L'offensive de "reconquête" menée depuis le mois de juin 2014 par le nouveau service de communication de FLANBY fut potentialisée à l'excès par l'émotion des français, adroitement manipulée, comme d'habitude par les médias du régime ; d'autant que la communication officielle de l'Elysée parvint avec l'appui des médias subventionnés à user et abuser avec indécence de cette catastrophe,
à la prendre en otage au bénéfice d'un seul parti, pour en faire ses choux gras et rebondir dans l'opinion.
Ce procédé inique et malsain, typique des principes et de l'esprit pervers du personnage qui en tire les ficelles, eut cependant pendant un mois des résultats dépassant toutes les espérances au nom d'un "esprit du 11 janvier", annexé à des fins sectaires par un parti qui s'en autoproclama l'unique détenteur et défenseur, mis à toutes les sauces et sur lequel l'exécutif veut "surfer" jusqu'aux prochaines échéances électorales.
Mais si les braves électeurs, toujours naïfs et invariablement bien disposés envers ceux qui ne leur retournent que leur infini mépris en les manipulant et en les qualifiant de "sans dents", sont toujours sensibles à ces rideaux de fumée, le sens mystérieux de prescience que possèdent les animaux les immunise contre ces dérives et démontre qu'ils ne sont pas dupes pour leur part :
- Lors de la marche pompeusement qualifiée de "républicaine" du 11 janvier 2015 (mais les républicains ne partageant pas la volonté hégémonique des marxistes, léninistes et autres trotkystes délinquants du PS (Cambadelis - Desir - Le Guen - Dray) étaient par avance exclus alors que Julie Gayet bénéficiait d'une garde d'honneur prétorienne des pédérastes d'Act-Up et des lesbiennes ukrainiennes Femens), une colombe inspirée par je ne sais trop qui vint déposer une fiente bien moulée sur l'épaule de FLANBY, alors qu'il roulait une pelle au "social-traitre" Patrick PELOUX, barbouze pseudo syndicaliste infiltrée à la tête des Internes pour contrarier l'action des syndicats généralistes de Médecins en grève.
- Le 5 février 2015, lors d'une énième conférence de presse à l'Elysée pour ne rien dire comme d'habitude, sinon prolonger à l'infini le fameux "esprit du 11 janvier", une mouche à merde (scatophage du fumier en l'occurence !) vint prendre place sur son perchoir préféré, au milieu du front présidentiel tant les paroles qui sortaient de la bouche de l'élu lui semblaient plus pestilentielles et délectables que les habituelles latrines élyséennes.
Et encore une fois, presse internationale et même journalistes subventionnés aux ordres purent rigoler ensemble de bon coeur : car la dette augmente toujours, le chômage progresse, le pays est devenu une puissance économique de seconde zone, l'armée mise à toutes les sauces pour les coups de menton et les postures martiales d'un seul homme aux dépens des intérêts du pays est au bord de la rupture avec des effectifs réduits au rôle de variable d'ajustement pour le budget et un matériel obsolète non renouvelé depuis des décennies dont l'emploi met en danger la vie de soldats qui se battent pour leur pays ; Police et Gendarmerie sans cesse détournées de leurs missions sont rabaissés et humiliés par la Magistrature entre les mains d'un syndicat de gauche ultra et d'une Ministre irresponsable qui annihilent tous leur travail au bénéfice des voyous et des délinquants ; les communautarismes gays et lesbiens dirigés par des escrocs pédophiles enrichis du détournement d'héritage de leurs amants triomphent et paradent sur tous les médias et acquièrent, avec les subventions accordées par l'état, toute la presse de gauche en grande difficulté financière ; les groupes médias subventionnés comme CANAL PLUS et ses intervenants "bobos" s'activent en permanence pour détruire l'image d'un ancien président de la république qui pourrait être un rival de leur idole lors de prochaines échéances ; ceux de service public pantouflent dans des chaînes multiples et totalement inutiles sans autre but que d'agresser les opposants au régime qui ne bénéficient d'aucun droit de réponse alors que les zélotes du régime ont leur place réservée sur leurs plateaux en permanence pour déverser leur fiel ; des comédiens sans talent, un pseudo chanteur ex-gloire des courts de tennis, un pédéraste producteur d'émission TV et sa cour de chroniqueurs-tapettes "engagées" bénéficient d'avantages insensés pour exprimer la gloire présidentielle et dire tout le mal qu'ils pensent de ses adversaires ; nous voyons portés aux nues le directeur d'un théâtre subventionné et du nouveau directeur d'un prestigieux festival, tous deux pédérastes évidemment, qui clament la nécessité absolue d'une culture "subventionnée" de gauche dont "les intermittents du spectacle" sont le fondement du régime et dont l'action est infiniment plus utile au pays que les habituelles missions régaliennes de l'état, censées apporter pourtant l'ordre et la tranquillité au pays, tout en le défendant contre ses ennemis extérieurs !