"La grande Repentance"

"Mémorial du martyr" à Alger, où il est indispensable pour un responsable progressiste français de venir se soumettre par un acte de repentance médiatisé pour s'attirer les faveurs du vote musulman

bouteflika

En souvenir de cette journée déshonorante du 20 décembre 2012, gravée à jamais dans l'histoire comme celle de "LA GRANDE REPENTANCE", cette "HONTE INFAMANTE" qui ne sera surpassée une décennie plus tard que par l'action du "SUCCESSEUR", le fameux "DANSEUR DE CLAQUETTES" progressiste, ainsi qualifié par F.O.G, l'ami de "tous" les Présidents.

 

Repentance1Pour remercier le Gouvernement algérien de son aide et de son soutien lors des élections présidentielles de mai 2012, rendre grâce à la communauté maghrébine immigrée en France de son vote massif en sa faveur, le nouveau Président de la République Française en voyage officiel, après avoir tenu un discours devant les députés algériens réunis au "Palais des Nations",  reconnaissant « les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien », « les massacres de Sétif, de Guelma et de Kherrata » qui « demeurent ancrés dans la mémoire et dans la conscience des Algériens », "les crimes immenses de la France contre l'Algérie durant les 130 années de la colonisation" 

Justificatifs du réquisitoire : par le courage et le labeur des populations européennes souvent exilées contre leur gré en Algérie - les néo-colons avaient peuplé et fondé ce pays qui n'existait pas, l'avaient civilisé et urbanisé, institué une éducation nationale et un service de santé performants au service de tous ses habitants, avaient crée dans ce désert les structures d'un état moderne avec des cités reliées par des réseaux routiers et ferrés développés, l'avaient structuré et enrichi d'un tissu économique prospère fondé sur une agriculture productive, une industrie active, la découverte et la mise en exploitation des riches ressources de son sous-sol en pétrole et en gaz naturel, l'avaient ouvert à la démocratie et posé des règles d'une vie sociale apaisée, permettant aux différentes communautés de vivre ensemble harmonieusement, tout en pratiquant librement leur propre religion dans le respect commun).

 Ce texte historique était l'oeuvre de Benjamin STORA, classiquement issu de la filière trotkiste-lambertiste des années 70, devenu militant socialiste sous MITTERRAND, et installé sur le trône officiel d'historien activiste progressiste très médiatique, ambassadeur et ministre plénipotentiaire du FLN en France, conseiller de l'ombre de tout Président de la République socialiste qui se respecte ; il reprenait l'habituelle logorrhée diarrhéique "révolutionnaire" dictée par le régime soviétique à ses vassaux, dogme servant de viatique aux terroristes du FLN, qui par la terreur et la répression confisquent tous les pouvoirs en Algérie, pour mieux s'enrichir personnellement en pillant et en détournant les richesses d'une nation acculée à la misère et la pauvreté. Avec leur plein accord et sur leur suggestion, les progressistes "hollandais" en vinrent ainsi progressivement à qualifier cette action civilisatrice  de "crime contre l'humanité".

Après cette trahison, c'est une nouvelle humiliation qu'il infligeait à la Nation qui venait de l'élire à sa tête, à la tradition gréco-latine dont elle est issue, à la religion catholique qui en a forgé le socle moral : en signe de soumission de "la fille aînée de l'Eglise" aux islamistes dépositaires de la religion mahométane la plus rigoriste, c'est nu, avec un pagne de laine spécialement teint aux couleurs LGBT autour des hanches, le front ceint d'une couronne d'épines de roses en sucre, portant sur ses frêles épaules endolories une croix factice en chocolat, qu'il s'était rendu - accompagné par le sourire moqueur du Président de la République Populaire d'Algérie sur la Place de la Libération à ALGER où il faisait à dix reprises le tour du "Mémorial du Martyr" érigé en 1982 en mémoire des victimes de la guerre de Libération, (ceux qui avaient égorgé des colons européens esseulés, leurs femmes et leurs enfants, éviscéré les femmes enceintes pour sacrifier les enfants qu'elles portaient, placé des bombes dans des endroits publics pour tuer le plus possible d'innocents, avant que les "parachutistes" commandés par le Gal MASSU ne leur règle définitivement leurs comptes lors de la fameuse "bataille d'Alger", puis que le gouvernement socialiste ne capitule lâchement face à l'ennemi réduit par les armes et anéanti !) pour demander pardon au peuple algérien et se repentir de l'action civilisatrice de la France et du sacrifice de ses enfants en sa faveur.

Il était accompagné durant toute la durée de son "repentir" des trompettes du cirque BOZO qui interprétaient, avec émotion et recueillement, l'air célèbre des "Gladiateurs". Ainsi sont les socialistes français qui déclenchent des guerres inutiles, puis trahissent et capitulent après que nos armées victorieuses aient vaincu l'ennemi au prix de la vie de jeunes français fidèles à leur Patrie, leur idéal et leur devoir.

La démonstration d'excuse et de repentance était écoeurante, dégradante, déshonorante par sa petitesse et la gifle infligée à la Nation ; dès 2015, pour honorer son quinquennat et la pertinence de sa politique étrangère, des centaines de morts innocentes allaient joncher les rues de Paris, Nice et tant d'autres villes de France en signe d'allégresse islamiste pour l'humiliation infligée par son Président socialiste au peuple français face aux représentants d'un gouvernement autoritaire anti-démocratique reposant sur la tyrannie terroriste, le pillage de l'Etat pour l'enrichissement personnel de ses élites cooptées dans le cercle étroit d'un «système politico-militaire» unifié par son intérêt en terme de pouvoir et d'enrichissement personnel autour d'une "rente mémorielle" anti-française.

 

Repentance, soumission, humiliation, ridicule, tels sont les ressorts de ma politique étrangère !

 

"Memorial des Martyrs" à ALGER, dernière station à la mode où les membres de la "jet-set" progressiste se précipitent pour être filmés honorant les assassins des 27800 militaires français tués, des 1000 disparus, des 2788 civils assassinés et des 875 disparus.

 

 

burkina
L'histoire retiendra que c'est sous le mandat d'un jeune Président épris de progressisme et sous l'emprise de conseillers activistes trotkistes-lambertistes que la France, après avoir sacrifié 58 de ses soldats dépêchés à l'appel des gouvernements locaux pour stopper l'avancée des groupes terroristes islamistes, a ignoblement perdu ses positions dans ses anciennes colonies d'Afrique de l'Ouest d'où elle a été expulsée par des "putschistes" locaux, grotesques marionnettes actionnées par la milice poutinienne russe Wagner, sans autre réaction qu'une acceptation servile et un spectaculaire baisser de pantalon.