L'éternel retour !

contre la loi immigration
Le Maghreb et l'Afrique sub-saharienne exigent toujours plus
selectDans son acception morale, le concept nietzschéen d'éternel retour est une règle de vie :" mène ta vie en sorte que tu puisses souhaiter qu’elle se répète éternellement ". Pour Cocteau, qui dans le film éponyme transpose, en 1943, la légende amoureuse de "Tristan et Yseult" à l'époque contemporaine, "les mêmes légendes peuvent renaître sans que leurs héros ne s'en doutent, puisque ce sont des circonstances très simples et reproductibles au fil des siècles qui composent toutes les grandes affaires de coeur.". Un peu la trame reprise par les Wachowski, et Tom Tykwer pour leur film sorti en 2012, "Cloud Atlas", où les mêmes personnages en des lieux et siècles totalement différents, vivent de proches passions.

Pour moi, BOZO, cette expression, qui obsède mes jours et hante mes nuits, signifie que mon destin - quel qu'en soit le coût et les compromissions - est la reconquête du trône qui est mien, qui m'était dévolu par la sainte Providence bien avant ma conception, et sera, dans quelques siècles, la marque glorieuse et inaltérable de mon passage sur terre. Après le court échauffement entre 2012 et 2017, décevant avouons le, je dois accomplir l'oeuvre prophétique dont Laurent JOFFRIN, mon ami d'enfance, la plume de mes ouvrages et l'hôte bienveillant de mes amours adultères en sa résidence de GRANVILLE, tel un Saint Jean Baptiste païen illuminé par la grâce social démocrate, a fait l'annonce !.

C'est vrai que, lors de ma petite enfance dans un foyer aisé de la haute bourgeoisie provinciale, avec un Père militant d'extrême droite, rien ne me destinait à devenir le successeur de JAURES, BLUM, MOLLET, MITTERRAND et à détruire le parti qu'ils avaient fondé, puis dirigé ; je grandis parmi des enfants tout aussi aristocratiques que moi, mon meilleur copain d'alors, devenu célèbre et détesté sous son nom de plume de Laurent JOFFRIN (il dirigea le journal trotkiste LIBERATION, en faillite permanente, maintenu en vie par les subventions étatiques payées par les contribuables !) vivait lui aussi dans le confort et la douce euphorie d'un château acquis par son père, militant et financier de l'extrême droite pro OAS, qui avait fait fortune en créant et en dirigeant les Editions François Beauval.

Rien ne nous destinait donc à militer à gauche, puisque nos racines et notre formation étaient celles de grands bourgeois de droite (comme notre modèle François Mitterrand), et que nous ignorions tout de la condition ouvrière, pour laquelle nous ne nourrissions qu'indifférence et mépris. Lors de nos jeux d'enfants, nous revivions les aventures des grands conquérants et leurs incroyables épopées, notamment ceux étant parvenus à faire passer les Alpes à leurs armées en campagne : HANNIBAL le "Carthaginois" d'abord, les franchissant en 218 -JC avec soldats et 37 éléphants, pour déboucher sur la Vallée du Po et prendre à revers les armées romaines, les vaincre et menacer ROME ; CHARLEMAGNE, "Carolus Magnus", les franchit avec sa puissante armée en l'an 800 de notre ère, pour aller se faire couronner Empereur d'Occident par le Pape à ROME ; le jeune NAPOLEON bien évidemment, franchissant le col du Grand Saint-Bernard en 1799 avec son armée de "va nu pieds" et triomphant, par son génie militaire, de la seconde grande coalition des rois européens unis contre la République ;

Et dans "mes rêves étranges et familiers", j'imaginais que moi aussi, François HOLLANDE, le "Génie des Carpettes", les franchirais sur un âne aussi bâté que moi ! J'aurais apprécié, malgré ma fausse modestie, que de grandes places des villes de France portent ma statue équestre, chargeant courageusement - comme Don Quichotte à l'assaut des 40 moulins, ou Murat à la tête des 12.000 cavaliers de la Grande Armée à Eylau - à travers des sommets alpestres enneigés, avec les légions de gitons, pédérastes et pédophiles de mon entourage, que j'ai tellement privilégiés pour faire avancer leur cause au nom de l'humanisme socialiste, et surtout en remerciement du financement de mes campagnes électorales. Mais voila, pour partir à l'assaut, faut-il avoir un ennemi, une cause à défendre, une limite à franchir ; mes seules convictions sont européennes, vous le savez, et je ne pouvais décemment lancer l'assaut à travers les Alpes contre des états aussi honorables que la Suisse ou l'Italie !

Le grand conquérant

BOZO, le glorieux conquérant, franchit les Alpes sur son poney arabe offert pour son anniversaire

La conjonction de deux évènements, apparemment sans lien, a fait naître dans mon esprit fécond un projet grandiose pour m'illustrer dans une cause populaire qui peut me rapporter beaucoup électoralement, tout en coûtant un minimum d'effort et d'engagement   :

  • Le gouvernement des Juges :

    Il est patent que tout au long de l'histoire, les JUGES n'ont eu de cesse d'étendre leur pouvoir sur tout le corps social, pour imposer "de facto" leur vision de l'État en lieu et place du pouvoir exécutif élu par le Peuple. L'exemple des Parlements de l'Ancien Régime en constitue l'exemple le plus pertinent, puisque la chute de la royauté en France est leur oeuvre ! Louis XIV avait su les remettre à leur place, en débarquant personnellement à l'une de leurs audiences,  armé d'un fouet, dissolvant le Parlement, embastillant les plus agités, leur signifiant autoritairement que le ROI, c'était lui. Mais beaucoup plus faible, face à leurs assauts, LOUIS XVI n'eut pas le même courage et l'affaire se termina tragiquement pour lui et sa famille. Ce dépassement permanent des limites qui leur sont imparties par les règles constitutionnelles est une constante quel que soit le temps ou le lieu ; chaque hésitation, chaque recul du pouvoir exécutif acte, en République, la défaite de la démocratie.
    Ainsi, la loi référendaire de 2008, en introduisant dans notre constitution le "principe d'une question préalable de constitutionnalité", a permis au Conseil Constitutionnel - composé de vieux chevaux de retour du monde politique nommés par un ami - d'étendre à l'infini ses domaines de compétence, bien loin des principes constitutionnels de 1958, et de décider - au mépris du pouvoir législatif - de ce qui est ou non légal dans ce pays. Ainsi, le 6 juillet 2018, il validait la valeur constitutionnelle du principe de "fraternité", qui s'imposait donc au législateur, et aux Juges en matière civile, pénale et administrative. En vertu de ce principe constitutionnel de "fraternité", la Cour de Cassation cassait un Jugement pourtant fort indulgent d'une petite amende avec sursis à l'encontre du militant révolutionnaire d'extrême gauche Cédric HERROU, qui voue sa vie à faire passer des immigrés clandestins en France, en toute illégalité. C'est donc l'activité des "passeurs" mafieux qui font entrer maghrébins et africains sub-sahariens en EUROPE, au prix de plusieurs milliers de morts annuelles lors du naufrage des embarcations qui les transportent qui est ainsi valorisée et légalisée en vertu du principe de "FRATERNITE".
    La dissolution du mouvement national "GENERATION IDENTITAIRE", qui avait osé manifester pacifiquement dans les Alpes à la frontière franco-italienne contre l'immigration massive et létale pour le pays, organisée par HERROU et les extrêmistes de gauche, les organisations mafieuses de passeurs alliées et soutenues par les Organisations Non Gouvernementales financées par les Etats et les collectivités locales (telles PARIS !), a été pour moi un révélateur ; d'autant plus que la répression contre ce mouvement de jeunes français a été une nouvelle fois impitoyable de la part du gouvernement, prononçant la dissolution de ce mouvement au motif d'avoir manifesté pacifiquement et paisiblement son désaccord avec la politique suivie, en laissant le soin au "Syndicat de la Magistrature" de condamner à des peines de prison ferme les malheureux manifestants. A mettre en parallèle avec les violences et tentatives systématiques d'assassinats commises par les "black blocs" à l'encontre des forces de l'ordre, les dégradations de biens privés, avec bris des vitrines de magasins et pillage de leurs contenus, accompagnés des incendies des voitures en stationnement et des biens publics. Mais les "black blocs" sont les amis de Moussa DARMANIN (il les surnomme avec malice KEVIN et MATTEO et les gratifie de la nationalité anglaise !), et d'ACQUITATOR, le Garde des Sceaux DUPONT MORETTI, "star" des Maisons d'Arrêt et Centres de détention, qui assimile la délinquance nationale (53 exécutions de jeunes hommes dans les milieux de trafic de stupéfiants à MARSEILLE en 2023) à un vague sentiment d'insécurité : ils ne sont donc jamais interpellés, et moins encore condamnés ! Existerait-il une politique du deux poids deux mesures dans ce pays ?

    L'expression libre et publique d'une opinion est désormais le privilège de l'extrême-gauche révolutionnaire, puisqu'elle est violente et que l'émeute, avec destructions et dégradations de biens publics et privés, est institutionnelle et tolérée ; elle est formellement prohibée à la droite nationale, puisque pacifique et apaisée. En conséquence, interdiction, dissolution du mouvement, interpellations, jugements présidés par les membres du  "syndicat de la magistrature" et peines d'emprisonnement infâmantes assurées.

    Bien que ma conviction intime, comme le rapportent DAVET et LHOMME dans l'ouvrage consacré à mon quinquennat soit : "Il y a en France trop d'arrivées, d'immigration qui ne devrait pas être là ; il y a un problème avec l'islam, c'est vrai. Nul n'en doute", […] Parce que l'islam demande des lieux, des reconnaissances. Ce n'est pas l'islam qui pose un problème dans le sens où ça serait une religion qui serait dangereuse en elle-même, mais parce qu'elle veut s'affirmer comme une religion dans la République", , tout en constatant, réaliste, le mouvement tellurique profond et inéluctable qui transforme la société française : "la femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.", je ne puis, en loyal social démocrate, prêt à tous les abandons pour une parcelle de pouvoir, que m'incliner et accepter les décisions du Conseil Constitutionnel et du Syndicat de la Magistrature.
  • L'appel à manifester du monde du spectacle contre la promulgation de la loi IMMIGRATION : le cancer de la pétitionnite aïgue

    bobosParce qu'elle représente l'archétype de la grande bourgeoise délurée et bobo, au charme certain, dont la famille possède un château de vacances en Gascogne, riche de revenus faciles et élevés, travaillant dans les milieux culturels ou artistiques (le cinéma dans son cas !), participant à tous les évènements culturels, au mode de vie urbain et à l'engagement écologiste (elle trie ses déchets), star des "tapis rouges" et des revues "people", féministe militante proche des courants les plus extrêmistes, comptentrice du patriarcat, et, comme cela s'impose pour exister dans ce milieu, fortement engagée à gauche, Julie GAYET fit l'objet de toutes mes prévenantes et bienveillantes attentions. Elle devint ma maîtresse alors que je partageais la vie d'une journaliste de PARIS MATCH, et nos rencontres adultères rue du Cirque, à proximité de l'Elysée, aussi bouffonnes par les déguisements employés que ridicules par les ruses déployées pour échapper aux indiscrets, nous valurent une renommée internationale et ridiculisèrent le pays. Elle fut ensuite ma concubine, avant que je ne l'épouse à l'été 2022. 
    Actrice et productrice de films, elle est devenue grâce à mon entregent la productrice la mieux dotée en financements publics du "Centre National de la Cinematographie et de l'Image animée", censé investir l'argent du contribuable français pour le développement du cinéma français. J'ai d'ailleurs du moi-même témoigner ma gratitude à la Directrice du CNC, Audrey AZOULAY, amie personnelle de Julie, pour les bons soins apportés à la carrière de ma compagne, en la nommant Ministre de la Culture dans le gouvernement CAZENEUVE en 2016-2017 ; puis, en la recasant confortablement, avant ma chute, au poste prestigieux de Directrice Générale de l'UNESCO.
    Donc, même si elle ne fréquente évidemment pas des immigrés maghrébins ou sub-sahariens, ne leur serre jamais la main et ne leur rend pas de visite de courtoisie dans les nombreux villages de tentes et points de "deal" (l'hygiène, par ces temps de grande pandémie, a des exigences évidentes !) où ils sont pris en charge par des associations pro-immigrés militantes, JULIE n'en défend pas moins avec beaucoup de coeur, de solidarité, de constance et d'engagement, leur cause
    Combattante insoumise contre l'ordre moral patriarcal, elle a signé une   énième pétition, en date du 8 janvier 2024 dans le quotidien communiste L'HUMANITE, aux côtés des indéracinables intermittents du spectacle (même malades et diminués physiquement et mentalement !) systématiquement engagés dans ce genre "d'actions" : Josiane Balasko, Marina Foïs, Laure Calamy, Pierre Arditi, Bruno Solo, le prix Nobel de littérature LFI Annie Ernaux, les syndicalistes Maylise Léon (CFDT) et Sophie Binet (CFDT), et les députés NUPES Manuel Bompard (LFI), Olivier Faure (PS) et Fabien Roussel (PCF) afin de manifester massivement le 21 janvier pour exiger du Président de la République qu'il ne promulgue pas le texte de la loi IMMIGRATION (qui devrait d'ailleurs être dépecé dès le 25 janvier par le Conseil Constitutionnel !).
    Voir Julie GAYET engagée aux côtés de FAURE et de BOMPARD est effarant, même pour moi, je l'avoue !
JULIE, l'actrice et productrice la mieux subventionnée en argent public de France, bien qu'issue d'un milieu favorisé de la haute bourgeoisie aisée, prend le parti pour les immigrés (elle n'en accueillera aucun évidemment), et appelle à manifester le 20.01.2024 contre la promulgation de la loi dite "immigration", du moins le peu qu'il en restera après son dépeçage par le Conseil Constitutionnel

 

MerluchonAlors, que faire pour exister médiatiquement ? 
Je ne puis laisser les votes extrêmistes de gauche au seul MELENCHON,  pro-islamiste partisan des crimes contre l'humanité du HAMAS, marionnette entre les mains des islamistes pour faire leur lit en politique et pénétrer l'Etat profond, lui qui a déjà incinéré ce qu'il restait de la RÉPUBLIQUE FRANCAISE, remplacée dans son esprit trotskiste par un état révolutionnaire communiste créolisé, au service de la révolution mondiale, accueillant toute la misère du monde qui remplacera sur le sol national l'ancienne population endémique, réduite au seul rôle de contribuables pour financer l'accueil, le logement, l'éducation, le regroupement familial, le transport, le versement de subventions publiques de toutes ces populations exogènes qu'il est de notre devoir d'accueillir sur le sol national au nom du principe, désormais constitutionnel, de FRATERNITÉ !.
Alors, puisque Moussa DARMANIN, Eric DUPONT MORETTI, le "syndicat de la magistrature" et les partis de la NUPES, unis comme jamais, ont désigné les quelques dizaines de jeunes et pacifiques identitaires comme les ennemis publics du pays, pourquoi ne marquerais-je pas, moi aussi, la singularité de ma pensée révolutionnaire ?
Lors de l'une de leurs prochaines manifestations aux frontières, je nourris le rêve - à la tête des milices "black blocs" cagoulées de "noir" -  de mener une croisade violente "contre le fascisme, l'extrême droite, le racisme, l'homophobie, le patriarcat, et pour le féminisme, le droit de vote aux élections locales et nationales pour tous les étrangers installés en France, la Gestation pour Autrui, le mariage à l'Eglise des couples homosexuels, l'euthanasie des personnes âgées, la totale liberté sexuelle, la dépénalisation des ventes et usage de stupéfiants, et toutes ces valeurs si positives à gauche", à visage découvert pour que les médias puissent bien m'identifier ! C'est consciemment que j'exclus l'antisémitisme et la pédophilie, tant je sais combien ces thèmes sont populaires parmi les populations dont je vise le partage du vote avec MELENCHON.
Après tout, les "black blocs" savent que je suis leur indéfectible allié : lors de leur mouvement séditieux contre le transfert de l'aéroport de Nantes à Notre Dame des Landes, n'étais-je pas allé jusqu'à organiser un référendum auprès de la population du département pour recueillir la "vox populi" et n'avais-je pas affirmé que l’État exécuterait le verdict des urnes ? Et bien, malgré le "oui" massif en faveur du transfert, je n'avais rien fait, humiliant l'Etat en son pouvoir régalien et lui faisant perdre autorité et crédibilité ; je m'étais couché à plat ventre devant les "zadistes" qui avaient eu gain de cause sur toutes leurs exigences, jusqu'à transformer la paisible ville de Nantes en la première cité européenne trotkiste-lambertiste, marquée par le chaos d'un état de révolution et de désordre permanents.
Donc, s'ils sont cohérents avec eux mêmes, les "zadistes" et autres "black blocs" révolutionnaires doivent reconnaître qu'ils ont remporté cette victoire majeure contre l'autorité de l’État par ma seule lâcheté et me doivent donc une revanche. Mais pour l'exercer, encore faudrait-il que les identitaires, déjà si peu nombreux, et décimés par la répression menée à leur encontre par DARMANIN (Moussa !) et ACQUITATOR, soient en mesure de manifester, ce dont tous les spécialistes doutent !

Regrettable pourtant, car la RÉPUBLIQUE DES JUGES me reconnaîtrait comme un vassal loyal,  fidèle et obéissant (bien que j'ai ainsi qualifié cette institution : Cette institution, qui est une institution de lâcheté... Parce que c'est quand même ça, tous ces procureurs, tous ces hauts magistrats, on se planque, on joue les vertueux... On n'aime pas le politique. La justice n'aime pas le politique...), et JULIE serait fière de moi ?

Et nous pourrions continuer à voir dans nos rues le spectacle fascinant, coloré et exotique d'une nation généreuse et ouverte à autrui au point de se perdre elle-même et de se détruire ! 

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