fool jesterAu fil des siècles, au mépris des acquis de la Révolution française de 1789, en dépit de l'instauration de la République et du régime démocratique, en dépit des principes constitutionnels qui énoncent solennellement "gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple" (préambule de la constitution de 1946), où rappellent : "En France, la seule Cour Suprême, c'est le Peuple" (Gal de Gaulle - 1948), force est de constater que par des coups d'état permanents, sous couvert des principes statutaires et fonctionnels  qui lui assurent une totale irresponsabilité et une absolue impunité face à ses fautes et manquements, l'autorité judiciaire a reconquis les pouvoirs qui lui avaient permis de faire chuter la monarchie à la fin du XVIIIe siècle, et continue à  diriger le pays par la censure des actes de gouvernement du pouvoirs exécutif, ou des lois votées par le pouvoir législatif, dans des domaines infinis dont elle s'arroge "motu-proprio" la compétence, ou bien en éliminant par des poursuites pénales d'exception - conjuguées avec des campagnes de presse de manipulation de l'opinion publique - afin de les éliminer politiquement, les décrédibiliser et les anéantir civiquement - les candidats aux plus hautes fonctions de l'état, dont le projet disconvient à leurs intérêts catégoriels et leur idéologie politique progressiste trotkiste.

En réalité, aucune évolution entre le constat dressé en 1678 par Jean de la Fontaine dans sa fable "Les animaux malades de la Peste" :

Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

Et le réquisitoire prononcé le 13 novembre 2024 par Louise Anna NEYTON, Vice Procureur de la République représentante du Ministère Public devant la 11ème chambre du Tribunal Correctionnel de Paris, dans l'affaire dite des "assistants parlementaires du Front National", visant à éradiquer la candidature de la Présidente de ce parti aux prochaines élections présidentielles :

Je lui accorde le bénéfice du doute. Je ne vous demande pas la relaxe pour autant, parce que ça me fait trop mal

 

bozo-flanby"C'est un malheur du temps
que les fous guident les aveugles"

William Shakespeare -
"le Roi Lear"

 

boztriboulet

 

Naufrages

Ouari Boumedienne " Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord.
Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir.
Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. "

Houari Boumedienne
Président République Algérienne
Assemblée Générale Extraordinaire ONU 10.04.1974

Evidences !

victor

"Je sais que c'est la coutume
D'adorer ces nains géants
Qui, parce qu'ils sont écume,
Se supposent océans ;"
Victor Hugo 1802-1885 : Les Contemplations, 1856

 

finkielkraut125

"L’antiracisme est le communisme du XXIe siècle."
"Plus la diversité est problématique, 
plus vous êtes condamnés à l’aimer
sous peine de racisme."
Alain Finkielkraut, de l'Académie Française

Voix d'outre tombe

ormesson
C’est quand même un phénomène étonnant, 🤡 Hollande. […]
C’est un homme qui est double : il se regarde sans cesse faire.
Et qu’est-ce qu’il fait ?
Pas grand-chose. Il passe son temps à commenter ce qu’il a fait ou ce qu’il n’a pas fait ;"
Jean d’Ormesson, 1925-2017

 

prevert
Quand la vérité n'est pas libre,
la liberté n'est pas vraie
Jacques Prévert, 1900-1977

 

Chronique d'un désastre annoncé

pasolini

Le fascisme peut revenir sur la scène ; il se nommera "antifascisme".

Pier Paolo PASOLINI 1922-1975
Lettres Luthériennes


 

de_gaulle

Les gens de gauche ont rarement de grand projet, ils font de la démagogie. Et se servent des mouvements d’opinion.
La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme ça que l’on a fini dans l’abîme en 1940…..
Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux… Ils gaspillent toujours la plus grande partie des crédits. On ne les a jamais vu dépenser efficacement les crédits… Je n’aime pas les socialistes, car ils ne sont pas socialistes…. Parce qu’ils sont incapables, Ils sont dangereux.

Charles de Gaulle 1890-1970


 

soljenitsyne

"Nous savons qu'ils mentent.
Ils savent qu'ils mentent.
Ils savent que nous savons qu'ils mentent.
Nous savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent.
Et, pourtant, ils persistent à mentir."

Alexandre Soljenitsyne 1918-2008

Le cirque en tournée !

recrutement
En se faisant élire député de la Corrèze sous la bannière NOUVEAU FRONT REPUBLICAIN, après s'être couché devant MELENCHON et CHIKIROU pour mendier leur bénéfiction, BOZO-le-CLOWN devient l'argument majeur de la campagne de recrutement LFI
antipape
La troisième vision des enfants de Fatima prophétisait la fin de la Chrétienté et le martyr de ses élus sous les coups des progressistes l ! Et bien, le Diable est désormais à l'œuvre ! Mieux que le "Mozart de la finance" qui a ruiné et détruit la Nation Française, l'antipape détruit l'Europe et la civilisation judéo-chrétienne sous bannière de la "théologie de la libération" sud-américaine, jésuitique et communiste. Attiser, par des propos irresponsables, les braises d'une guerre civile rampante, dont l'agresseur n'a d'autre but de guerre avoué que d'éradiquer la civilisation de l'hôte qu'il a infesté pour le soumettre par la violence et la terreur et lui imposer sa religion, sa morale, ses règles de vie et son droit, est-ce ainsi que le successeur de Pierre conçoit sa mission terrestre ? C'est valoriser plus encore les sombres prédictions du Président algérien BOUMEDIENNE devant l'Assemblée Générale de l'ONU de Mars 1974 pour exposer le plan de bataille islamiste : Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire !
"Certains traîtres ont une étonnante faculté de se convaincre eux-mêmes de la sainteté de leurs intentions !"
Charles HAMEL : "Solitude de Chair" (1951)

Harangue d'Oswald BAUDOT
Membre fondateur du Syndicat de la Magistrature

Vous voilà installés et chapitrés.
Permettez-moi de vous haranguer à mon tour, afin de corriger quelques-unes des choses qui vous ont été dites et de vous en faire entendre d’inédites.
En entrant dans la magistrature, vous êtes devenus des fonctionnaires d’un rang modeste.
Gardez-vous de vous griser de l’honneur, feint ou réel, qu’on vous témoigne. Ne vous haussez pas du col. Ne vous gargarisez pas des mots de " troisième pouvoir "de " peuple français ", de " gardien des libertés publiques ", etc.
On vous a dotés d’un pouvoir médiocre : celui de mettre en prison. On ne vous le donne que parce qu’il est généralement inoffensif. Quand vous infligerez cinq ans de prison au voleur de bicyclette, vous ne dérangerez personne.
Evitez d’abuser de ce pouvoir. Ne croyez pas que vous serez d’autant plus considérables que vous serez plus terribles.
Ne croyez pas que vous allez, nouveaux saints Georges, vaincre l’hydre de la délinquance par une répression impitoyable. Si la répression était efficace, il y a longtemps qu’elle aurait réussi. Si elle est inutile, comme je crois, n’entreprenez pas de faire carrière en vous payant la tête des autres. Ne comptez pas la prison par années ni par mois, mais par minutes et par secondes, tout comme si vous deviez la subir vous-mêmes.
Il est vrai que vous entrez dans une profession où l’on vous demandera souvent d’avoir du caractère mais où l’on entend seulement par là que vous soyez impitoyables aux misérables. Lâches envers leurs supérieurs, intransigeants envers leurs inférieurs, telle est l’ordinaire conduite des hommes. Tâchez d’éviter cet écueil.
On rend la justice impunément : n’en abusez pas.
Dans vos fonctions, ne faites pas un cas exagéré de la loi et méprisez généralement les coutumes, les circulaires, les décrets et la jurisprudence. Il vous appartient d’être plus sages que la Cour de cassation, si l’occasion s’en présente. La justice n’est pas une vérité arrêtée en 1810. C’est une création perpétuelle. Elle sera ce que vous la ferez.
N’attendez pas le feu vert du ministre ou du législateur ou des réformes, toujours envisagées. Réformez vous-mêmes. Consultez le bon sens, l’équité, l’amour du prochain plutôt que l’autorité ou la tradition. La loi s’interprète. Elle dira ce que vous voulez qu’elle dise. Sans y changer un iota, on peut, avec les plus solides " attendus " du monde, donner raison à l’un ou à l’autre, acquitter ou condamner au maximum de la peine. Par conséquent, que la loi ne vous serve pas d’alibi.
D’ailleurs vous constaterez qu’au rebours des principes qu’elle affiche, la justice applique extensivement les lois répressives et restrictivement les lois libérales. Agissez tout au contraire. Respectez la règle du jeu lorsqu’elle vous bride. Soyez beaux joueurs, soyez généreux : ce sera une nouveauté !
Ne vous contentez pas de faire votre métier. Vous verrez vite que pour être un peu utile, vous devez sortir des sentiers battus. Tout ce que vous ferez de bien, vous le ferez en plus. Qu’on le veuille ou non, vous avez un rôle social à jouer. Vous êtes des assistantes sociales. Vous ne décidez pas que sur le papier. Vous tranchez dans le vif.
Ne fermez pas vos coeurs à la souffrance ni vos oreilles aux cris. Ne soyez pas de ces juges soliveaux qui attendent que viennent à eux les petits procès. Ne soyez pas des arbitres indifférents au-dessus de la mêlée. Que votre porte soit ouverte à tous. Il y a des tâches plus utiles que de chasser ce papillon, la vérité, ou que de cultiver cette orchidée, la science juridique.
Ne soyez pas victime de vos préjugés de classe, religieux, politiques ou moraux. Ne croyez pas que la société soit intangible, l’inégalité et l’injustice inévitable, la raison et la volonté humaine incapables d’y rien changer.
Ne croyez pas qu’un homme soit coupable d’être ce qu’il est ni qu’il ne dépende que de lui d’être autrement. Autrement dit, ne le jugez pas.
Ne condamnez pas l’alcoolique. L’alcoolisme, que la médecine ne sait pas guérir, n’est pas une excuse légale mais c’est une circonstance atténuante. Parce que vous êtes instruits, ne méprisez pas l’illettré. Ne jetez pas la pierre à la paresse, vous qui ne travaillez pas de vos mains.
Soyez indulgents au reste des hommes. N’ajoutez pas à leurs souffrances. Ne soyez pas de ceux qui augmentent la somme des souffrances.

Soyez partiaux. Pour maintenir la balance entre le fort et le faible, le riche et le pauvre, qui ne pèsent pas d’un même poids, il faut que vous la fassiez un peu pencher d’un côté. C’est la tradition capétienne. Examinez toujours où sont le fort et le faible, qui ne se confondent pas nécessairement avec le délinquant et sa victime.


Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour l’écrasé contre la compagnie d’assurance de l’écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice.

Ayez un dernier mérite : pardonnez ce sermon sur la montagne à votre collègue dévoué.

Sagesse des peuples

orwell

"Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n'est pas victime : il est complice !"

Georges Orwell 1903-1950
Ecrits politiques

 


huxley

"La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'escalavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude"

Aldous Huxley 1894-1963
Le meilleur des mondes