Je veux être un président qui d’abord respecte les Français, qui les considère
LE MARIAGE POUR TOUS
Dès lors qu'avant le départ même de la manifestation contre le "Mariage pour Tous", la Ministre de la Santé avait décrété d'autorité que c'était un échec pour les organisateurs, information reprise d'abondance par tous les médias asservis, (donc la quasi-totalité de la Presse française), il était évident que l'information serait sérieusement dévaluée.
D'ailleurs les quotidiens et hebdomadaires contrôlés par Pierre BERGE et Matthieu PIGASSE titrent sur la Guerre au Mali que mène glorieusement notre UBU ROI, SAPEUR CAMEMBERT promu Généralissime !
Mais ce n'est pas nouveau, puisque dans l'idéologie de nos dirigeants, on ne règle pas les problèmes, on les éradique en les taisant, conformément aux préceptes du Machiavel corrézien, l'ineffable Henry Queille : « La politique n'est pas l'art de résoudre les problèmes, mais de faire taire ceux qui les posent. »..
Et objectivement, peut-on lui donner tort puisque ces manoeuvres cousues de fil blanc atteignent parfaitement leur but, que ces manipulations médiatiques et cette politique du déni, fidèlement servies par les journalistes de gauche (excusez le pléonasme !), a valeur de parole divine et de dogme officiel.
En choisissant de déclencher au moment le plus opportun pour ses intérêts une expédition militaire au MALI, le Chef de l'Etat sait que la Nation va se resserrer autour de lui, lui permettant de remonter dans les sondages, d'oublier quelque temps la faillite économique, l'explosion du chômage et de gommer toute réference à la loi scélérate qu'il est en train d'imposer à la Nation en remerciement du soutien obtenu du Maire de Paris, de Pierre Bergé et du puissant lobby qu'ils animent, fut-ce au prix du sacrifice de la vie de jeunes gens qui ont choisi de servir leur Pays, et d'otages martyrisés, qui ne comptent que bien peu face aux intérêts du lobby gay et de ses débiteurs de la "Gauche" molle.
Sublime triomphe pour celui qui clamait au début de son quinquennat la nécessité de rassembler les français, d'apaiser le climat social et les tensions qui avaient parcouru le quiquennat précédant ; en quelques mois à peine, en imposant dans son autisme des réformes sociétales à la hussarde qui ne répondent à aucune urgence immédiate mais divisent et blessent une partie représentative de l'opinion dans ses croyances et valeurs les plus intimes, celles héritées de leurs parents, il parvient à susciter un climat de haine civile, d'incompréhension et de méfiance réciproques, de terrorisme intellectuel médiatique contre quiconque ne se soumet pas au dogme socialo-gay et à la pensée unique, au point de faire fuir les élites les plus touchées par ses délires !
Muré dans ses convictions maçonniques et mu par un jacobinisme sectaire et antireligieux, le Chef de l'Etat campe en sus sur des positions antidémocratiques, osant nier au suffrage universel le droit souverain de trancher du bien fondé d'une réforme sociétale qui divise profondément les français (depuis Robespierre et Saint-Just, les élites de gauche ont toujours raison, à l'encontre de toute raison et de la démocratie même, quelque soit le nombre de têtes à trancher et le prix à payer pour la société !) .
Ainsi va cahin caha la social-démocratie normale, soumise à des minorités marginales médiatiquement actives, n'hésitant pas à déclencher une guerre pour faire diversion aux problèmes pour lesquels elle ne détient aucune solution !
" La rue du Cirque", pièce de Boulevard
Cette pièce de boulevard fut un épisode grotesque, catastrophique et lamentable ; en sus de le ridiculiser, de saper le peu d'autorité qui lui restait en tant que Président de la République, d'humilier le pays sur la scène internationale, la manière dont il le traita fut la preuve tangible de son incapacité totale à prendre des décisions, même dans sa vie privée !.
Encore une fois, il géra au moyen de l'aphorisme d'Henry Queille :
Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout.
Il fut unanimement qualifié par la gent féminine de goujat et lâche ; mais cela ne l'émut guère.
Il appliqua sa maxime favorite pour régler tous les problèmes,
Mais il ne recueillait plus que 13% d'opinions favorables dans les sondages payés par ses "amis" de la Presse BNP, ce qui est faible pour qui a primis le changement, c'est demain
Episode ô combien humiliant et lamentable qui constitue le marqueur fort d'un quinquennat désastreux, où il gagna de façon définitive son statut de "bouffon de la République".