Remise des prix du "Fennec d'Or" au Festival d'ALGER 2025

"Je suis venu à Alger pour porter le message du Président de la République : nous devons tourner la page des tensions pour reconstruire un partenariat d’égal à égal, dans l’intérêt de nos deux pays. Nous reprenons notre coopération dans tous les domaines."

Il ponctuait par ce communiqué le cycle troublé d'une crise diplomatique aiguë entre les deux états, qui avait connu son apogée après la lettre adressée par Président de la République au Roi du Maroc, le 27 juillet 2025, à l'occasion de ses vingt-cinq ans de règne, reconnaissant la "marocanité" du sahara occidental, revendiqué par ailleurs par l'Algérie. Pour la punir de son "crime", la dictature algérienne retirait de FRANCE son ambassadeur et prenait en otage un grand écrivain de langue française, de nationalité franco-algérienne, au seul motif qu'il évoquait dans un de ses ouvrages la "marocanité" historique de l'ouest algérien !
Dans la mesure où son état civil flottant (non établi) le fait osciller entre 75 et 80 ans et qu'il souffre d'un cancer, la prise du régime totalitaire est donc magistrale ; elle situe à son juste rang le dirigeant d'une dictature totalitaire militaire qui, après avoir réintroduit un couplet antifrançais dans l'hymne, s'est couvert de ridicule lors du forum économique de Saint-Pétersbourg au mois de Juin 2023, en déclarant devant le Chef du Kremlin embarrassé par tant de flagornerie, digne d'un Jean-Michel APHATIE : «Poutine est un ami de l'humanité».

 

 

Si tant d'adulation gêne par son outrance l'hôte russe, la lâcheté servile du dictateur algérien séduit par sa démesure le plus haut niveau de l’État français, dont la soumission à son ancienne colonie est totale depuis la prise de pouvoir progressiste en 2012, et l'installation de Benjamin STORA à la tête de la diplomatie française, avec la mise en place de "la politique dite de repentance, du paillason et du baisser de pantalon !".
Bozo le Clown 🤡 avait initié par son discours devant le Parlement algérien, lors d'un déplacement officiel, le 22 décembre 2012, cette "diplomatie" dont le texte est du pur STORA, dont il reprend toutes les obsessions :

"Pendant 132 ans, l’Algérie a été soumise à un système profondément injuste et brutal, ce système a un nom, c’est la colonisation, et je reconnais ici les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien. Parmi ces souffrances, il y a eu les massacres de Sétif, de Guelma, de Kherrata, qui, je sais, demeurent ancrés dans la conscience des Algériens, mais aussi des Français. Parce qu’à Sétif, le 8 mai 1945, le jour même où le monde triomphait de la barbarie, la France manquait à ses valeurs universelles. La vérité, elle doit être dite aussi sur les circonstances dans lesquelles l’Algérie s’est délivrée du système colonial, sur cette guerre qui, longtemps, n’a pas dit son nom en France, la guerre d’Algérie. Voilà, nous avons le respect de la mémoire, de toutes les mémoires."

"Son épigone, sa créature, son fils prodigue, son assassin d'un coup de dague dans le dos pour prendre sa place, bien qu'ils partagent - outre une ambition et une soif de pouvoir démesurées - la même vacuité de vue ou de projet pour l'avenir du pays - jura, dès la campagne présidentielle 2017, son allégeance aux principes défendus par STORA, dans une célèbre déclaration à la télévision algérienne :

"La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie. Et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face, en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes. "

Qu'il réitéra à l'envie lors de son voyage officiel de juin 2022, justifiant les vieillards septuagénaires et octogénaires cacochymes héritiers du FLN, qui confisquent entre leurs mains depuis 1962 tous les pouvoirs manipulant les élections, et "neutralisant" les opposants politiques, au mépris les aspirations démocratiques du peuple, pillant les immenses richesses naturelles du pays pour se bâtir d'indécentes fortunes aux dépens d'une population misérable, en attribuant leurs échecs et leur corruption à l'ancien colonisateur. A tel point que le président français - dans un miraculeux et tellement rare moment de lucidité en 2021 - avait taxé "de rente mémorielle», entretenue par «le système politico-militaire".
Mais STORA, en bon commissaire politique gardien impitoyable du dogme, remit prestement de l'ordre et fit déclamer à sa marionnette la position officielle française, qui peut être ainsi résumée : "L'Algérie a tous les droits, même celui de refuser d'appliquer les traités internationaux signés avec la France ; l'ancien colonisateur continuera a être la vache-à-lait financière de la dictature, à lui verser des sommes indécentes au titre de la coopération (alors que l'Algérie a rétrogradé l'enseignement du français dans les écoles), à accueillir sans limites les citoyens algériens soucieux de bénéficier des innombrables avantages sociaux et de la gratuité des soins que leur pays ne peut leur donner, à exfiltrer les malades mentaux dangereux dont l'Algérie souhaite se débarrasser, à fournir des avantages hors normes à ses élites qui peuvent voyager sans visa en France et bénéficier de soins dans les plus grands centres médicaux qu'ils ne paient jamais ; et, désormais, à tolérer que l'Algérie continue à jouir d'un privilège d'extra-territorialité qui autorise le gouvernement algérien à enlever, réduire au silence, voire neutraliser par l'entremise de sa police politique sur le territoire français ses opposants, même détenteurs du statut de réfugié politique. L'Algérie quant à elle, n'a nulle obligation envers son ancien colonisateur, et peut refuser de reprendre ses citoyens dangereux auteurs de crimes et délits en France, qui font l'objet d'une mesure d'éloignement, tout en menant une politique systématiquement hostile pour l'humilier et le ridiculiser sur la scène internationale.

Par l'habileté de sa politique diplomatique progressiste, la FRANCE a réussi en quelques année à se faire expulser et haïr de tous les états de son ancien empire colonial en Afrique sub-saharienne (Mali - Niger - Burkina-Faso - Gabon - Tchad - République Centrafricaine - Sénégal), cédant toutes ses positions, à une Milice paramilitaire russe, WAGNER, instrumentalisée par le "tsar" de Russie. A la demande de ces états, elle entretenait pourtant sur place une force militaire conséquente qui s'était opposée victorieusement à leur conquête par les islamistes, au prix du sacrifice de 52 de nos jeunes soldats, morts au combat pour rien, par l'impéritie des gouvernants progressistes.
D'abord opposée au Maroc sur la question du Sahara Occidental, c'est donc désormais avec l'Algérie que le sémillant Président français entrait en conflit (l'Algérie rappelant son ambassadeur et rompant tout contact avec la France) ce qui, après huit ans de pouvoir continu, donnait un aperçu de l'efficacité de la diplomatie française. Sous direction progressiste, elle avait perdu toutes les positions acquises par des siècles d'investissement acharné et de vies sacrifiées, mais également s'était totalement décrédibilisée en humiliant le pays par un comportement insolite et réprouvé moralement du Chef de l'Etat, dans sa vie personnelle rythmée par les ombres lgbt   , transgenres ; et l'omniprésence obsédante de "drag queens"  , (comme la "cérémonie" d'ouverture des Jeux Olympiques en constituait l'illustration la plus aboutie), pénalement et religieusement réprouvés par les pays de droit musulman.

A l'occasion du festival du Fenech d'Or d'Alger, l'organe presse officiel de la dictature militaire algérienne, le célèbre "El Moudjahid" a rendu un hommage solennel et émouvant, dans sa UNE, aux plus méritants et actifs de ses agents activistes en France, qui exercent une réelle influence sur le gouvernement et le peuple français.
Le palmarès a été publié officiellement par l'organe officiel du "FLN", le quotidien "EL MOUDJAHID", le 22.03.2025, sous la plume de Hasna Yacoub : au nombre des lauréats, on trouve bien entendu les "anti-France" militants, ceux qui n'ont d'autre finalité politique que de détruire la Nation, la République, et transformer la population française en un "patchwork" créolisé dirigé par un GUIDE SUPREME, un CHEF non élu de droit trotskiste, en la personne de Jean-Luc MELENCHON (alias "Santerre"), flanqué de ses deux habituels ectoplasmes, le madré Manuel BOMPARD, et la marchande de poissons du Vieux-Port, Mathilde PANNOT.
Mais également Dominique GALOUZEAU DE VILLEPIN, le "brillant technocrate" issu de la même promotion énarchique que Bozo le Clown 🤡  et Ségolène ROYAL, qui mena une brillante carrière politique dans un camp qualifié "de droite fasciste" par la presse progressiste, occupant les postes prestigieux de Secrétaire Général de l'Elysée aux côtés du Président CHIRAC auquel il conseilla - avec le succès que l'on sait - la dissolution de l'Assemblée Nationale en 1997, puis successivement les postes de Ministre des Affaires Etrangères, puis de Premier Ministre pour présenter sa candidature à l'élection présidentielle de 2007 et d'être terrassé par Nicolas SARKOZY.
En retrait de la vie publique quelque temps pour bâtir une immense fortune en tant que "Conseiller" des monarchies pétrolières du Golfe, et notamment du QATAR, le voici ressuscitant, lancé dans une fougueuse charge où il tente de réaliser l'alliance réputée impossible de la carpe et du lapin : "en même temps" dirait o'Micron, transfiguré sous les oripeaux de l'ultra-gauche militante, se présentant en rival de MELENCHON pour la présidentielle de 2027, vedette américaine de la "Fête de l'Humanité", tout en brandissant le drapeau de l'islamisme le plus rétrograde, porteur des valeurs répandues par ses financiers du golfe, qui lui garantissent des revenus illimités pour sa prochaine campagne. L'article de l'organe du FLN, "El Moudjahid" 

• En vedette de cette liste, on retrouve, évidemment, l'incontournable et indispensable Benjamin STORA, alias "Truffaut", Grand maître et commissaire politique de la secte trotkiste-lambertiste, agent infiltré qui a su présider à la migration tous les adhérents de ce micro-parti au sein du Parti Socialiste en 1986, dont l'invasion leur avait été préparée par le premier secrétaire, Lionel JOSPIN, alias "Michel", lambertiste lui-même, à partir duquel ils ont pu conquérir toute la hiérarchie socialiste, au point d'en prendre le contrôle total (Harlem DESIR, Jean-Christophe CAMBADELIS - alias "Koskas" ) puis occuper des places importantes dans les gouvernements progressistes d'où ils ont pu infiltrer totalement justice civile et administrative, presse et audiovisuel, état profond par le contrôle des cabinets ministériels, etc ... S'il fut persécuté par SARKOZY, STORA a obtenu sa revanche avec les progressistes Bozo le Clown 🤡 et o'Micron, puisque, s'il a dédaigné le poste trop voyant et exposé de Ministre des Affaires Étrangères, il dicte totalement la politique étrangère française et téléguide la soumission des présidents progressistes français à l'Algérie.
• Ségolène ROYAL, ancienne compagne trompée de Bozo le Clown 🤡 et mère de leurs quatre enfants, ancienne ministre, ancienne candidate socialiste à la présidence de la République (2007), ancienne compagne de promotion de l'ENA de Dominique DE VILLEPIN, chroniqueuse TV de Cyril HANOUNA et de toutes émissions et chaînes où l'on veut bien la recevoir : si nul ne prête plus guère attention en FRANCE à ses discours provocateurs pour créer le "buzz" et repousser autant que possible sa chute dans l'anonymat, la propagande officielle algérienne rapporte fidèlement ses ratiocinations de politicienne amère et déçue, tentant en désespoir de saisir le "flambeau" et le leadership du combat contre les idées de la droite française :
  

  "La guerre d'Algérie a été une atrocité qui a détruit tout ce que ce pays avait de bon avant que les Français ne l’occupent" ; "L’Algérie c’était une grande civilisation, il ne faut pas oublier ça, quand on les entend on a l’impression que la France est arrivée et a trouvé des sauvages ! Pas du tout, il y avait une grande civilisation algérienne, il y avait une culture, un développement économique, des structures familiales et villageoises, tout cela a été brisé, broyé par cette effroyable guerre d’Algérie" ; "Nous avons une dette morale envers l’Algérie, car le colonialisme a été brutal, et la fin du colonialisme a été difficile aussi" ; "c’est pourquoi nous ne devons pas oublier l’ampleur des catastrophes que nous avons causées en Algérie, car ce pays possédait plusieurs richesses dont les entreprises françaises se sont nourries."

• David GUIRAUD, député LFI  pro-islamiste de Roubaix, violemment antisémite : il s'est fait connaître médiatiquement dès 2022 en soutenant - à des fins électorales - les menées des islamistes à Roubaix ; puis, la même année, s'être élevé contre l'expulsion de l'imam salafiste Hassan Iquioussen, qualifié de « dévoiement de l'État de droit » ; avoir encouragé, à l'été 2024, les émeutes contre l’État, dont il rend responsable la Police républicaine ; justifié les assassinats, viols, enlèvements du Hamas lors de l'attaque du 7 octobre 2023 en établissant un parallèle avec l'attaque contre les camps de SABRA et CHATILA au LIBAN en 1982 ; accusé publiquement dans une émission TV tunisienne les services secrets israéliens d'avoir mis en scène la découverte dans des fours des foetus d'enfants israéliens arrachés au ventre de leurs mères assassinées et éventrées ; et d'avoir traité, en direct à la TV, de "gros porc" le député LR MEYER-HABIB, représentant des français en Israël avec toute l'ignominie dont l'emploi de ce terme est porteur pour un élu de religion juive !

   

 

• et l'idiot de service, Jean-Michel APHATIE, que le Président TEBBOUNE traite lui-même avec mépris, de "grand, très grand journaliste ! C'est vrai que ses divagations en tant que chroniqueur sur RTL accusant la FRANCE d'avoir commis l'équivalent de "cent Oradour-sur-Glane" lors de la conquête de l'Algérie et d'avoir inspiré les méthodes de torture adoptées plus d'un siècle plus tard par les SS NAZIS ne pouvaient qu'enchanter les terroristes du FLN algérien au pouvoir !  

"Pour qui roule Mediapart : la face cachée d'Edwy Plenel" de Gilles Gaetner, Fayard Editeur  

Par contre, manque à ce panégyrique de l'horreur et du vice, le personnage central de l'intrigue policière :

• il avait débuté sa carrière "journalistique" militante dans la revue ROUGE en 1972 en se solidarisant, sous son alias trotkiste-lambertiste de "Josef (en hommage à STALINE) Krasny (liberté en russe !), de l'assassinat des athlètes israéliens par les terroristes palestiniens du JO de MUNICH 
• puis en sapant les anciens socialistes du Parti Socialiste pour faciliter la promotion des trotkistes-lambertises au sein de la hiérarchie (affaire des irlandais de Vincennes, attentat des services secrets contre le "Rainbow Warrior" dans le port d'Aukland, où il obtient la tête des dirigeants francs-maçons menés par le ministre des armées, Charles Hernu) [l'histoire a révélé que ses informateurs, ses "gorges profondes" au sein des cabinets du gouvernement étaient les ambitieux François Hollande et sa compagne Ségolène Royal],
• En mai 1993, lors des obsèques de Pierre BEREGOVOY, ancien premier ministre dont l'honneur avait été sali par une campagne de presse lui reprochant d'avoir bénéficié d'un prêt (remboursé) de la part d'un ami, le Président François MITTERRAND, dans son discours d'adieu au cimetière, aura ces paroles fameuses à l'adresse de la meute médiatique menée par PLENEL :

  « Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme et finalement sa vie, au prix d'un double manquement de ses accusateurs aux lois fondamentales de notre République, celles qui protègent la dignité et la liberté de chacun d'entre nous »

• En 2003, il téléguide depuis le journal LE MONDE l'ignoble campagne médiatique contre l'ancien Maire de Toulouse, Pierre BAUDIS, alors Président du CSA, accusé de s’être livré à des scènes de torture sur des prostituées, alors que, là encore, tout était faux comme l'enquête le démontrera, ourdie par des journalistes malveillants opposés à l'homme politique. Le pauvre homme ne s'en remettra jamais et décédera prématurément ! PLENEL quant à lui, ne sera même pas poursuivi par ses complices magistrats !
• En 2003 toujours, il instruit toujours depuis la UNE du MONDE, avec la complicité d'Eva JOLY, célèbre seconde dauphine de Miss Norvège 1962, propulsée Magistrat par une voie difficile à définir, la fameuse "affaire ELF" qui verra l'implication d'amis proches non trotskistes de François Mitterrand (LE FLOCH PRIGENT - Roland DUMAS), PLENEL aura ces paroles définitives lorsque le Cour d'Appel aura relaxé l'ancien Ministre des Affaires Etrangères et Président du Conseil Constitutionnel des accusations portées à son encontre :

  "la justice proclame Roland Dumas non coupable. Elle ne dit pas que tous ses actes furent innocents"
  Elle résume parfaitement le sens de l'enquête et de vérification des sources du journaliste militant et activiste trotskiste

• puis en détruisant SARKOZY (le plus grand ennemi de l'infiltration des trotkistes-lambertistes) avec la complicité du Parquet National Financier, crée bizarrement par son informateur HOLLANDE et uniquement constitué de magistrats du "Syndicat de la Magistrature", avec successivement les affaires BETTENCOURT, l'affaire BISMUTH-AZIBERT où le Syndicat trotskyste légalise l'écoute des conversations avocats-clients, et désormais l'affaire des financements libyens, où le PNF trotskiste requiert une peine de 7 ans de prison ferme, la suppression des droits civiques et même des droits familiaux.
• Constatons que PLENEL a décidé, sans poursuites pendant des années, de fixer lui-même le taux de TVA de son média MEDIAPART, et que lorsque le ministère des finances l'a enfin poursuivi tant le scandale était évident, le Président Bozo le Clown 🤡, son grand ami - informateur, officier traitant et éternel complice et manipulateur - lui a proposé de faire voter une amnistie pour la peine de 1,4 million d'€ qui lui était infligée !