Jeudi 1 décembre 2022, à l'issue du dernier match de poule qualificative, l'équipe de football du Maroc (alias "Les Lions de l'Atlas") remportait son match de poule contre le Canada sur le score de 2 : 1 et parvenait ainsi, pour la première fois de son histoire, à se qualifier pour les 8èmes de finale du Championnat du Monde.
Selon un processus expérimenté et devenu usuel en FRANCE, à l'occasion de toute victoire d'une équipe maghrébine dans un championnat international, des hordes se ruaient dans les rues des grandes métropoles belges, pour crier leur joie, - ce qui est bien naturel -, mais aussi pour dégrader et brûler les biens publics, piller les commerces, arracher et souiller les drapeaux nationaux des pays d'accueil,
notamment à Bruxelles et Anvers. Seulement 18 interpellations pour ces comportements intolérables, qui choquaient le pays, précédemment victime d'attentats terroristes islamistes et dont l'ordre public et la sécurité des habitants sont fréquemment menacés par cette population étrangère qui vit à leurs dépens, sur leur sol.
Comme nos voisins et frères belges, et peut-être plus qu'eux, nous subissons ce genre d'agissements, conclus bien trop souvent par la mort d'innocents qui avaient le tort de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment lors de ces "triomphes" improvisés.
Le 20.07.2019, l'équipe nationale d'Algérie, "les Fennecs", remporte pour la seconde fois de son histoire la Coupe d'Afrique des Nations, au terme d'un match insipide contre le SENEGAL, obtenu par un but contre son camp d'un défenseur, sur le score de : 1 - 0.
Aussitôt, dans toutes les métropoles françaises, les millions d'algériens hystérisés par ce résultat, se précipitent dans les rues : logés, nourris, entretenus, scolarisés, soignés aux frais du contribuable français, mais algériens de coeur éduqués dans la haine de l'ancien colonisateur et de sa religion traditionnelle, ils envahissent les rues pour éructer leur joie, en brandissant le drapeau national algérien ; ils s'affrontent dans d'invraisemblables gymkhanas automobiles (parfois donnant lieu à des accidents mortels où périssent des promeneurs innocents !), incendient, dégradent les biens publics, pillent les commerces, pour se retrouver sur les places centrales des villes où sont brûlés et foulés au pied les drapeaux nationaux français arrachés du fronton des Mairies.
Lors de la célébration de la victoire en demi-finale à Montpellier, le 11 juillet, une mère de famille et ses deux enfants étaient fauchés par la voiture d'un supporter algérien qui s'amusait ; la mère est décédée sur le coup, son enfant de un an est polytraumatisé et sa fille de 17 ans blessée à la cheville ; le même jour à Tours, ce sont les drapeaux français sur les bâtiments municipaux qui font l'objet de ces actes gratuits.
Le 19 juillet 2019 dans la soirée, avant la finale, un jeune et brillant chercheur guinéen, le Dr Mamoudou Barry, âgé de 31 ans, fierté de la faculté de Rouen, venu paisiblement chercher son épouse accompagné de sa fille à un arrêt de bus, est agressé verbalement puis physiquement aux cris de : "Vous, les sales Noirs, on va vous niquer. On va vous niquer vos mères !" ; blessé à la tête, il décède sans avoir pu être réanimé suite à cette agression.
Ici, dans la paisible cité d'EVREUX, c'est la statue en bronze du Gal-de-Gaulle récemment érigée par les pouvoirs publics municipaux, qui est d'abord revêtue du drapeau algérien puis violemment arrachée de son socle, amputée de ses pieds, et endommagée. Colère bien compréhensible puisque le Gal-de-Gaulle est certainement coupable à leurs yeux d'avoir accordé son indépendance à l'Algérie en 1962 ! Mais, à l'évidence, ils ne l'ont appris ni à l'école de la République progressiste, ni à l'école coranique.
Ces troubles insupportables à l'ordre public feront bien entendu l'objet de la censure des médias français ; les incidents et dégradations sont minorés, évoqués incidemment pour se réjouir de la joie immense de la communauté algérienne, si nombreuse et turbulente dans notre pays. Toutes les voix qui s'éleveront pour dénoncer ces dégradations et ces morts d'innocents subiront le flot d'insultes habituel : fascistes, racistes, islamophobes, etc ... Pourtant en Algérie, les supporters ont fêté naturellement et très dignement cette victoire en sortant dans les rues, mais ces manifestations n'ont donné cours à aucun débordement à l'ordre public ni dégradation de biens.
Plus que la victoire de leur équipe nationale, c'est donc bien le mépris de la France, la volonté de l'humilier encore et toujours en démontrant qu'ils sont chez eux et qu'ils font ce qu'ils veulent, que ces drôles de "supporters" ont fêté dans nos métropoles ; le pouvoir exécutif, conformément à sa sensibilité trotkiste ne montrera que lâcheté, soumission, et complaisance devant ces comportements délictuels ou criminels, compréhension pour leurs auteurs, aveuglement et déni lorsqu'ils sont confrontés aux réalités vécues par les français.
D'après un garde-des-sceaux célèbre pour sa défense des criminels les plus indignes du pays, qui l'ont surnommé "acquittator" en raison des succès remportés en faveur des plus infâmes d'entre-eux, (par ailleurs lui-même mis en examen pour "prise illégale d'intérêts" dans sa fonction ministérielle mais toujours solide à son poste), "le sentiment d'insécurité, c'est de l'ordre du fantasme" puisque "l'ensauvagement dénoncé n'est qu'une surenchère populiste ! ".
Pourtant, à la seule vue des centaines de milliers de personnes descendues dans les rues de toutes les grandes et moyennes villes françaises en brandissant fièrement le drapeau algérien, il faut être des démographes aussi sectaires et politisés de gauche extrêmiste qu'Hervé LE BRAS (tendance Melenchon - Hamon) ou Emmanuel TODD, honnis par tous les chercheurs sérieux mais qui, grâce à l'appui sans faille des gouvernements progressistes et des médias qu'ils entretiennent avec l'argent public, règnent sans partage sur l'INED, au point d'harceler physiquement et perturber la carrière de chercheurs dénonçant leur imposture, pour nier encore que le "grand remplacement" se réalise sous nos yeux. C'est pour cette raison évidente qu'ils s'opposent au principe des "statistiques ethniques", dont la publication ridiculiserait tous leurs travaux viciés dès l'origine par leur parti-pris idéologique ! Donc, pour les médias progressistes subventionnés ("le Monde", "Libération", "l'Obs", "France Television", "Radio France", etc ...), faute d'outils statistiques fiables, puisque interdits par la loi, il faut considérer comme incontestables les éléments de parole sujectifs dictés par LE BRAS pour la communication officielle : " le grand remplacement est un mythe trompeur !" ourdi par l'extrême-droite !. Fermez le ban !
Donc, tout va très bien, Madame la Marquise, dans notre chère FRANCE, ce doux pays de cocagne si accueillant et bienveillant pour toute la misère du monde. La dissolution, la submersion et l'éradication de toutes les valeurs qui ont forgé notre pays et sa civilisation, peut se poursuivre sans inquiétude puisque exécutif progressiste, ses bras armés médiatiques pour le lavage des cerveaux et judiciaires pour la neutralisation des rebelles sont tous contrôlés et mus par la même idéologie !
En souvenir des glorieuses productions des supporters des équipes maghrébines au Stade de France, du moins ceux issus de l'immigration, à l'occasion des rencontres amicales conçues par les organisateurs comme fraternelles, pacifiques et festives. Face à la lâcheté de l'exécutif français, à l'absence totale de réaction sérieuse et au déni de réalité en refusant de voir la situation, la situation bien entendu n'a fait qu'empirer depuis !
De même nature que l'ordre donné à la Police de ne plus entrer dans "les territoires perdus de la République" avant les élections pour éviter tout incident, la décision de ne plus recevoir ces équipes était censée régler le problème ; si de telles rencontres ne sont désormais plus organisées, le principe de réalité démontre que les "supporters" sont bien là, et que leur nombre s'accroît de manière exponentielle malgré les analyses savantes de Mr LE BRAS et ses excommunications contre toutes conclusions n'allant pas dans le même sens.