexuelles et raciales constitutives de l'électorat urbain de "bobos" diplômés, de jeunes en révolte et de militantes féministes comme Sardine RUISSEAU, les pseudo-écologistes de gauche, les députés trotkistes-lambertiste de LA FRANCE INSOUMISE,
Souvenons-nous de ce temps de notre histoire, que l'on peut retrouver dans des films tels "LA VICTOIRE EN CHANTANT " de Jean-Jacques ANNAUD, relatif au déclenchement de la Grande Guerre 14-18, vécue et ressentie à la frontière entre l'Afrique Equatoriale Française et le CAMEROUN Allemand  ; ou bien,  "COUP DE TORCHON" de Bertrand Tavernier, trotkiste-lambertiste militant, mais cinéaste de grande talent ! En sus des films, la musique peut aussi nous restituer l'air du temps :
En 1927, MILTON interprétait avec grand succès, sa fameuse chanson "La fille du Bédouin" très rythmée qui évoquait, dans des termes qui seraient aujourd'hui condamnés lourdement car jugés triviaux et attentatoires à la dignité de la femme !
Alors qu'en 1976, plein d'ironie et de provocation pour la génération post-soixante-huitarde triomphante, qui impose partout ses valeurs morales (notamment la libération sexuelle, qui voit les "pédophiles" s'exhiber et faire la promotion de leurs pratiques sur les chaînes de service public aux heures de grande écoute), on se doit lorsque l'on est "bourgeois bohème des beaux quartiers" d'être anticolonialiste et de condamner la politique de la France, comme d'exhiber fièrement dans son salon lors des réceptions mondaines, tel un animal dans un zoo,  "son réfugié chilien", Michel SARDOU prend le contrepied, compose et interprète "Le temps des Colonies".